La guerre d'Iran n'aura pas lieu...

 Par Lucie

Depuis quelques mois, des « fuites » savamment organisées font état d'une forte probabilité d'attaque des installations nucléaires iraniennes pour l'été 2012 ; des frappes israéliennes, qui entraineraient les USA, puis par le jeu des alliances l'Otan et donc l'Europe. Mais que nos vacances soient gâchées par une campagne militaire est hautement improbable : Voici pourquoi...

Déjà, et avant toute chose, je postule avec force que l'Etat d'Israël n'a aucune intention de frapper militairement l'Iran. Guerre psychologique, guerre des services, sabotages et assassinats ciblés, soutien aux différents groupes iraniens opposés au gouvernement : évidemment. Les iraniens ne se privent d'ailleurs pas d'avoir recours aux mêmes méthodes, notamment en Irak, en Afghanistan, mais aussi à Bahreïn, en Arabie Saoudite ou au Liban, (cette liste n'étant pas exhaustive). Mais une campagne de bombardements ? Ils ne sont pas fous. Et même s'ils étaient fous, ils resteraient des fous pragmatiques.

L'Iran n'est pas l'Irak de 1980 ou même la Syrie. L'Iran est un pays possédant une capacité de projection à la hauteur de son statut de puissance régionale : que cela soit par des moyens conventionnels (missiles, aviation...) ou par des relais (organisations politiques armées type Djihad Islamique, Hezbollah, Hamas...), et les israéliens en sont bien conscients. Tout comme ils sont conscients que les capacités de défense iranienne donneraient du fil à retordre à leur armée.

Philippe Karsenty ou la passerelle

de la Méditerranée

Par DANIEL HOROWITZ

Philippe Karsenty, ex-financier et actuellement maire adjoint de Neuilly, est candidat à la 8eme circonscription aux prochaines législatives, et représentera, s’il est élu, les français de plusieurs pays de la Méditerranée, dont l’Italie, la Grèce et Israël. Il se situe au centre-droit, mais n’est affilié à aucune famille politique, et brigue donc l’Assemblée Nationale en tant que candidat libre.  Mais bien que refusant d’être investi par un parti, plusieurs formations – le Parti Libéral Démocrate et le Parti Chrétien Démocrate -  le soutiennent.

C'est aujourd'hui que Jean-Marc Ayrault prend formellement ses fonctions à Matignon et nomme son gouvernement. Suivez sur toutes les radios, les télévisions et les web magazines, la passation de pouvoir entre François Fillon et son successeur et les derniers ajustements en vue de la composition de l'équipe gouvernementale.

Jean-Marc Ayrault est arrivé à Matignon peu après 10h, accueilli par François Fillon. Le nouveau et l'ancien Premier ministre se sont entretenus pendant un peu plus d'une demi-heure puis François Fillon a quitté les lieux. Jean-Marc Ayrault va maintenant s'atteler à former son gouvernement.

La haine change de couleur selon celui qui la désigne

mais c’est toujours de rouge qu’elle macule les trottoirs

par Louise Gaggini

Notre vieux continent évolue et les plaques terrestres bougent tandis que les alternances politiques s’enchaînent révélant qu’une seule histoire du monde existe, constamment répétée, autrement située, mais identique, donnée avec la faculté d’en comprendre le sens, mais hélas sans le mode d’emploi et il faut toujours que quelque chose de douloureux survienne pour que les hommes s’en souvienne, avant le l’oublier au premier bonheur comme si la douleur était plus apte à défricher. Plus mordante dans l’adversité. Plus efficace.

À l’ère d’Internet, de la libération de la parole et des idées, s’il est plus difficile aux tyrans de sévir dans le secret, il est plus facile aussi de transmettre n’importe quelle idéologie guerrière ou mortifère. 

Alors, est-il possible qu’en France la haine de l’autre puisse encore être une idéologie de société ? Les hommes pourraient-ils n’avoir rien retenu des drames de l’Histoire ? Le grand chambardement médiatique qui les bouscule à chaque seconde d’information, a-t-il épuisé leur vigilance ?

Et pourtant… Évangélisation, islamisation, inquisition, lapidation, épuration, pogroms, autodafés, camps d’extermination, goulags, emprisonnements, terrorisme, persécutions… Tout cela a existé et perdure au nom de la morale et de vertus fondatrices. Des bûchers des inquisiteurs chrétiens aux chambres à gaz nazies, de la bande à Baader aux Croix de feu, en passant par la lapidation des femmes, le meurtre des Kurdes, des Arméniens ou des Tutsis, c’est toujours au nom de la morale et de la justice, de la « purification » qu’ont été perpétrées les pires atrocités.

Au vu des exactions passées et hélas encore d’actualité dans certains pays du monde, il y a-t-il un risque, même infime, pour que de telles barbaries puissent encore en France être proposées, comprises, applaudies et appliquées sous le couvert d’un droit qui cautionnerait le principe de « œil pour œil, dent pour dent ? » 

Il y aurait-il de bons terrorismes et d’autres qui ne le seraient pas, des violences justes et d’autres à punir ?

À écouter certains médias qui revendiquent « la revanche et la haine » contre des autres désignés à la vindicte populaire, il semble que oui. Sans être Lacanien ni même Freudien, on ne peut occulter le fait tant il révèle de la fascination du pire. De l’ambiguïté de la posture qui incite à la « haine ».

Une haine que certains ont relevée en disant « Oui, mais qui a commencé le premier ? » Par d’autres qui ont cautionné la démarche dans l’enthousiasme de la cause, soit supprimé les méchants. Et puis par d’autres encore qui en ont souligné la violence, voire le fanatisme, la vacuité et la dangerosité.

Cela dit, on peut envisager qu’en démocratie chacun a le droit de penser comme il veut et que la violence préconisée vaut parfaitement la paix des autres ? 

Sauf que… il y a déjà longtemps que nous avons quitté la violence des jungles et des cavernes, que la loi du plus fort s’est effacée devant l’esprit des lois, que nous avons aboli la peine de mort, que les meurtres et les viols qu’ils soient physiques ou psychologiques sont strictement interdits par notre nation de droits et punis par sa justice, que celui qui incite au carnage devient la main qui frappe, que sa responsabilité est totale.

Nous savons tous le chemin à parcourir pour seulement devenir l’ombre d’un genre humain pacifique et fraternel, nous savons tous qu’il y a en l’homme des zones archaïques qui pensent en terme de « tuer ou être tué » et nous savons tous combien ces parts obscures sont capables d’horreurs et d’indignités lorsqu’elles sont sollicitées et manipulées par des paroles travesties de morale.

Des valeurs fondamentales et fédératrices comme la justice, l’humanisme et les religions sont ainsi régulièrement détournées de leurs objectifs de paix par des pyromanes en puissance, qui trouvent dans des idéologies fanatiques, de quoi alimenter leurs pulsions de mort. Et tandis que des hommes et des femmes font tomber des dictatures en cherchant des alternatives à la violence du monde, ceux-là au contraire s’infiltrent dans les trouées, cherchent l’espace où implanter leurs haines, et avec l’alibi d’une vertu appropriée de plein droit, s’exercent à poser des bombes incendiaires, heureux de voir les brûlots prendre, et soufflant sur des braises jamais vraiment éteintes, jubilent et dansent devant les flammes de la discorde et les incendies allumés.

Un monde en flammes, qu’ils regarderont se consumer ainsi que Néron de la terrasse de son palais regarda brûler Rome et sa population, heureux et convaincu dans la folie narcissique de sa toute-puissance, de la générosité de son acte.

Pour conclure et sans tomber dans la peur d’un monde où le danger serait partout, j’avancerai que l’hydre à plusieurs visages et qu’il est toujours prêt, à l’affût, camouflé et sournois, à renaître de ses cendres. Qu’il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises violences. Qu’elles sont toutes à éradiquer et à conjurer puisque toutes préjudiciables à l’humanité. Que quelle que soit la couleur dont on désignera la haine, c’est toujours de rouge qu’elle maculera les trottoirs.

DEVOIR DE MEMOIRE

Hocine le combat d'une vie

En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l¹époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l¹Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l'isolement total de la société française. Sur les quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.

35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, le 14 juillet 2011.

Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.

Et pour compléter le documentaire, réécoutez sur SUD RADIO, «podcasts» l'émission du 8/11/11, de Karim Hacene, Enquêtes et Investigations, sur les harkis le camp de saint maurice l'ardoise Sur radio-alpes.net, Infos Générales - Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13)

Ecoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone...émotions et voile de censure levé ! Les Accords d'Evian n'effacent pas le passé, mais l'avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi)

Jean-Marc Eyrault, Premier Ministre

Le nom du premier Ministre enfin révélé, il s’agit de Jean-Marc Eyrault, l’éternel ami et fidèle militant parmi les fidèles de François Hollande.

L'équipe du gouvernement Hollande sera dévoilée sous quelques heures.

La ville de Nantes l’a plébiscité durant 20 ans… 

Jean-Marc Ayrault est maire de Nantes et président sortant du groupe socialiste à l'Assemblée nationale depuis 1997.

Festival de Cannes le 16 Mai…

Qu'en sera-t-il de l'édition 2012, qui démarre ce mercredi 16 mai, avec de nombreux films en compétition.

Parmi les nouveautés, Michael Haneke, cinéaste autrichien, vient présenter son film «Amour» qui réunit : Jean-Louis Trintignant, Emmanuelle Riva et Isabelle Huppert. Georges et Anne, professeurs de musique à la retraite qui ont une fille, également musicienne. Un accident dont est victime Anne va cependant bouleverser leur amour…

Sortie en salle le 24 Octobre 2012.

J.L Delarue se marie…

Samedi, à 16 heures, sur une commune de Belle-Île-en-Mer, Sauzon, au large des côtes bretonnes s’est déroulé le mariage de Jean-Luc Delarue et d’Anissa Kehl.

Le maire, Norbert Naudin, a fait le déplacement pour célébrer l’événement. En effet les jeunes mariés ont obtenu une dérogation, inondée de fleurs blanches pour la circonstance.

Les invités étaient habillés dans les mêmes tons blancs. Certains sont arrivés par bateau la veille au soir, pour assister aux cérémonies, sur une plage privatisée pour l’occasion. Le maire avait eut juste le temps de prendre un arrêté pour interdire et limiter la circulation autour de la maison des mariés et sur la plage. Cela sert d’avoir le bras long et des connaissances. Pour la «France d’en bas» circulez y’a rien à voir… encore un mariage «bling’bling» . Merci Mossieur le MAIRE !

A cause de son mauvais esprit et de ses propos injurieux à l'égard de la nouvelle "Première Dame", Valérie Trierweiler, et des femmes journalistes, RTL a "virer" son journaliste Pierre Salviac.

Sur le compte twitter de Pierre Salviac, la phrase incriminée: "A toutes mes consoeurs je dis baisez utile...vous aurez une chance de vous retrouver première dame de france"

Autres propos tenus par ce même journaliste mais cette fois ci relatés dans le Parisien : " 63% de la population est favorable au mariage gay... il y avait déjà beaucoup d'enc... dans ce pays ... cela ne va pas s'arranger!"

Les mêmes propos sur RTL mais dans la bouche de Laurent Gerra auraient-ils eu les mêmes conséquences?

Nous sommes en droit de nous poser la question.... pas de quoi fouéter un chat!!!...

Dominique Piveteaud, directeur de Tatoulu

« La formation de l’esprit critique, indocile et insoumis »

TATOULU

7000 jeunes lecteurs décernent leur prix littéraire jeunesse le 9 juin

Créée en novembre 1994, l'association Tatoulu regroupe parents et enseignants au niveau national pour mener à bien un projet commun : amener le plus grand nombre d'enfants vers la littérature. Développant l'idée que lire est un acte singulier qui s'inscrit dans des dynamiques collectives, Tatoulu propose, dans un cadre pédagogique, d'initier les enfants à la pratique du débat littéraire.

Le 12 mai  auront lieu les nouvelles rencontres de Tatoulu à Sarrant (Gers), lieu du rassemblement pour Midi Pyrénées. Chaque année, plusieurs centaines d’enfants se retrouvent dans ce petit village gersois grâce au partenariat de l’association Tatoulu avec la librairie Tartinerie, pour un après-midi de convivialité et de réflexion autour du livre. Un moment de mixité intéressant puisque les enfants viennent de toute la région, des contrées les plus reculées de campagne aux ensembles urbains du Mirail à Toulouse.

Réunis en plusieurs groupes, par tranche d’âge, les enfants débattent pour échanger leurs points de vue autour des 42 livres lus pendant l’année. Même les tout-petits se confrontent à la pratique du débat sous l’œil attendri de leurs parents. Des animations (contes, écriture, arts visuels, jeux, reportage) permettent aux participants de se détendre et de se rencontrer de manière plus informelle. A l’issue de cette rencontre, le 9 juin à Paris, un prix sera décerné à un auteur, pour chaque tranche d’âge.

Dominique Piveteaud qui présida l’association Tatoulu dont le siège est à Paris, pendant dix ans, en est actuellement le directeur. Ancien professeur médiateur, rentré au comité de lecture puis au conseil d’administration, il a succédé à Adeline Loriot-Prévost, la première présidente.

Il était à la Tartinerie pour organiser la manifestation du 12 mai, lorsque nous avons rencontré Catherine Mitjana :

« A l'origine de ce projet, sur Sarrant, il y a eu une rencontre avec l'association Lires (http://www.lires.org),, représentée par Catherine Mitjana et Didier Bardy… 

Depuis bientôt 18 ans, Tatoulu organise des débats littéraires au cours desquels les enfants croisent leurs lectures, confrontent leurs pensées et décernent un prix à une œuvre de littérature de jeunesse contemporaine. Ces prix sont un prétexte pour amener les jeunes lecteurs à aiguiser leur esprit à la critique. Ce n’est qu’un outil.

Nous avons 350 à 400 groupes en France, soit quelque chose comme 7 000 enfants de 2 à 18 ans, qui sont mobilisés par la manifestation Tatoulu dont 2 000 pour Midi Pyrénées. Ils sont encadrés par les établissements scolaires, les bibliothèques, les centres de loisirs, les centres sociaux-éducatifs…

Chaque responsable de groupe sert de médiateur entre les lecteurs et les livres.

C’est le comité de lecture qui sélectionne les ouvrages et parmi 1000 à 1500 livres, on en choisit 42 ce qui correspond à sept tranches d’âge. Et il y a six livres par tranche. »

Tatoulu est parti de l’initiative d’une mère de famille, Adeline Loriot-Prévost en 1994, dans une école. Et puis le bouche à oreille a tracé la voie. Depuis, une formation à la médiation a lieu chaque année sur quatre jours. Et les rencontres dans tout l’hexagone, par région.

« La formation de l’esprit critique, indocile et insoumis attire de plus en plus de médiateurs du livre, soucieux d’enclencher chez les jeunes lecteurs une posture de curiosité et d’interrogation : qu’est-ce que cela suscite en moi ? Il leur faut aller au-delà du j’aime/j’aime pas. Le débat doit amener au livre. On peut commencer à parler d’un livre dès qu’il existe.

Tatoulu propose également aux enfants et ados, des séjours d’une demi-journée axés sur la littérature : accompagnement de projets, salon du livre, rencontre avec des auteurs… »

Tatoulu travaille en étroite collaboration avec les éditeurs pour prendre connaissance des livres parus dans l'année. La plupart des éditeurs offrent ces ouvrages à Tatoulu en service de presse. Cette mise à disposition permet à l'association de couvrir le plus largement possible l'ensemble des parutions.

Tatoulu achète les livres que les éditeurs ne peuvent fournir.

A l'occasion de divers salons de littérature de jeunesse, Tatoulu s'efforce de découvrir des éditeurs plus confidentiels et de faire connaître leur production au sein du comité de lecture et au-delà.

Lire n’est pas considéré uniquement comme un acte individuel. La dimension collective et solidaire est nécessaire pour que chacun participe à l’augmentation de l’autre.

Le 9 juin prochain, dans un collège du XVIIIe arrondissement de Paris, aura lieu la remise officielle des prix aux auteurs. Deux enfants par groupe seront présents à la cérémonie.

http://www.tatoulu.org/

http://www.dailymotion.com/video/x4qfoo_prix-litteraire-tatoulu-a-sarrant_news

Tatoulu et la Tartinerie

Créé en 1994, le prix littéraire Tatoulu couronne des albums et des romans parus dans l’année précédente. La librairie « Des livres et vous  » (Tartinerie) est partenaire de Tatoulu depuis 2004. Sa participation à ce prix répond au moins à quatre objectifs :

- développer des pratiques culturelles autour de la littérature jeunesse notamment par le débat;

- favoriser les interactions entre acteurs de différents milieux (milieu rural, zones urbaines, école, structures périscolaires, structures culturelles…) ;

- créer des conditions de rapprochements entre structures hors l’école (CLAE, bibliothèques…) et structures scolaires (écoles, collèges, lycées…) ;

- impliquer et mobiliser les familles autour des enjeux de la lecture et du livre.

Considérant que lire est un acte singulier qui s’inscrit dans des dynamiques collectives, Tatoulu propose un accompagnement à l’animation de débats littéraires auprès des enseignants et des animateurs et met en place durant l’année un calendrier de formations et d’échanges de pratiques autour des livres sélectionnés pour initier les enfants à la pratique du débat littéraire.

Après six mois de travail au sein de leur groupe, les enfants (de la petite enfance à l’adolescence) viennent confronter leur positionnement lors d’un débat co-organisé par les deux associations, Tatoulu et LIRES, lors des « Rencontres Tatoulu en Midi Pyrénées ». Organisées depuis 2008, ces rencontres ont lieu à Sarrant et réunissent  plusieurs centaines d’enfants et d’adolescents pour débattre.

Tatoulu organise également des séjours et des journées littéraires. La librairie-tartinerie accueille les groupes pendant ces journées littéraires.

Plus d’informations sur le site : www.tatoulu.org

Un happening de création 24 heures non stop à Sarrant

Autres cordes à son arc, Dominique Piveteaud est peintre et sculpteur. Il travaille sur un projet en lien avec la Tartinerie de Sarrant :

« Il y a un an, à Sos (près de Nérac), j’ai participé à une journée de rencontre entre artistes littéraires et plasticiens. Il y avait également deux libraires, dont Didier Bardy de la Tartinerie. Nous étions une trentaine d’artistes dans un parc municipal, chacun avec son atelier de campagne… L’idée, c’était un 24 heures non stop, du vendredi 17 heures au samedi 17 heures, on a travaillé sur une création en présence d’un public. Parallèlement il y avait des concerts. (Quelques années plus tôt, j’avais déjà participé au Marathon des arts à L’Isle sur la Sorgue, près d’Avignon). Nous aimerions renouveler cette manifestation à Sarrant, le dernier week-end de juillet. Ce serait l’occasion pour le public de voir le processus de fabrication d’une œuvre d’art et transférer cet événement ici ne pourrait que renforcer sa dimension. … »

Le projet est en cours.

http://www.dominiquepiveteaud.org/index.html

http://psaume139.fr/Piveteau.html

Œuvre de Dominique Piveteaud

©Mahia Alonso pour Nananews