Les journalistes de gauche asservis au pouvoir
Il y a quelques jours les Israéliens ont fait exploser un drone Iranien susceptible d’avoir des bombes, au-dessus de leur territoire, et tandis que le président Hollande ignorant les réalités sociales et géopolitiques du monde arabo musulman, propose un « clergé musulman » les Islamistes radicaux toutes factions confondues, continuent leur expansion sur la planète, heureux de cette vacuité occidentale qui leur permet d’installer leurs règles religieuses et civiles.
Seul Israël s’oppose à leurs diktats, frontalement et avec vigilance, seulement, rares sont ceux qui comprennent les enjeux de la survie d’Israël pour les valeurs occidentales de démocratie et de liberté, surtout pas « les journalistes de gauche » qui furent au centre du débat de Frédéric Taddéï hier soir dans l’émission « Ce soir ou jamais » et qui, conformes à leur mauvaise foi habituelle, n’écoutant pas les débatteurs, grossiers dans leurs propos et convaincus de détenir la vérité mirent en évidence qu’ils étaient bien les descendants des Staline et autres KGB capables de procès ignobles si cela s’avérait nécessaire à leur ego et à leurs idées à jamais figées.
Une gauche tellement assurée d’être du bon côté du cœur, qu’elle peut déraper et redevenir en quelques instants le « bon médecin blanc » envers les ex colonisés. Hier soir Macha Meril, avec l’idée de montrer combien les gens de gauche sont pour l’égalité, a lancé à une intellectuelle noire et de gauche «Je vous félicite, vous vous exprimez dans un excellent Français».
Le pire évidemment et le plus triste est de constater l’asservissement au pouvoir des journalistes de gauche, qui les prive d’impartialité et de réflexions personnelles sur les situations à dénouer. Si Sarkozy avait osé le millième des mensonges et volte face de Hollande, il aurait été brûlé sur la place publique.
Les médias asservis, les plus grands d’ailleurs en richesse, sont particulièrement pervers et dangereux envers la population française dont ils dirigent la pensée au fur et à mesure des informations déformées ou tronquées, voire omises, qu’ils distillent de minute en minute.
Hélas, de la même façon qu’être médecin ne met pas à l’abri du cancer, la fonction de journaliste ne met pas le journaliste à l’abri des compromissions.
Alors, et pour en revenir à ce que je disais au début, si nous n’aidons pas Israël à survivre, si les journalistes de gauche et les gens de gauche persistent à vilipender la moindre action de défense et de survie de cette nation, on peut être assuré que dans quelques années, trop tard, et ainsi qu’ils l’ont fait après que Soljenitsyne leur ait ouvert les yeux sur la Russie communiste, nous pourrons les entendre dire ainsi que des enfants irresponsables « on ne savait pas ! »