Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…
Conditions de travail dans la vente. « La main d'œuvre féminine est considérée comme une main d'œuvre d'appoint, son salaire come salaire complémentaire à celui de l'homme ! »
(15 mars 2009) en Suisse - Le combat de Marisa Pralong
Jugée vindicative, agressive, dictatoriale parce qu'elle défend des droits légitimes.
Rahmouna a connu le mariage forcé, la violence conjugale, le divorce puis, sans ressources, l’errance avec trois enfants sur les bras. Fatiha s’est mariée à dix-neuf ans. Quatre mois plus tard, alors qu’elle tombe enceinte, elle devient veuve. Lorsqu’elle accouche, son bébé lui est volé pendant la nuit, dans son lit d’hôpital. Que s’est-il passé ? Elle ne le saura jamais.
« Ballottée entre tradition et modernité, entre la famille et les autres... Algérie et France.. . »
Portrait et itinéraire de femmes d’origine algérienne-
Aïcha : Orly Sud, lieu de résidence de la famille d'Aïcha, jeune "Beurette" d'une trentaine d'années : Aïcha dit sur sa famille "je ne veux pas condamner mes parents victimes des traditions ancestrales, c'est très dur pour eux, ils n'ont pas réussi leur éducation.". Elle a écrit un livre « Née en France ».
Djura – , 40 ans, chanteuse du groupe kabyle "Djurdjura", sur la péniche où elle réside "ç'a a été tragique pour moi, un déchirement porté en moi, je ne peux leur en vouloir". - Long extrait du concert de "Djurdjura" à Vincennes. Elle a écrit un livre "Voix du silence". - Suite ITW Djura sur son livre "petite fille ballottée entre tradition et modernité, besoin de me retrouver, chercher mon identité".
« Condamnée pour outrage aux bonnes mœurs »… « Une magistrate impitoyable envers moi. »
Ecrivaine et éditrice française, née le 15 août 1935 à Montmorillon dans la Vienne. D'un ton très libre, voire libertin, ses romans sont souvent des plaidoyers féministes défendant le droit des femmes à s'assumer seules, jusque et y compris dans leur sexualité , qui peut être le lesbianisme . Elle situe l'action de plusieurs de ses romans dans la campagne proche de Montmorillon, et sur les rives de la Gartempe.
Elle devient tour à tourlibraire, relieur, éditeur, scénariste, réalisateur et écrivain. Elle ouvre plusieurs librairies, tant à Paris qu’en province, et crée, en 1968, sa propre maison d’édition, l'Or du temps, et devient de ce fait la première éditrice française. Le premier livre qu’elle publie, « Le Con d'Irène » (sous le titre édulcoré « Irène »), attribué à Louis Aragon, est saisi 48 heures après sa mise en vente, le 22 mars 1968. Elle sera, par la suite, condamnée pour « outrage aux bonnes mœurs » et privée de ses droits civiques.
Elle a été présidente de la Société des gens de lettres et membre du jury du prix Femina dont elle a démissionné en solidarité avec Madeleine Chapsal suite à son exclusion. Elle a également tenu une chronique à L'Humanité, dont des recueils ont été publiés.
Elle publie une centaine d’ouvrages (notamment des livres d’Apollinaire, Gautier, Restif de la Bretonne et Mandiargues, entre autres), dont la plupart font l’objet d’interdictions diverses voire, pour certains, de poursuites pour outrage aux bonnes mœurs. De nombreux procès et de lourdes amendes l’obligent à déposer son bilan.
« L’émerveillement c’est la prodigieuse diversité de la vie qui nous arrive à travers l’expérience de la réalité et qui nous surprend. C’est une gigantesque surprise… »
Entretien avec Matthieu Ricard sur la méditation : Qu'est-ce que la méditation ? « C'est tout simplement l'entraînement de l'esprit », nous dit le scientifique et moine bouddhiste Matthieu Ricard, qui veut laïciser l’acte de méditer.
« On envisage aujourd’hui la méditation en considérant ses bienfaits. »
Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.
Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…
Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.