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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

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Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Se faire plaisir avec Louis Philippe

There are no translations available.

 

 

Se faire plaisir dans

le mobilier Louis-Philippe

 

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Style sobre et dépouillé pour les bourgeois d’affaires cossus partagés entre le souci de leur confort, le sens de l’économie et le désir de se donner des lettres de noblesse, l’art décoratif qui s’impose au cours du règne de Louis-Philippe (1830-1848) se prolonge en fait bien au-delà. Il permet encore aujourd’hui de négocier d’intéressantes plus-values et de séduire une clientèle méfiante à l’égard de tout ce qui est moderne mais qui aime ses aises.

 

 

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Produit de l’industrialisation nouvelle, le mobilier représente un style typiquement bourgeois imité d’autres styles (Moyen Age et Renaissance). Le style Louis-Philippe sera donc moins soucieux d’originalité que de confort et de nouvelles technologies de fabrication : par-dessus tout, il cherche à concilier les nécessités d’une production déjà mécanisée, parfois même industrialisée, et toutes les qualités ou presque de la noble tradition artisanale. Ce qui explique en partie pourquoi le mobilier de cette époque ait actuellement la cote sur le marché, car il est à la fois moins coûteux et aussi soigné que celui des époques précédentes.

Des ébénistes « formés à l’ancienne » font aussi des copies bien finies et soignées de ce style souvent imité car assez facile à reproduire avec des techniques modernes. Par exemple, on a noté récemment une armoire 2 portes style Louis-Philippe aux dimensions de 116 (largeur) x 198 (hauteur) x 60 cm (profondeur) au prix fort raisonnable de 342,80 euros et un lustre style Louis-Philippe 6 lumières en laiton fondu, verni et patiné à l’ancienne au tarif de 450 € .. Nous avons aussi remarqué avec intérêt un vaisselier deux portes Colline extérieur en chêne 100% massif, intérieur en pin, avec tiroirs à queue d’aronde à 1050 euros, un buffet Caussade quatre portes, avec dessus plaqué en merisier alaisé massif à 1765 euros, un lit de style Louis-Philippe en merisier massif (210 x 150 x 100) à 3100 euros.

 

« Nous adorons le style Louis-Philippe, car il est à la fois raffiné, sobre et abordable. Nous avons été séduit par l’élégance indémodable du buffet deux portes qui s’harmonise bien dans un décor néo-classique. De plus il se marie bien avec la décoration de notre villa. Et cette passion pour ce style remonte à plus de 25 ans. En 1978, nous avions en effet déjà acheté un vaisselier deux portes pour 6000 francs de l’époque, soit 900 euros environ d’aujourd’hui » déclarent Jean et Annick, un couple d’une cinquantaine d’années de Bornes les Mimosas.

On admire le fauteuil, en acajou massif, qui épouse la forme Louis XV avec dossier cintré et accotoirs à manchettes. Qu’elle soit en acajou ou en ronce de noyer, la commode, couverte d’une plaque de marbre gris veiné, ne comporte plus de colonnes, ni de bronzes et joue la carte de la sobriété, voire de l’austérité avec une orgie d’acajou. Le tiroir supérieur, isolé par une moulure du corps principal du meuble, profile une forme « en tulipe » du plus bel effet. Le secrétaire en acajou ou en palissandre, se présente comme un chiffonnier : la partie haute, qui recèle une série de petits tiroirs généralement en bois clair, s’ouvre au moyen d’un abattant qui sert d’écritoire. Souvent, le socle dissimule un tiroir secret et permet à notre imagination de vagabonder, quand ce n’est pas une délicieuse façon de se raconter des histoires rocambolesques…

En revanche, les jeunes générations qui aiment le moderne et les tons clairs sont moins enthousiastes avec le style Louis-Philippe qui ne se marrie guère avec leur mobilier qui brille.

Ainsi, Jean-Louis a revendu sans état d’âme un buffet et une armoire que lui avait légués ses grands parents. « C’était trop vieux, trop noir et ça ne convenait pas à mon studio clair », commente-t-il avec laconisme et un brin de dégoût.

 

 

 

Tendance que confirme Caprices, un antiquaire en région parisienne qui vient pourtant de vendre il y a quelques mois une belle bibliothèque Louis-Philippe à un client français habitant un pavillon : « Depuis cinq ou six ans, les prix n’ont guère bougé, même avec le passage à euro car on rachète plus qu’on ne vend du Louis-Philippe. On constate les jeunes boudent ce style et nous revendent même souvent leur héritage en mobilier Louis-Philippe. En revanche, les Américains sont toujours preneurs, notamment des grandes bibliothèques »

 

Signe particulier : une méfiance de ce qui est moderne

Pour parler franc, l’architecture en ce début de XIXe siècle manque d’unité, d’originalité, et elle s’appuie souvent sur des modèles anciens. L’on voit apparaître dans le décor intérieur un trait caractéristique qui persistera longtemps : la méfiance à l’égard de ce qui est moderne. On cherche dès lors à déguiser les meubles nouveaux sous une étrange ornementation inspirée successivement de l’art gothique, de l’Islam et de la Chine.

Sous l’influence de la littérature romantique, un premier courant s’établit, celui du néo-gothique », remarquable surtout dans les pendules, les reliures, les bijoux. Ce « style troubadour » perce moins dans l’architecture et le mobilier. Sa mode en fait ne dure que cinq ans (1830-1835). Vint ensuite le goût renaissance qui a laissé sa marque et des traces indéniables dans l’orfèvrerie, l’argenterie, la bijouterie, les porcelaines. Le troisième courant sort directement du Louis XV. En France, jusque dans les premières années du Second Empire, il caractérise aussi bien le mobilier que la céramique, la verrerie, l’orfèvrerie, la bijouterie (1840-1850)

« Sous Louis-Philippe, précise un antiquaire de Bordeaux, les bronzes d’ornement disparaissent, ce qui accentue le côté dépouillé de son style. Les effets décoratifs se concentrent sur le dessin du bois, avec l’utilisation de l’acajou (ou du noyer) flammé et plaqué avec la même feuille sur toute la façade du secrétaire, de la commode ou de l’armoire. Ce sont des meubles à doucine (avec un tiroir pour la commode ou le secrétaire) à pieds bas. Le siège capitonné enfin apparaît vers 1830 et ne disparaîtra que vers 1880 »

 

Sur les murs, les lambris cèdent la place aux papiers peints dits romantiques, ornés de motifs floraux ou champêtres, tandis que le sol est recouvert soit d’une moquette unie sur laquelle on dispose des tapis à fleurs. Les fenêtres et les portes sont garnies intérieurement de lourds rideaux relevés de chaque côté par des embrasses dorées. Les tissus composant les rideaux et la couverture des sièges sont les velours et les soies qui commencent à être teintés avec des colorants artificiels. La passementerie est souvent utilisée.

Le bois est travaillé dans la masse et encore plaqué dans les loupes. Les nouvelles techniques liées à l’industrialisation obligent les ébénistes à changer les montages. Le sciage électrique permet des placages dont l’épaisseur est diminuée.

Mises à part des entrées de serrures (simples pastilles rondes) en cuivre, rien ne vient égayer l’uniformité de couleur de l’acajou, voire du noyer. On admire le haut des meubles en doucine, souvent formée d’un tiroir. Les marbres sont gris sombres (gris Sainte Anne) et accentuent l’effet voulu d’austérité cossue.

 

Les prix sont alignés sur ceux du mobilier Charles X

S’il est marqué d’une certaine lourdeur parfois un peu triste, le style Louis-Philippe s’attache avant tout au confort et s’adapte aux exigences de la machine des styles plus anciens : les bibelots et les accessoires du décor font preuve d’une invention fort libre et riche. En général, les prix sont « alignés » sur ceux du mobilier Charles X, avec une décote plus ou moins sévère (jusqu’à 50%) selon l’esthétique, la finition et la qualité du meuble considéré

« En matière de mobilier, juge un historien de l’art, le règne de Louis-Philippe (1830-1848) n’est guère que le pâle prolongement de la Restauration. Si les formes générales sont les mêmes, elles tendent à s’alourdir et à perdre toute originalité. La fabrication de meubles en série destinée à une clientèle bourgeoise soucieuse avant tout d’économie et de confort que matérialise un goût pour le capitonnage qui ira en s’accentuant. De nombreuses tendances éphémères –fantaisies ne concernent qu’un public restreint et fortuné – s’affrontent par ailleurs et puisent leur inspiration dans les siècles passés, de la Chine à Louis XV en passant par le néogothique dont l’apogée se situe entre l830 et 1833 ».

 

On trouve une ornementation plus recherchée sur certains meubles qui conservent cependant les formes à la mode. A savoir, des mobiliers à incrustations de bois clair sur bois foncé, des meubles noircis décorés de frais bouquets de fleurs naturelles et rehaussés d’un peu de nacre, des armoires, des chaises et des tables d’inspiration médiévale, plus accusées et tourmentées que ceux du style précédent.

Les bois foncés remplacent les bois clairs en faveur sous la Restauration. Les lignes sont épaisses, les sièges confortables, voire cossus. En revanche, les bronzes et les marqueteries, trop chers, sont éliminés. Les motifs décoratifs (feuilles, palmettes, volutes et crosses) se font rares. Toutefois, si la fantaisie n’est guère de mise, les artisans exécutent un travail très soigné et fignolent les meubles : ils choisissent avec soin les bois, ils assemblent et finissent à la main le mobilier Louis-Philippe.

 

Un style à l’image du roi de la bourgeoisie

Parallèlement aux lignes découlant du siècle précédent, naît le style Cathédrale. Le bois est traité dans la masse ou plaqué. Les plus utilisés sont l’acajou en grande quantité et le noyer. Tables, guéridons, consoles, bureaux, commodes et chiffonniers se multiplient comme les pains de l’Evangile. Les armoires et les fauteuils sont aussi nombreux et variés. Accrochez vos ceintures lorsque vous posez votre séant sur un fauteuil Louis-Philippe: on recense à cette époque le fauteuil droit dont l’accotoir se termine par un enroulement, les pieds antérieurs étant droits ou légèrement galbés et les pieds postérieurs « en sabre. Mais vous avez aussi à votre disposition le fauteuil gondole, le fauteuil crapaud entièrement recouvert de tissu et garni de franges, le fauteuil à haut dossier, le fauteuil Voltaire à grand dossier cambré à la hauteur des reins, sans compter la bergère, qui tous vous tendent leurs bras accueillants.

 

 

Outre la commode –massive et lourde – et la commode-bureau, on trouve des guéridons à pied central, des tables à ouvrage, des canapés, des méridiennes, des psychés, des consoles et des buffets surmontés d’une étagère.

Il y en a vraiment pour tous les goûts… et pour toutes les bourses. A l’image du portrait fameux du roi Louis-Philippe ler livré dans « Souvenirs » par Alexis de Tocqueville, qui eût plusieurs fois l’occasion de s’entretenir avec lui : « Quoique le Prince fut issu de la race la plus noble en Europe, qu’au fond de son âme il en cachât tout l’orgueil héréditaire(..) il possédait cependant la plupart des qualités et des défauts qui appartiennent plus particulièrement aux rangs subalternes de la société (..) Il était rangé dans sa conduite, simple dans ses habitudes, mesuré dans ses goûts, humain sans être sensible, cupide et doux ; point de passions bruyantes ; point de faiblesses ruineuses ; point de vices éclatants ; une seule vertu de roi, le courage (…) Eclairé, fin, souple et tenace, tourné seulement vers l’utile et rempli d’un mépris si profond pour la vérité et d’une si grande incrédulité dans la vertu que ses lumières en étaient obscurcies… ».

C.D

 

 

1- Who’s who Louis Philippe ler

Louis-Philippe ler (1773-1850) a été roi des Français (1830-1848)

Né à Paris, Louis-Philippe était le fils aîné du duc d’Orléans (dit plus tard Philippe-Egalité), qui avait confié l’éducation de ses enfants à sa maîtresse, la comtesse de Genlis. Elle eut le mérite de leur donner une formation à la vie pratique en même temps qu’une culture plus poussée que celle des princes de ce temps.

Le jeune duc de Chartres – c’était son titre – embrassa comme son père le parti de la Révolution et fut membre du club des Jacobins. Il s’en alla servir aux armées et participa aux batailles de Valmy et de Jemmapes dans l’état-major de Dumouriez. Lorsque ce dernier tenta en vain de mener son armée contre la Convention et lorsqu’il passa dans les rangs des Autrichiens, le prince suivit son sort (avril 1993). Il connut alors des jours difficiles, proscrit par la France républicaine et objet de haine des royalistes émigrés. Il vécut d’abord caché en Suisse, puis passa en Suède et aux Etats-Unis, où il demeura trois ans. Il revint en Angleterre et se réconcilia avec ses cousins de la branche aînée. Il épousa en 1809 Marie-Amélie, fille du roi de Naples, alors réfugié en Sicile où il vécut jusqu’à la Restauration sous la protection des Anglais. Rentré en France avec Louis XVIII, il passa les quinze années de la Restauration à rassembler, avec un sens avisé des affaires, les débris de l’immense fortune de la famille d’Orléans. En même temps, il courtisait discrètement l’opposition libérale, marquant ses distances d’avec le régime.

Lorsqu’en juillet 1830, Charles X fut chassé à la suite à l’insurrection parisienne, le duc d’Orléans apparaît alors comme l’homme providentiel à ceux qui craignaient de voir instaurer une république qui entrerait en conflit avec le reste de l’Europe. Le prince accepta d’abord le titre de lieutenant-général, puis celui de roi des Français sous le nom de Louis-Philippe ler, consacrant ainsi le principe de la souveraineté nationale.

Son entêtement à repousser toute réforme libérale et à méconnaître le mécontentement croisant contre l’injustice amena la révolution de février 1848 à Paris. Abandonné de tous, le roi abdiqua et s’enfuit en Angleterre où il mourut le 26 août 1850, à Claremont..

 

 

2- La collection Marie Jeanne des meubles Flaux

A défaut de chiner pour dégotter des authentiques meubles Louis-Philippe, vous pouvez vous les faire fabriquer selon les recettes anciennes. C’est moins valorisant et authentique mais c’est aussi beaucoup moins coûteux et assez pratique.

Ainsi, la maison Flaux fabrique depuis 1978 des meubles de style dans le respect des règles de l’art des ébénistes de l’époque concernée. Ainsi, sa collection Marie Jeanne de style Louis-Philippe en merisier de France se caractérise par ses lignes droites et sa sobriété. La gamme complète va de la chambre à coucher (lits jusqu’en 200x200, armoire 5 portes) à la salle à manger (buffet 4 portes, tables toutes dimensions), sans oublier le mobilier de complément, tel que meuble télé, TV Hifi, meuble d’entrée. Les teintes merisier blond associées à son style dépouillé confèrent un certain cachet à cette collection qui mérite le détour. Avec un bon rapport qualité/prix, ce qui ne gâte rien !

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