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Listen to your heart


Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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La Meilleure Pub au monde


Regardez, c'est génial

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Le N°17, Vient de paraître
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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

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- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

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– comprendre l’anévrisme

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Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Actu nananews.fr

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Gloria Nasr

Courir le Marathon des Sables

« Je garde un merveilleux souvenir de cette aventure intime et collective, qui incite au dépassement de soi. »

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Le Marathon des Sables : 240 km à parcourir en 7 jours. La 27e édition a pris le départ ce 6 avril (jusqu’au 16 avril). C’est une course à pieds par étapes créée par Patrick Bauer qui se déroule dans le Sud marocain en autosuffisance alimentaire (chaque concurrent porte sur son dos sa nourriture pour une semaine ; seule l'eau portée étant fournie) sur une distance d'environ 240 km. L’itinéraire emprunte toutes sortes de terrains : dunes, plateaux caillouteux, pistes, oueds asséchés, palmerais, petites montagnes, sur 6 étapes de 20 à 80 km, dont une étape marathon de 42 km et une étape non-stop d'environ 80 km en partie de nuit.

 

Christiane Baroche

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Christiane Baroche

«L'important est de regarder autour de soi pour nourrir l'imaginaire»


Christiane Baroche respire la joie de vivre et la jeunesse, celle du cœur, celle du rire et de l’intelligence. C’est une grande dame. Et comme toute grande, d’une simplicité riche d’enseignement. Elle a mené une carrière de biologiste chercheur de 1958 à 1999, et depuis  1975, elle écrit, publie et est primée : Drakkar, 1975 ; Goncourt de la nouvelle, 1978 ; Grand Prix de la nouvelle à la Société des Gens de Lettres, 1994.

 

nés la même année que vous

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ils sont nés la même année que vous... clicquer sur le lien ci dessous vous aurez surement des surprises...

 

 

http://francaiscelebres.com/

 

 

Enfant Zinou, membre du FLN

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Témoignage de Zinou,

membre du FLN encore enfant

 

 

Les historiens, parmi lesquels Stora, de même que le représentant de la Wilaya VI concernant le territoire Français (le nom m’échappe) , parlent de flottement au sein du front durant la période transitoire (19 Mars 1962 – 5 Juillet1962).


Je me refuse d’accepter ce qualificatif parce qu’il ne correspond nullement à la réalité.
Je ne suis pas historien, mais mon vécu, suffisamment mêlé à la pâte, m’interdit d’accepter ce que je considère comme invective.


Je suis en droit d’apporter la lumière nécessaire parce que je n’ai pas suivi la révolution Algérienne à distance, ni même dans les salons mais, j’étais, à l’image de mon peuple, évalué à l’époque à 9.5 millions d’habitants, assis sur les braises d’une guerre impitoyable.


J’assume pleinement ce que j’ai à dire. J’ai vécu cette période dans les rangs de la résistance puisque j’étais pleinement engagé au s
ein de la clandestinité avant d’atterrir dans la milice.


Mes amis et frères de jeunesse que j’ai côtoyés durant ma douce enfance ne me sont pas étrangers. Qu’importe la confession à laquelle ils appartiennent.


Qu’importe leur petit nom : Marcel ou Jocelyne.

 

 

 

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La trahison à laquelle ils ont été livrés, pieds et mains liés par les sans scrupules, avait des desseins lâches parce c’est un million de PN qui en paiera les frais.
Je regrette que la confession de dernière minute de certains de l’OAS impliqués dans l’anarchie, ne soit pas ébruitée. Les impliqués, qui ont quitté le territoire bien avant le cessez le feu, représentaient une poignée de sinistres individus qui ont réussi à créer un tsunami de fugitifs affluant vers les ports d’Alger et d’Oran ce, avec comme seul souci : esquiver aux barbouzes, mandatés par De Gaulle, qui les pourchassaient.

 

Le FLN a été une organisation à ramifications extrêmement ténues.
Le maître mot était la discipline et la rigueur.


Il y va de soi que, la majorité de ceux qui, durant les 7,5 années de guerre, étaient de l’autre côté de la barrière, allusion aux Pieds-noirs, ignorent la ligne de conduite de la résistance. Heureusement d’ailleurs, sinon le mot « clandestinité révolutionnaire » perdrait tout son sens.

 

Si durant les années 54/55/56, j’étais complètement « hors champ », l’élément déclencheur qui allait transformer mon train de vie, c’était un certain jour du mois de septembre de l’année 1957 correspondant à l’arrestation de mon père dans des conditions atroces.

Ce qui militait en ma faveur pour m’impliquer, c’est que j’étais jeune, donc insoupçonnable et, de surcroit, lycéen vivant au milieu de mes amis Pieds-noirs.
L’Algérien vivait l’enfer et malgré la tension pour le faire plier, la stratégie psychologique adverse, alternant le chaud et le froid, sera mise à profit par nos dirigeants.

 

Le vouloir se libérer du joug colonial, était plus fort que toute répression.
Je dirai même que la terreur imposée nourrissait la flamme révolutionnaire.
En fin de compte, le colonialisme, sans le savoir, nous a rendus un service énorme.

Le front intérieur était presque disloqué des têtes pensantes qui se trouvaient principalement à Tunis et au Caire. Les lignes Challes et Maurice étaient de véritables mouroirs. C’était des remparts infranchissables faits de barbelés fortement électrifiés. Les mines, par milliers, s’ajoutaient à ce triste décor le long des frontières. Les explosifs, enfouis jusqu’à ce jour- puisque la France refuse toujours de remettre la cartographie des implantations- représentaient un véritable cauchemar pour les guérilléros qui se devaient de s’approvisionner en armement, et aussi, de maintenir le lien avec l’extérieur.

 

L’utilisation des mulets s’avéra une ruse de guerre plus que nécessaire.
C’était le handicap à surmonter puisqu’il a posé un sérieux problème pour l’afflux des armes que nous fournissaient gracieusement les pays socialistes : Tchécoslovaque et Chine notamment. Pour y remédier, la révolution enclencha la vitesse supérieure pour éviter l’asphyxie. L’insurrection armée, expression chère au général De Gaulle, a opté pour une autre ligne de conduite qui ne tardera pas à porter ses fruits.
Il fallait aller au-delà de son ardeur, harceler l’ennemi partout où il se trouvait de sorte à l’épuiser, à le démoraliser, et surtout, de récupérer le maximum d’armes et munitions prélevées sur les forces adverses. Les fourches et les fusils de chasse utilisés au début de la guerre seront replacés par les moyens plus adéquats : Fusils mitrailleurs à gros calibre, mortiers etc.

 

 

 

 

Chaque citoyen, et sans exception, se devait d’apporter sa part de contribution

Tout refus exposait la personne à la décision du tribunal révolutionnaire.

 

Avec le temps, les actes de bravoure fuient la mémoire, mais rappelons certains parmi des milliers d’autres :


Le cireur appelé « yawled » par les paras, cachait dans sa boite soit une bombe soit une arme de poing ayant servi ou devant servir au Fidaï. Qui, dans la ville des roses, ne connaissait pas le « transporteur Ben-Hamouda » ? L’homme à la charrette déambulait en ville pour se diriger toujours vers les hauteurs de Chréa.


Chargé d’un monticule de bric-à-brac sous lequel étaient dissimulés des armes, il criait, à la vue des patrouilles, bouteille de rouge hautement hissée, « vive la France ».
Sur le front de son mulet, un drapeau tricolore.

Sur son passage, il ramassait les injures des autochtones ignorant totalement la comédie à laquelle se livrait ce… prétendu ivrogne. Les militaires ricanaient à son passage.

La femme au haïk, faisant la moue lorsqu’elle était draguée au check-point, jouera – elle aussi – son rôle. Sous son voile blanc, son doigt était sur la gâchette de sa MAT49.
Je citerai celles que j’ai personnellement connues : FZ.Maizi, Kerdjadj et tant d’autres.

Le maillage du territoire s’est opéré d’une façon intelligente où personne ne connaissait personne.

La discipline était d’une rigueur absolue.

La structure pyramidale de la clandestinité a été délaissée pour laisser place à l’organisation horizontale.

Toujours est-il que la consigne prescrivait que quiconque tomberait dans les nasses ennemies, se devait absolument de résister aux tortures pendant 48h de sorte à permettre aux frères de combat de se repositionner.

 

 Tout ceci pour dire que, bien que jeune, j’étais amené à offrir – très modestement – ma pierre à l’édifice en construction.

J’habitais au piémont de la montagne de Chréa. Et, qui dit montagne dit forcément maquis.
Je vivais en parfaite harmonie avec les Pieds noirs ce qui arrangeait parfaitement les choses.
Quand un commando se devait d’opérer en ville, je leur servais d’éclaireur. Tous derrière et moi devant pour reprendre les paroles de Brassens. Un enfant marcher au milieu de la route ne pouvait pas attirer l’attention de quiconque. Mais, dès que j’apercevais une patrouille adverse, mon signal consistait à mettre les mains derrière le dos pour permettre aux Moudjahidine (combattants) de se mettre à l’abri.

 

 

 

Un fait particulier m’est resté gravé.

Je fus chargé par un responsable de l’organisation de porter sur les murs de la ville, des slogans pro-FLN.


Agir de nuit, bien évidemment, ce qui voulait dire, en plein couvre-feu.

A l’époque tout le monde acceptait le fait que, durant la nuit, les murs avaient des oreilles et même des yeux.

Pour cette aventureuse opération, je me devais d’être secondé. Un autre diable du quartier, du nom d’Ali Maizi, dut assurer le guet pendant que j’étais à l’œuvre.

 

Alors que j’étais affairé à ma tâche à l’aide d’un pinceau d’une main et, de l’autre, une boite de peinture rouge, le silence de la nuit fut déchiré par le cri d’Ali :
«paras…paras» , cria-t-il .

 

C’était en fait une patrouille constituée de deux véhicules half-track et d’une jeep qui venaient d’un autre versant de la montagne, du côté de Sidi El Kebir.
Nous fûmes repérés.

Le ronflement des moteurs se faisait de plus en plus fort. Les voitures roulaient vite pour éviter de tomber dans une embuscade particulièrement dans ces endroits mal éclairés.
Quant à nous, il fallait détaler avant de tomber entre les mains des paras.

Alors que les véhicules approchaient, nous nous sommes livrés à une véritable course.

Sur ce point précis, je me dois de souligner que le mot « peur » nous était totalement étranger.
Pendant notre course, je me rappelle avoir eu la présence d’esprit de ne pas me diriger vers mon domicile.


Si je me devais de rentrer chez moi, avais-je pensé, j’aurais compromis toute ma famille. J’imaginais mal ma mère: Mamma Zhor et mes sœurs Leila, Mamouni , Faryda et Wkheyti Kheira entre les mains des légionnaires-paras.

Je pensais aussi, qu’à une heure aussi tardive, ma mère devait certainement dormir. Si je devais attendre que l’on m’ouvre la porte, ce laps de temps perdu en attente, aurait permis aux militaires de nous localiser.

Je saurai, au lever du jour, que ma pauvre Mamma Zhor avait passé la nuit derrière la porte, et regardait par le trou de la serrure en attendant mon retour.
Il devait être 1h du matin.

Je poursuivais ma route à grandes enjambées aux côtés de mon compagnon Ali.

 

Le ronflement des moteurs se faisait de plus en plus audible quand, brusquement Ali me quitta pour entrer dans une impasse et grimpa un mur haut de plusieurs mètres.
On aurait dit que même le mur était complice.


On aurait dit, aussi, que le mur s’était subitement fait tout petit pour permettre à Ali de le franchir pour l’abriter sur la terrasse de la maison mauresque.

 

Me retrouvant seul, je poursuivais ma course vers une zone infranchissable à l’armée.
C’était la route de Chréa.


Il existe une limite où il faudrait, à mes poursuivants, faire appel au renfort pour y accéder.

Devant moi se dressa un buisson fait de plantes sauvages et d’épines qui semblait m’inviter à passer la nuit.


Dans mon for intérieur, j’avais pensé aux chiens renifleurs dans le cas où j’y trouvai refuge. Je poursuivais ma course sur une route fortement caillouteuse.
Et je ne sus comment, il me vint à l’esprit de franchir la porte d’une maison quelconque qui se présenta devant moi, de ramper à plat ventre sur les marches d’escaliers jusqu’à atteindre la porte.

Là, dans le noir et toujours à plat ventre, je frappai à la porte.

J’entendis, à mon grand soulagement, une femme me demander de m’identifier.

A mon nom “Zinou”, j’ajoutai qu’il fallait entrouvrir la porte et veiller surtout à ne pas allumer la lampe.


Dès qu’elle entrebâilla la porte, je rampai vers l’intérieur.

Elles m’expliqueront que c’était des moudjahidate en transit dans cette maison de relais. Je fus invité durant toute la nuit à leur donner un coup de main pour déplacer des caisses qui s’avèreront être des armes et munitions pour les combattants.

 

Ce que j’ai vécu est absolument infime par rapport à ce que le peuple a vécu.

 

Un chapelet d’évènements allait concourir à mettre bas toute stratégie pensée en haut lieu chez les paras de Massu, Bigeard et consort.

 

Le vase de l’humiliation et de l’ingratitude avait tellement débordé qu’il était impossible au colonialisme de le contenir… de le maîtriser.

Chacun, parmi ceux qu’ils appelaient ‘autochtones’ contribua à sa manière.
Chacun à sa manière apporta sa part de contribution à l’image de certains harkis. Certains étaient bardés de médailles, ceinturés, même, d’une bande tricolore alors qu’ils étaient des taupes au service de la révolution au milieu des notables de la ville coloniale.

Je me rappelle plus particulièrement de cet autre harki en burnous, un ancien ayant fait la guerre d’Indochine, qui hissait toujours en 1°ligne l’étendard de la France coloniale lors des cérémonies officielles à Blida.

Je m’étais toujours posé la question sur le pourquoi de la révolution qui avait tardé à supprimer ce traître.

Et, avais-je pensé, celui-ci habitait bien en profondeur sur la route de Chréa, un endroit où, ceux qu’ils appelaient les rebelles, hors-la loi, ou Fellaghas étaient libres de tout mouvement.
Cet ancien combattant d’Indochine était – en réalité- les yeux et les oreilles du front patriotique : FLN – ALN.


Les maquisards étaient informés de toute future opération ennemie… de toute prochaine arrestation… de tout ce qui se tramait contre la population civile de la ville.

Tout ceci m’amène à dire que la période pré-indépendance tout citoyen faisait partie de la milice. C’était la période transitoire, période terriblement agitée durant laquelle les extrémistes Pieds-noirs, la triste organisation de l’OAS, ont mis la ville Algérienne à feu et à sang.

Je ne m’attarderai pas sur l’histoire de la traction noire, conduite par un légionnaire.
Un grand aux yeux bleus, qui – devant moi – manœuvrait son véhicule pour se garer. J’étais de garde ce jour là au niveau du marché Arabe de Blida.
Mon instinct me fit comprendre que c’était une voiture piégée.
Je donnai l’alerte.


Il démarra en trombe.


Je ne m’étais pas trompé puisque la voiture était bourrée d’explosif et si le déclencheur avait atteint sa limite, c’est tout le souk qui aurait été réduit en poudre.
A dix heures du matin, le marché était bondé.


Facile à deviner la catastrophe si je n’avais pas réagi à temps.

 

La milice Blidéenne était chapeautée par Si-Abdelhak, Si Mohamed, et Si Hakim, des commandants de l’ALN qui avaient fait leurs preuves là-haut dans les djebels.

Durant la période transitoire, il nous était formellement recommandé de veiller scrupuleusement à la sécurité des PN. Chaque agent avait la charge de veiller à maintenir le contact avec eux tout en étant vigilant contre la sauvagerie que nous livraient les extrémistes.

Au sein de la population PN, le bouche à oreille dévoilait un stress maladif.


L’agitation était palpable puisque derrière le sourire d’usage, la crainte de représailles était fortement ancrée chez eux.


Les familles se débinaient l’une après l’autre, d’autres – un peu plus courageux – bradaient leurs biens et avouaient vouloir suivre la marche.
Les plus heureux sont ceux qui, jusqu’à ce jour, vivent en parfaite harmonie avec les Algériens.

 


Alger, le 17/03/2012.

(témoignage recueilli par Mahia Alonso)

 

 

Renée Vivien poétesse parnasienne

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Renée Vivien

poétesse parnasienne de la belle Epoque,

1877-1909


Paris la surnomme « Sapho 1900 ». Elle est aussi la « Muse des violettes ». Renée Vivien est la prêtresse du toucher :

Je comprends mieux, en les frôlant, les choses belles,/Je partage leur vie intense en les touchant, / C'est alors que je sais ce qu'elles ont en elles / De noble, de très doux et de pareil au chant.

Ses amours – qu’elles soient amour-passion (Nathalie Barney), amour-amitié (Hélène de Zuylen) ou amour quasi platonique (Kérimé) – vont nourrir son abondante poésie et rehausser le désir charnel d’une délicatesse insoutenable.

Sa vie aura la fulgurance du don, de la beauté, des âmes troublées qui ne font qu’effleurer le monde.

 

Renée Vivien est née à Londres le 11 juin 1877, dans une famille fortunée, père Ecossais, mère, Américaine. Renée, de son vrai nom Pauline Mary Tarn, passe son enfance entre Londres et Paris. A la mort de son père, la jeune fille hérite d’une fortune qui lui permettra une vie agréable.

 

Au cours de sa scolarité, effectuée à Paris puis à Londres, elle se fait remarquer par son attachement "sororal" pour son amie Violet Shillito.

 

Dès sa majorité, elle s’installe à Paris où la vie artistique bat son plein. Nous sommes à la veille du grand siècle, en 1899. Elle occupe un luxueux appartement au rez-de-chaussée du 23, avenue du Bois de Boulogne donnant sur un jardin japonais. Elle fait la connaissance de Nathalie Barney qui vient de rompre avec Liane de Pougy. Elles auront une liaison brève mais mouvementée. Nathalie refusera cette rupture mais Renée ne voudra jamais la revoir. Elle eut, en revanche, une liaison plus stable avec la richissime baronne Hélène de Zuylen, mariée et mère de deux fils.

L’année de sa rencontre avec Hélène, qui est également celle de la mort tragique de son amie Violet, Renée publie un premier recueil de poèmes en 1901 (Etudes et préludes).

Hélène lui apporte un équilibre émotif et une stabilité bénéfiques à sa création littéraire. Elles rédigent ensemble quatre ouvrages sous le pseudonyme collectif de Paule Riversdale. Elles voyagent ensemble, sans cependant afficher leur relation, vers le Japon, la Grèce ou Constantinople. Dans des lettres à un ami, la poétesse dit se considérée comme « mariée » à Hélène.

 

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C’est alors que Renée Vivien reçut une lettre d’une mystérieuse admiratrice stambouliote, Kérimé Turkhan Pacha, l’épouse d’un diplomate turc, d’où s’ensuivit pendant quatre ans une correspondance intense, et passionnée, ponctuée de brèves rencontres clandestines. Bien qu’éduquée à la française, Kérimé vivait selon la tradition islamique.

Pendant cette période, Renée Vivien continue de publier. Son second recueil « Cendres et poussières », et un volume de prose poétique « Brumes de Fjords », sortent en 1902. Les critiques la saluent comme "le grand poète de l’année." Suit en 1903 un nouveau recueil « Évocations », un volume de traductions modernes et adaptations des textes de Sapho, et un volume de prose « Du vert au violet ». Un roman autobiographique « Une femme m’apparut »  parait en 1904, l’année où débute sa correspondance avec Kérimé , des nouvelles regroupées sous le titre de « La dame à la louve », des traductions modernes de huit poétesses grecques « Les Kitarèdes », et un recueil de poèmes « La Vénus des aveugles ». L’année suivante, elle a remanié son roman et en propose une nouvelle version. Elle collabore à plusieurs revues littéraires. En 1906, publication du recueil de poèmes « A l’heure des mains jointes ». La presse devient curieuse, la critique littéraire plus que pesante et le public railleur. Sa santé en est affectée. En 1907, la baronne la quitte brusquement pour une autre femme. Profondément choquée et humiliée, Renée Vivien s’enfuit avec sa mère au Japon et à Hawaï. Elle tombe gravement malade au cours du voyage. Elle publie alors un recueil de poèmes « Flambeaux éteints », une anthologie poétique « Chansons pour mon ombre », et plusieurs proses ironiques et satiriques. Le départ en 1908 de Kérimé pour St-Pétersbourg où elle suit son mari en poste, met un terme à leur liaison. Un nouveau coup dur pour Renée. Mais les publications se poursuivent : un volume d’aphorismes « l’Album de Sylvestre », un recueil poétique « Sillages », et Poèmes en prose. Elle rompt toute correspondance avec la trop lointaine Kérimé. Mais son état de santé continue de se détériorer. Elle publie en 1909 la biographie Anne Boleyn. Elle remanie entièrement ses œuvres et fait paraître une anthologie de ses poèmes en prose. Abîmée par ses déboires amoureux, elle est rentrée dans l’infernale spirale de la drogue et de l’alcool. En fait, les travaux sur sa vie et ses vers ont été influencés par des idéologies qui considéraient à cette époque l'homosexualité comme une grave névrose, une maladie mentale.

Elle meurt le 18 novembre à six heures du matin, à l’âge de 32 ans. Son corps repose au cimetière de Passy. Sa tombe, située non loin de celle de Natalie Barney, est constamment fleurie, preuve que sa figure et son œuvre continuent de susciter une intense ferveur. Il est possible de lire cette fin de vie difficile dans Le pur et l'impur au travers des yeux de son amie Colette, paru en 1932 ou dans "Souvenirs indiscrets" de Natalie Clifford Barney paru en 1960.

Ses œuvres posthumes contiennent les recueils de poèmes : « Dans un coin de violettes », « Le Vent des vaisseaux », « Haillons ».

Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9e_Vivien

http://www.reneevivien.com/

Son œuvre complète consiste en :
-12 recueils de poésie, soit plus de cinq cent poèmes,
- 2 ouvrages de traductions de poétesses grecques,
- 7 volumes de prose,
- 1 roman,
- des nouvelles,
- correspondances avec Natalie Barney et Kérimé.

 

 

Poésie

Chair des choses, Sillages)

Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde,
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix,
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts.

Chanson

Comment oublier le pli lourd
De tes belles hanches sereines,
L’ivoire de la chair où court
Un frémissement bleu de veines ?

N’as-tu pas senti qu’un moment,
Ivre de ses angoisses vaines,
Mon âme allait éperdument
Vers tes chères lèvres lointaines ?

Et comment jamais retrouver
L'identique extase farouche,
T'oublier, revivre et rêver
Comme j'ai rêvé sur ta bouche ?

(Études et préludes, 1901)

 

Cri

Tes yeux bleus, à travers leurs paupières mi-closes,
Recèlent la lueur des vagues trahisons.
Le souffle violent et fourbe de ces roses
M'enivre comme un vin où dorment les poisons…

Vers l'heure où follement dansent les lucioles,
L'heure où brille à nos yeux le désir du moment,
Tu me redis en vain les flatteuses paroles…
Je te hais et je t'aime abominablement.

(Études et préludes, 1901)

 

Le Toucher

Les arbres ont gardé du soleil dans leurs branches.
Voilé comme une femme, évoquant l’autrefois,
Le crépuscule passe en pleurant… Et mes doigts
Suivent en frémissant la ligne de tes hanches.

Mes doigts ingénieux s’attardent aux frissons
De ta chair sous la robe aux douceurs de pétale…
L’art du toucher, complexe et curieux, égale
Les rêves des parfums, le miracle des sons.

Je suis avec lenteur le contour de tes hanches,
Tes épaules, ton col, tes seins inapaisés.
Mon désir délicat se refuse aux baisers ;
Il effleure et se pâme en des voluptés blanches.

(Évocations, 1903)

 

Tatouages et piercings, Dangereuses séductions

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tatouage 

  

Tatouages et piercings

Dangereuses séductions

 

Par Eva Follet

 

Pratiqués par différents groupes ethniques depuis la nuit des temps, le piercing et le tatouage sont restés des pratiques marginales en Occident jusque dans les années 70. Les premiers à arborer fièrement leurs piercings sont les gays et les surfeurs américains des années 80. C'est ensuite au tour de la classe branchée de se mettre aux décorations corporelles, mannequins et chanteurs célèbres exhibent nombrils et épaules "marqués". Le phénomène se banalise et prend de plus en plus d'ampleur pour sortir

définitivement de la marginalité dans les années 90. La France n'est pas en reste de ce phénoménal succès. Séduisant particulièrement les jeunes, le phénomène commence à inquiéter les médecins. Car, au-delà du malaise suscité par ces étranges pratiques qui peuvent paraître barbares pour certains, ce sont surtout les conditions d'hygiène qui posent problème. En effet, il n'existe pour l'heure aucune réglementation concernant l'exercice du métier de tatoueur-pierceur et n'importe qui peut s'improviser "professionnel". Or, malgré sa banalisation croissante, le piercing n'est pas un geste anodin et des complications peuvent survenir. Selon le Pr Jean-Baptiste Guyard-Schmid, chargé d'établir un rapport sur ces pratiques par le Conseil supérieur d'hygiène publique de France (CSHPF), pour être "sécurisé" un piercing doit s'effectuer dans des conditions sanitaires strictes : locaux et matériel adaptés, asepsie du site du piercing, procédure contrôlée du geste etc.

Malheureusement ces conditions ne sont pas toujours respectées et il arrive plus d'accidents qu'on pourrait le croire. On estime les infections liées à la pose d'un piercing de 10 à 20%. Elles peuvent donner lieu à des abcès et laisser des cicatrices indélébiles. La transmission de virus comme ceux des hépatites B et C est possible et, dans l'état actuel des connaissances, celle du VIH ne peut être formellement exclue. Par précaution

l'établissement de transfusion sanguine a depuis 1994 interdit tout don de sang d'une personne tatouée ou piercée dans les 6 mois précédents. Si malgré ces risques trop longtemps méconnus mais pourtant réels vous n'êtes pas rebuté, sachez qu'il faut toujours demander l'avis de son médecin en cas de maladies chroniques (diabète, traitement par la cortisone etc.) qui peuvent contre-indiquer le piercing. Mais le risque en vaut-il la chandelle? De plus les modes passent, alors pourquoi ne pas s'offrir

l'alternative des bijoux pour le corps sans trous et des tatouages temporaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Cathédrale Ste Marie de Lombez

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Découvrir le patrimoine de Midi Pyrénées

La Cathédrale Sainte-Marie de Lombez

La cathédrale fut originellement une église abbatiale romane bâtie au XIIe et XIIIe siècle. D’obédience bénédictine (moines de St-Thibéry), elle passa en 1125 sous la règle des Augustins de Toulouse. Ne se trouvant plus en rapport avec la dignité de sa promotion d’évêché (1317, sur décision du Pape Jean XXII) il convint de la dilater et rehausser ses murs afin de lui donner une splendeur nouvelle.

Inspirée de l’église des Jacobins à Toulouse, la cathédrale de Lombez date du XIVe siècle. Son style : gothique méridional (ou gothique toulousain). Elle est construite en briques, à l’exception de l’entrée ouest en pierre rajoutée plus tardivement dans un style gothique flamboyant.

Le clocher-tour octogonal à 5 étages à baies amorties en mitre (décalés), de 43 mètres, fut construit au XVe et XVIe siècle (l’église et le clocher font l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1846).

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Le premier clocher fut érigé par le premier évêque, Arnaud Roger de Comminges au XIVe siècle ; il s’élève à 41 m au-dessus du seuil actuel. A cette époque les chanoines de Lombez sont des Augustins de Saint-Etienne de Toulouse, ce qui explique sans doute la ressemblance avec le clocher toulousain et les piliers en forme de palmier aux nervures de pénétration si caractéristiques qui séparent les voûtes des deux nefs, comme pour l’église des Jacobins (modèle unique en Europe).

Il y a deux nefs de largeurs inégales. Le chevet de la grande nef (réservée au clergé) est pentagonal. La hauteur maximale des nefs était de 18 mètres, mais le sol a été rehaussé de 1,50 m pour le protéger des crues de la Save, affluent de la Garonne, souvent capricieux. Elles ont donc été ramenées à une hauteur de 16,50 mètres (par une trappe aménagée, on a vue sur la base d’un pilier). La petite nef était réservée aux fidèles.

Un remarquable mobilier épiscopal et quelques pièces d’époque romane notamment méritent qu’on s’y attarde.


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Buffet d’Orgue du XVIIIe siècle

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L’orgue, endommagé au cours d’un violent orage en 1631, subit une réparation de fortune par Tissac, organiste d’Auch. Messire Jacques Trémolières, prêtre et prébendier de la Cathédrale d’Auch, eut la charge le 22 août 1653, de doter Lombez d’un orgue neuf, livré le 22 décembre 1656. On peut voir les armoiries de Monseigneur de Chauvigny sous la tribune.

Restaurés en 1995, les orgues de Lombez font partie des instruments classés Monuments Historiques de la région Midi-Pyrénées.

Trois des vitraux (XV-XVIe siècle) sont attribués à Arnaud de Moles, maître verrier natif de St-Sever dans les Landes. Ils montrent des scènes de la vie du Christ et de la Passion. Ils ont été restaurés au XIXe siècle, époque de laquelle datent les autres vitraux

Arnaud de Moles et son atelier édifia les 18 verrières d'Auch. Sur un vitrail on voit en haut la crucifixion, la mise au tombeau et deux  évêques, l'oncle et le neveu (de BILHERES).

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Les stalles dues à Jean V Daffis, commandées à Guillaume Fontan, occupaient le centre de la grande nef. Le travail commencé en 1651 s’est terminé en 1665. Découronnées des galeries et balustrades, elles furent repoussées dans l'abside sous Mgr Fénelon.

Ferronnerie de l'atelier BERTIN de Samatan qui put parfaire son art dans les ateliers de Versailles, l'évêque Charles Guillaume de MAUPEOU alors en place, étant le frère du chancelier de LOUIS XV.

Statuaire : Un Christ gisant en pierre du XVe, provient d’une mise au tombeau à 7 personnages, détruite au XVIIIe siècle. A l'origine, placé dans la Chapelle du Saint Sépulcre, à droite en entrant dans la cathédrale. On y voyait la Sainte Vierge soutenue par deux saintes femmes, deux autres apportaient des vases de parfum et Nicodème et Joseph d'Arimatie ensevelissaient le corps du seigneur. Ce groupe immense aurait été sculpté dans la première moitié du XVe siècle et pour le préserver des profanations, on aurait enterré ces personnages sous le porche.

Chapiteaux romans, XIIe siècle de l'église primitive, creusés en bénitiers et situés à l'entrée de la cathédrale. Ils appartiennent au préroman du VIIe siècle et le matériau de marbre gris proviendrait de la carrière pyrénéenne de Saint-Béat.

Comme pour les édifices toulousains, l'église a des mirandes (qui permet la vue) en haut des murs permettant de dégager un espace entre les voûtes de l'église et la charpente du toit pouvant servir à recevoir des habitants en cas d'attaque de la ville et de chemin de ronde pour la surveillance.


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Abbaye augustinienne

En 1125, l'abbaye de Lombez se détacha de Saint-Thibéry. L'abbaye souhaitait trouver un appui pour contrer la convoitise des comtes de Comminges dont les terres entouraient celles de l'abbaye. Elle choisit de se donner au chapitre de la cathédrale de Toulouse et en adopta la règle qu'il suivait, celle des chanoines réguliers de saint Augustin.

Ce n'est qu'en 1284 que le comte de Comminges accepta ce transfert en signant un accord fixant les limites de leurs domaines respectifs.

De l'ancienne église romane il ne reste que la base de la tour du clocher avec les trois fenêtres en plein cintre et une grande fenêtre en pierre, murée, à l'ouest de la façade nord.

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Du cloître qui se trouvait au sud de l'église, il reste des chapiteaux conservés au Musée des Augustins de Toulouse, au Victoria and Albert Museum de Londres ainsi qu’au musée Cloisters de New-York (http://nananews.fr/fr/actualites-nananewsfr/1073-voir-entendre-dire- ).

Le pape Jean XXII décida de diviser l'évêché de Toulouse par création de nouveaux diocèses. En 1296, celui de Pamiers, et en ceux de 1317, Lavaur, Lombez, Mirepoix, Montauban, Rieux et Saint-Papoul. L'évêché de Toulouse devient alors un archevêché.

Le dernier abbé et premier évêque de Lombez, entre 1317 et 1328, était Arnaud Roger, fils d'un comte de Comminges, qui a été ensuite désigné comme évêque de Clermont. Son successeur a été Jacques Colonna jusqu'en 1341, puis Antoine, ancien abbé de Fontfroide, entre 1341 et 1348. Jacques Colonna, d'une célèbre famille italienne, était Gascon par sa mère, Gaucerande de l'Isle-Jourdain. Ami du poète Pétrarque, il l'invita à Lombez en 1333 et le fit chanoine de la cathédrale.
Deux accords ont été conclus en 1336 et 1346 entre les évêques successifs et le chapitre de la cathédrale pour la répartition des bâtiments.

La cathédrale actuelle a été construite après 1317. Cette reconstruction a commencé par le clocher et la première travée de la nef principale.

Dans l'accord de 1336, l'évêque et les chanoines se répartirent les bâtiments. L'évêque récupérait les anciens bâtiments abbatiaux qui se trouvaient au sud de l'église mais il s'engageait à faire construire un nouveau cloître à deux étages du côté ouest avec le droit de sépulture des chanoines dans le nouveau cloître.
On ne possède pas de documents permettant de préciser le plan et l'ordre de construction de l'église. L'article 3 de l'accord semble montrer qu'il était prévu de construire une église à trois nefs. C'est cette clause qui a entraîné les chanoines à faire un procès en 1719 contre leur évêque Fagon qui avait fait construit des bâtiments contre la façade sud de l'église.

Entre 1356 et 1376, les chevauchées du Prince Noir ont fait de nombreux dégâts. En 1355, on le voit en Armagnac. En 1364, le chanoine Marboutin note que les grandes compagnies ont pillé la ville et le pays d'alentour. En 1365, le bâtard de l'Isle-Jourdain commet les pires excès contre les églises du diocèse. On note un incendie qui détruisit une partie du palais épiscopal se trouvant au sud de l'église. Il en déduit que l'église devait nécessiter des réparations importantes.

 

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Grande nef. On peut voir à droite les fausses piles qui avaient été prévues en cas de réalisation d'une troisième nef

Dans l'analyse de la cathédrale, Paul Mesplé indique que celle-ci avait été prévue à deux nefs égales au moment de la construction de la première travée comprenant le clocher. C'est ce qu’indiquent des amorces de voûte et la forme du formeret contre le clocher qui est désaxé. Puis quand a été commencé la travée adjacente au clocher, le chapitre a probablement choisi de construire une cathédrale à trois nefs, une grande nef centrale et deux nefs latérales moins larges. Mais par manque de moyens financiers, seule la nef latérale nord a été construite. Pour permettre la construction ultérieure de la nef latérale sud, le chapitre avait prévu de construire des piliers pour supporter les ogives de ce côté. Cette construction n'a jamais été faite, même si le procès de 1719 faite par le chapitre à l'évêque montre que cette idée n'avait pas été oubliée.

La travée adjacente au clocher devait être terminée vers 1378. C'est ce que semble montrer la présence de la dalle funéraire de l'évêque Guillaume de Durfort, mort en 1378, dans la chapelle sud. La clef de voûte de la petite nef porte les armes de l’antipape Clément VII (1378-1394).

La construction a dû se poursuivre par la travée du chœur et l'abside de la grande nef. On peut constater que la nef de la petite nef devait être prévue moins longue qu'actuellement parce qu'une fenêtre côté nord a été murée. Une chapelle axiale dédiée à la Vierge devait être prévue entre les contreforts de l'est (on peut voir le départ des nervures à l'extérieur). Le style des nervures semble indiqué que cette partie de l'église a été construite à la fin du XIVe ou au début du XVe siècle.

Les trois travées de la cathédrale comprises entre le chœur et la deuxième travée de la grande nef, et la petite nef jusqu'à son abside, ont été construites au XVe siècle.

L'église n'a été consacrée qu'en 1770. L'évêque Richier de Cérisy expliqua dans un mandement du 8 octobre qu'"après les recherches les plus exactes, il n'avait pu trouver aucune preuve, ni même aucune trace ni vestige que l'église ait jamais été consacrée".

 

Sources :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Sainte-Marie_de_Lombez

http://www.lombez-tourisme.com/cathedrale-ensavoirplus.html

Syndicat d'Initiative
10 Place de la Cathédrale
32220 LOMBEZ

Tél/Fax : 00 33 (0)5 62 62 37 58

 

 

Les jours fériés à venir

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L’année 2012 avec les jours fériés…

Travaillez plus pour gagner plus !!

 

Lundi de Pâques: 9 avril

Une fête religieuse? une fête avec des poules et des oeufs en chocolat tu parles d’un jour important… Tout fonctionnera au ralenti du vendredi midi au Mardi matin. Il ne vaut mieux pas tomber malade ces jours là. (3 jours d’arrêt)

 

Fête du Travail : mardi 1er mai

Pour célébrer le travail, on s’arrête de travailler ce jour là. En plus c’est le jour ou tout le monde peut vendre du muguet.

Week end et pont, tout s’arrête du Vendredi midi au Mardi matin. (3 jours d’arrêt)

 

Armistice 1945 : mardi 8 mai

La France fête «l’armistice» de 1945 alors qu’elle avait capitulé quelques années avant…

Week end et pont, tout s’arrête du Vendredi midi au Mercredi matin. (4 jours d’arrêt)

 

Ascension : jeudi 17 mai

Cette fête Chrétienne nous permet de faire la « grasse matinée ». Merci petit Jésus ?

Week end et pont, tout s’arrête du Mercredi soir au Lundi matin. (4 jours d’arrêt)

 

Pentecôte : lundi 28 mai

Rebelote, une autre « grasse matinée » et 3 jours d’arrêt.

 

Fête nationale : samedi 14 juillet

c’est un samedi ! donc cela ne change rien aux habitudes…. Pas de pont.

 

Assomption : mercredi 15 août

Nous fêterons la Vierge… Merci Bon Dieu !

La durant toute la semaine c’est le grand vide.

Du Vendredi 10 aout midi au Lundi 20 Aout la France est aux abonnés absents. (9 jours d’affilés)

 

Surtout ne comparez pas avec les autres pays Européens, dans ce domaine nous détenons la palme d’or.

 

Irena Sendler, Juste une femme magnifique

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Irena Sendlerowa   (Irena Sendler)

Juste parmi les nations, une femme magnifique ! Une résistante et militante Polonaise qui a sauvé 2.500 enfants Juifs.

Elle est née le 15 février 1910 à Varsovie, ville où elle mourra le 12 mai 2008.

Elle est élevée dans une banlieue ouvrière de Varsovie (Otwock), dans la famille d'un médecin engagé dans l'action sociale auprès des pauvres.

Dès les premiers jours de l’occupation, elle commence à travailler au Département de l'Aide Sociale à la mairie de Varsovie où elle organise l'aide aux pauvres. Dans la section d'aide à l'enfant, un groupe clandestin (sous la direction de l'écrivain Jan Dobraczyński) se forme pour venir en aide aux enfants abandonnés qui sont légion à Varsovie après 1939. Cette aide concerne aussi clandestinement les enfants sortis du ghetto. Certains de ces enfants se sont enfuis par un trou dans le mur du ghetto, d'autres ont été sortis dans des camions de pompiers, des ambulances, sous les ordures… Le groupe prépare des faux papiers (certificats de naissance, enquêtes familiales) pour placer les enfants dans les orphelinats ou familles d'accueil.

Son action est souvent liée à Żegota (Commission d'aide aux Juifs ). Mais le Żegota n'a vu le jour qu'en décembre 1942 ; Irena et ses collègues opéraient depuis trois ans déjà. La Commission et l'argent qui venait de Londres via les canaux clandestins sont néanmoins arrivés au moment où la vie de plusieurs milliers de personnes cachées du côté "aryen" était en jeu. Les Allemands ont commencé à regarder de plus près les dépenses du Département de l'Aide Sociale - une menace planait sur le groupe. Les ressources de l'état clandestin ont permis de continuer l'action sans prendre des risques démesurés à la mairie.

En décembre 42, la Commission d'aide aux Juifs la nomme chef du département de l'enfance. Elle organise le passage clandestin des enfants du Ghetto vers les familles et les institutions à Varsovie, Turkowice, et Chotomow (près de Varsovie). Le 20 octobre 1943, elle est arrêtée par la Gestapo et emmenée à la prison de Pawiak; torturée, elle est condamnée à mort. Żegota réussit à la sauver en achetant les gardiens de la prison.

Au total, elle a contribué au sauvetage d'environ 2 500 enfants Juifs. Après la guerre, elle transmet la liste des noms et des familles d'accueil qu'elle a tenue à Adolf Berman, le président du Comité Juif en Pologne. Grâce à cette liste, les membres du comité ont réussi à retrouver environ 2.000 enfants.

En 1965, elle a été honorée à Yad Vashem au titre de « Juste parmi les nations ». En 2003, elle a reçu l'Order Orła Białego (Ordre de l'aigle blanc), la plus haute distinction civile polonaise.

En mars 2007, le gouvernement polonais de Lech Kaczynski a proposé qu'elle soit élevée au rang d'héroïne nationale, ce que le sénat a voté à l'unanimité. Le sénat polonais a en outre recommandé sa candidature au prix Nobel pour la Paix.

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http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/culture/20080512.OBS3470/portrait_direna_sendler.html

 

http://www.maisondesjustes.com/monde_pologne.html

 

Elle a toujours pensé qu'elle n'était pas une héroïne. "Je continue d'avoir mauvaise conscience d'avoir fait si peu", disait-elle.
De santé fragile, Irena Sendler était restée l'an dernier à l'écart des cérémonies qui lui rendirent hommage. Mais elle avait fait lire une lettre par une survivante, Elzbieta Ficowska, qu'elle avait sauvée tout bébé en 1942.


"J'appelle tous les gens de bonne volonté à l'amour, la tolérance et la paix, pas seulement en temps de la guerre, mais aussi en temps de paix", avait-elle dit.

 

http://www.youtube.com/v/ZXP5Gvxqgsg&;hl=fr_FR&fs=1&%22%3E%3C/param%3E%3Cparam%20name=%22allowFullScreen%22%20value=%22true%22%3E%3C/param%3E%3Cparam%20name=%22allowscriptaccess%22%20value=%22always%22%3E%3C/param%3E%3Cembed%20src=%22

 

 

http://www.youtube.com/v/NDEjca8nYqg&;hl=fr_FR&fs=1&%22%3E%3C/param%3E%3Cparam%20name=%22allowFullScreen%22%20value=%22true%22%3E%3C/param%3E%3Cparam%20name=%22allowscriptaccess%22%20value=%22always%22%3E%3C/param%3E%3Cembed%20src=%22

 

 

“On ne plante pas des graines de nourriture.

On plante des graines de bonnes actions.

Essayez de faire des chaînes de bonnes actions, pour les entourer et les faire se multiplier”.

Irena Sendler

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Laure Leroy, «Donner envie de lire»

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Laure Leroy, édition Zulma 

« Donner envie de lire ! »

 

Dans les années 90, j’avais suivi de près la naissance et les premiers pas d’une maison d’édition établie dans l’ancienne école de Cadeilhan, petite commune gersoise. Les éditions « Zulma » (du prénom de la comtesse de Castries dans « Le lys dans la Vallée » de Balzac et on notera que ce prénom commence par la dernière lettre de l'alphabet et s'achève par la première) vont tenir trois ans dans ce petit pays du bonheur de vivre. Malgré une volonté forte de s’y enraciner, l’éditrice Laure Leroy, à peine plus de vingt ans lors de sa création, va finalement empaqueter son bébé et le transplanter Boulevard Haussmann à Paris où sa facture originale lui permet d’accéder rapidement dans la cour des grands sans rien brader de ce qui a fait sa spécificité depuis sa création.

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« J’avais, dans les débuts, beaucoup d’illusions, et autant de choses à apprendre. Je n’étais pas seule à lancer la maison mais j’étais celle qui faisait office de publisher – là où les Français ne voient qu’un "éditeur", les Anglo-Saxons distinguent entre le publisher, qui est le chef d’entreprise, et l’editor qui, lui, a le nez dans les textes et gère le travail avec les auteurs. »

L’éditrice est revenue quinze ans plus tard dans le Gers, à la librairie la Tartinerie de Sarrant avec un de ses auteurs phares, Hubert Haddad, pour une rencontre avec les lecteurs : « C’est un bonheur de revenir dans le Gers ! » me confiait-elle, alors. Rayonnante, elle n’avait rien perdu de sa passion, de son envie de tout prendre à bras le corps dans un bel élan de générosité. Pourtant, la Maison avait connu des heures difficiles :

« D’une certaine manière, cela a été une chance : nous étions au pied du mur et nous devions vraiment nous remettre en question. Nous ne pouvions plus nous tromper: cette situation abyssale était l’ultime contrainte qui allait nous pousser à ne plus tâtonner et à prendre d’emblée les bonnes décisions. »

Quand elle parle de « tâtonnements », Laure Leroy précise :

« Je ne vise pas les textes en eux-mêmes : il n’y a pas un choix que je regrette d’un point de vue littéraire. Mais justement, ces quinze années d’apprentissage m’auront enseigné, entre autres choses, que le métier d’éditeur ne consiste pas simplement à publier de beaux textes. C’est beaucoup plus compliqué que cela. »

 

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Une maison d’édition, pour exister, doit se démarquer :

« Je me suis posé toutes les questions relatives à ce qu’implique le métier d’éditeur et à chacune d’elles j’ai tâché d’apporter la bonne réponse. Par exemple, nous avions créé beaucoup de collections à nos débuts qui ont depuis été éliminées. Ce remaniement est le fruit d’une réflexion globale profonde, que reflète bien le catalogue actuel. C’est un magnifique ensemble très structuré de littérature contemporaine française et étrangère, avec une identité éditoriale et graphique très forte, reconnue par les libraires, la presse, et les lecteurs. La marque Zulma se repère aisément, et son identité est telle que de nombreux lecteurs la perçoivent comme une grande collection ; elle inspire confiance et donne envie de découvrir des auteurs dont on ignore tout. C’est plutôt encourageant. Nous en sommes arrivés là au prix de gros sacrifices… notamment en réduisant de façon drastique le nombre de livres publiés chaque année. Il nous a fallu renoncer à publier beaucoup de très belles choses pour nous en tenir à une petite douzaine de publications annuelles.»


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Pour harmoniser le fond et la forme

Laure Leroy cherche toujours la même chose : donner envie de lire. Alors il faut rendre indissolubles le fond et la forme. Pour le fond, elle fait confiance à ses auteurs qu’elle recrute à travers la planète. Il faut dire que Zulma a découvert ou mis en avant bien des romanciers aujourd'hui reconnus.

Curieuse des langues et des cultures lointaines peu connues, Laure Leroy publie entre autre des textes en Bengali (Tagore) ou malayalam (V.M. Basheer), en persan (Zoyâ Pirzâd). Et pour la forme, la réponse est venue de son association avec le graphiste David Pearson, londonien découvert chez Penguin Books.

« Ses couvertures sont à la fois très belles et en parfaite adéquation avec notre ligne éditoriale redéfinie. Elles ne font plus apparaître de différence entre les textes français et étrangers. Et puis, elles sont conçues comme des portes ouvertes sur l’imaginaire ; ni figuratives ni narratives, elles sont très stylisées, très structurées, tout en possédant un côté baroque… Elles stimulent vraiment l’imagination et, si on cherche à les décrire, on s’aperçoit qu’on emploiera à peu près les mêmes termes que si l’on tentait de qualifier le genre de littérature que nous publions.

J’ai donc contacté David Pearson et je lui ai demandé s’il voulait bien travailler pour Zulma. La perspective de dessiner des couvertures pour une petite maison d’édition de littérature basée en France lui a semblé très stimulante. Il a accepté et, depuis, c’est une affaire qui roule… »

Le livre devient alors un véritable objet avec sa couverture à rabat en Edit me brut extra blanc, à la texture un peu cotonneuse, estampillé d’un triangle, tête en bas où se loge discrètement le Z de Zulma et le papier intérieur (Astrid sable) a l’aspect soyeux. Pour Laure Leroy, il est une seule injonction : « lisez-moi ! Et le plaisir est là. »

« Je crois que tous les amoureux de littérature sont fondamentalement attachés au livre papier, même s’il représente une forme de luxe. Cela dit, le prix de nos livres, compris entre 15 et 20 euros, se situe dans la moyenne des "grands formats" vendus aujourd’hui. »

En 2011, Zulma a fêté ses vingt ans. On peut confirmer qu’elle a su préserver cette détermination qui marquait les débuts de la Maison : porter le devenir de Zulma sur les crêtes de l’excellence éditoriale.

Et toujours humble, Laure Leroy conclut :

« Une lecture d’éditeur doit être très sereine et très tendue, très fine… mais surtout bienveillante et admirative parce que les auteurs du calibre de ceux que nous publions sont, de toute façon, bien plus forts que nous! »

Zulma : pour une littérature de plaisirs

Zulma, pour les lecteurs, ce fut longtemps une maison d'édition de livres érotiques. Fondée en 1991, cette jeune maison devait notablement agrandir l'angle des genres publiés, pour présenter des écrivains français ou étrangers, confirmés ou débutants.

À l'origine, l'aventure naît de la rencontre entre Laure Leroy et Serge Safran. Elle, vient d'effectuer des stages chez NYX, Fayard, et participe à l'aventure du Castor Astral. Lui, journaliste régulier pour le Magazine littéraire, professeur par nécessité, faisait partie également de l'équipe du Castor Astral. Bénévoles tous deux au sein de la maison d'édition bordelaise (et parisienne), ils ont créé une Société Anonyme pour "publier des choses qu'on aime, mais en faisant en sorte que l'on puisse en vivre."

Au début, les livres sont diffusés par C.E.D.-Belles Lettres et enregistrent des tirages de 2 500 à 3 000 exemplaires. Le premier ouvrage publié appartient à une autre langue et vise une autre époque : Le Journal d'une jeune femme de qualité signé Cleone Knox raconte l'éducation européenne d'une jeune Irlandaise au XVIIIe siècle. Le livre aura une bonne presse mais ne trouvera pas le lectorat souhaité. Le succès viendra du troisième ouvrage (qui suivra La Clef des ombres de Jacques Abeille) : Les Kâma-sûtra donne l'élan à Zulma en même temps que son image de maison spécialisée dans l'érotisme.

En 1994, le désir d'avoir une meilleure diffusion et une distribution plus conséquente poussent les éditeurs à changer de partenaires : les livres de Zulma apparaissent avec le nom de Calmann-Lévy associé. La diffusion est assurée par Hachette.

Et puis, Zulma volera de ses propres ailes vers une destinée couronnée de succès.

http://www.zulma.fr/actualites.html

http://www.dailymotion.com/video/xlmgc5_entretien-exclusif-passion-bouquins-laure-leroy-directrice-des-editions-zulma_webcam

http://terres-nykthes.over-blog.com/article-les-editions-zulma-ont-vingt-ans-77396566.html

 

 

 

 
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TOULOUSE

 

L’horreur dans la campagne ?

 

La France entière est confrontée à l’horreur, la brutalité et l’incompréhension sur les drames qui se sont déroulés ces derniers jours à Montauban et Toulouse.

 

Chaque Française, chaque Français est touché par l’horreur de ces drames, quel que soit leur opinion politique, leur origine et leur appartenance religieuse, des militaires l’un en civil, les autres en tenue abattus en pleine rue avec un cynisme et un sang froid hors du commun, et aujourd’hui des enfants «descendus» froidement devant leur école, une école de la communauté juive de Toulouse.

 
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