Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…
A l’Elysée, les reniements ont suivi les mensonges de campagne électorale, rendant incohérentes les actions du gouvernement Hollande/Ayrault.
À l’évidence Hollande la joue Mitterrand, pas seulement avec les trémolos vocaux, mais aussi dans le genre «les chiens aboient et la caravane passe».
De vous et de nous, il s’en tape notre président. Mitterrand s’est bien arrangé de meurtre sur le Rainbow Warrior, des délits d’initiés de ses potes, de son fils à FrançAfrique et même de ses amis collabos de la dernière guerre, alors c’est pas pour des mensonges électoraux qu’il va flipper notre Président:
- Le Traité Européen? «heu, heu, Valérie a dit que je pouvais…»
- La justice pour les ministres? La prison ça compte pas, a dit Valérie, ils ont quand même pas trompé leurs femmes!
Un petit film pas bien ficelé, sorti étrangement à propos alors que les élections américaines battent leur plein, et voilà que la planète musulmane se sent touchée au point d’appliquer ce que le film dénonce : barbarie et violence.
Hollande et le changement : « retour vers le passé » et la 3ème République !
N’avez-vous pas comme un sentiment de déjà-vu, de régression, de retour arrière ?
Dans une « marche arrière toute », François Hollande ramène la France vers le passé et la brouillonne 3ème République avec sa bourgeoisie compassée et hypocrite, qui à l’abri derrière les hauts murs de ses maisons donnait des leçons de morale et de bonne tenue au pauvre peuple d’en bas.
Hollande et le changement : « retour vers le passé » et la 3ème République !
N’avez-vous pas comme un sentiment de déjà-vu, de régression, de retour arrière ?
Dans une « marche arrière toute », François Hollande ramène la France vers le passé et la brouillonne 3ème République avec sa bourgeoisie compassée et hypocrite, qui à l’abri derrière les hauts murs de ses maisons donnait des leçons de morale et de bonne tenue au pauvre peuple d’en bas.
Le civisme à l'école plutôt que la morale, ça devrait mieux le faire !
Plus que de morale à l'école, il aurait fallu parler de civisme, ce beau mot qui contient respect et conscience de l'autre et des autres. Le civisme ne transporte pas de dangerosité, alors que la morale...
Les Français, déçus par Hollande et Ayrault, ont la gueule de bois !
Après la Rochelle et leur réunion annuelle et malgré le silence honteux de nombreux médias sur « l’attentisme » et les méthodes du gouvernement, que ce soit dans ses actions contre les Roms défavorisés, les hausses d’impôts qui pointent ou les pauvres miettes symboliques jetées comme des os à ronger, genre quelques centimes pour l’essence, les Français se retrouvent désemparés devant l’avalanche de trahisons et mensonges qui leur tombe sur la tête.
Après la canicule d’été, la rentrée comme l’été sera « caniculaire » sous le poids écrasant des plans sociaux, taxes et impôts divers qui vont frapper les Français.
A l’étranger pendant quelques semaines, dans un monde pourtant dit de lumière, j’ai découvert un monde exactement semblable au nôtre : moitié loup, moitié coccinelle.
Les albatros, des milliers sur l'île aux oiseaux, y mangent des fleurs d'arbres dont l'île est constituée. Hélas, ils s'engluent les pattes à la colle qu'elles secrètent et dans les mouvements qu'ils font pour s'en débarrasser, gênés par leurs grandes ailes, ils tombent des rochers dans la mer où les requins attendent.
Sans doute pas, et pourtant un seul petit verre de rosé en regardant le soleil se coucher sur les monts du Luberon et l'esprit vagabonde autrement, trouve à sourire de la tragédie, voire de la souffrance et des difficultés qui d'un coup ne donnent à voir que leur absurdité.
Monsieur Hollande, sans le mensonge ce serait comment le monde ?
«Assomons les pauvres » dit l’auteur Shumona Sinha, ce à quoi Hollande et son gouvernement semblent ajouter «Et étouffons-les aussi !».
Ils sont des milliards, des millions en France, alors pour récupérer de l’argent et renflouer les caisses, c’est quand même plus facile.
D’autant que les pauvres, concentrés sur « comment s’en sortir » n’ont pas le temps ni le goût de s’intéresser aux questions qui fâchent. Candides ils sont prêts à croire à tous les pères Noël de la terre et du ciel, alors que nous le savons « Le père Noël est une ordure » ce que confirme le succès du film.
Je veux rester sous ma couette et dans l'ombre des draps ne plus entendre les cris et les fracas d'un monde assourdissant, versatile, préhistorique et masculin. Cruel. Un monde où la douceur et la réalité des femmes n'a pas d'existence possible.
Je n'imaginais pas moi qui revendiquais ma féminité comme un exutoire à vos combats, le repos du guerrier en somme, convaincue de la nécessité des rôles, de nos rôles, de notre statut de femme compensatrice et gardienne du foyer, l'impossibilité dans laquelle vous êtes d'évoluer, de comprendre, de vous desceller du sol et de toucher au ciel.
Comment est-ce possible cette inadéquation?
Le monde des hommes est versatile. Il caquette et tournicotte de la langue et des ondes en un bégaiement incohérent : Sarkozy à genoux, la gauche qui fait deal, les syndicats qui grincent, Zemmour et Rouquier, Obama et des seins d'égéries affichés entre un poing à la rose, une voiture, une pizza et des îles bleues à rêver autrement.
Ce matin je regardais par la fenêtre. Le temps ne décolorait pas, empli d’un orage sec et impuissant à exploser. Trop de chaleur dans l’air saturé d’odeurs sucrées, trop de pluie prête à tomber…
Comme je n'avais pas envie d'aller danser sous la pluie ni d'y courir d'ailleurs, j'allais enfin vraiment avoir du temps pour écrire à Marc. Seulement les mots de Hugues me parlant du temps hier sont remontés en surface, et j'ai écris à Marc, presque malgré moi, une petite histoire d'un temps, légèrement hors du temps...
Moi j'y ai renoncé, les Lumières, la paix, l'extraordinaire couverture sociale dont on jouit en France, en Europe en général et en France plus particulièrement. La Paix et l'Humanisme, l'Europe et la France.
Oui, mais voilà le reste du monde n'a pas notre histoire; une lente et laborieuse élévation vers la tolérance, l'antimilitarisme, la justice sociale, la justice tout court, le droit d'avoir un toit sur la tête, de manger, d'être en sécurité...
Nation ou individu c’est toujours: je te croquerai !
Alors que le sommet Européen du 28 juin aura à son programme «l’euro» son devenir, ses fonctions et partages, nombreux sont ceux qui ne comprennent pas de quoi il s’agit malgré la masse d’informations qui circule.
Des sigles et des chiffres, des accords nébuleux et une dialectique obscure empêchent une bonne compréhension de la situation.
Le temps passe, mais rien ne s'y égare. Surtout pas les saisons qui se poussent à couleurs en veux-tu, ni les amours qu'on croit perdues, même pas les pies revenues depuis peu avec les buses. Il fait chaud aujourd'hui, assez pour ne pas bouger, mais j'ai envie de faire les 200 mètres qui me séparent du lac en contrebas. Il est bleu. Inconsidérément bleu. Je discerne le pont qui au loin sépare le lac de St Croix des gorges du Verdon. Aucune trace d'orage ne l'assombrit, ce qui ne signifie pas qu'une eau torrentielle ne le frappera pas dans un instant. Parfois l'été lorsque les pluies de mousson inondent les terres sèches, les Alpes de Hautes Provence ont des allures de tropiques.
De l’élection de chefs laïques ou d’Eglises au réchauffement climatique, de la disparition des forêts en passant par les espèces en voie de disparition, la globalisation, les guerres, les famines, les virus, les ogm, le nucléaire et autres fléaux très humains, partout on incrimine, on accuse, on détruit, on cherche le ou les coupables, parfois seulement des boucs émissaires, toujours de quoi apaiser la crainte de notre dissolution.
Hollande il y a quelques jours a monopolisé le journal de 20 h pour seulement faire acte de présence, et sous des dehors débonnaires, ne rien dire qui fasse sens politique, hors celui du contrôle des mentalités.
La gauche dans son ensemble et le PS en particulier a intégré de ses précédents échecs qu’il fallait pour avoir le pouvoir, premièrement rester grouper et tenir ensemble la position, ce qui est normal, puis ensuite maîtriser constamment les populations sur le terrain par des manœuvres et des manipulations oratoires et de pressions sur les personnes, ce qui ne l’est pas du tout.
Les femmes par nécessité le plus souvent, parfois par ambition, s’adonnent au «baiser utile» stupidement mis à l’index par RTL, qui n’a pas hésité à licencier Pierre Salviac, histoire de se mettre au sec dans les sabots de Hollande et de ligues féministes qui aujourd’hui encore croient que les hommes sont à abattre.
Heureusement nous sommes nombreuses à penser qu’il est bien plus agréable de les aimer, de les séduire et de les câliner, de les faire tourner en rond autour de nos jupons et porte-jarretelles jusqu’à en faire nos amants, nos maris, nos complices et nos frères, nos amis… Bref à revendiquer quelque chose du féminin originel.
Mais, et les hommes dans tout ça? Seraient-ils à ce point dépendant du désir opportuniste des femmes ?
Absolument pas !
Les hommes eux aussi «baisent utile», et lorsqu’ils décident de fonder une famille et de faire des enfants, mais surtout de faire carrière et d’asseoir leurs ambitions, à leur tour alors de s’accrocher aux millions d’euros de l’une ou de l’autre, à leur statut social pourvu qu’il soit «en haut» et aux possibilités multiples qu’offrent les femmes riches et connues; des journalistes ou des héritières, qu’importe pourvu que grâce à elles, ils puissent assouvir leurs ambitions, acquérir gloire et puissance, accéder au pouvoir et à l’argent.
Les exemples dans l’Histoire sont multiples, mais très près de nous certains sont flagrants: notre président Hollande avec Valérie, petite fille de banquier et journaliste,
Chirac avec l’aristocrate Bernadette Chodron de Courcel, Dominique Strauss Kahn avec Anne Sinclair à la fois héritière et journaliste, voilà pour les plus connus, mais c’est à foison que les hommes «baisent utile».
Parfois même certains allient l’amour à l’utile et là évidemment ils gagnent à tous les coups, parce que quoi de plus beau, de plus fort et de plus conquérant que l’amour?
En tous les cas c’est ce qu’on peut observer en regardant le bel amour d’Audrey Pulvar et d’Arnaud Montebourg pousser l’un et l’autre vers le haut irréversiblement.
Alors, au bout du compte, et au vu de ce dernier couple au bonheur évident, RTL et les ligues féministes peuvent toujours licencier ou hurler, les femmes et les hommes pour des millions d’années à venir, conjugueront encore et sans complexe, sexe, argent et ambitions.
Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.
Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…
Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.