2016 : que coulent les rivières
et les eaux du Jourdain… Par Louise Gaggini 
Et voilà 2016, avec ses paillettes, ses bulles dans le champagne, ses cotillons et ses tralalas. Avec un chiffre qui s’additionne nous rappelant qu’ 1+1 ça fait deux, et puis des jours, des mois et des années… Putain de vie ! disent certains. Putain d’arnaque, oui ! Me faites pas rire, j’ai mal au ventre !
Par Louise Gaggini 129 morts, 300 blessés... Dans la douceur d’un été égaré en automne, les rues de Paris bruissaient de rires et de musique, de ces joies particulières des fins de semaine, quand on sait que l’on va avoir du temps pour faire tout ce que le travail empêche : se coucher tard, aller au resto, au ciné, au concert, voir des copains, et puis traîner au lit avec un café, son amour, l’embrasser, lui dire qu’on l’aime avec des mots d’amour toujours…
Comment tu m’aimes,
demande l’enfant à sa mère ?
Par Louise Gaggini C'est sur ce désir d'amour et sa réponse enfouie en nous comme la possibilité d'une aube, que les hommes et femmes politiques manipulent les populations, suggèrent à leurs électeurs potentiels : «assis, debout, couchés !» et que nous nous indignons ou pas, autorisés à l'indifférence ou à l'amour, monstrueux ou solaires, selon justement le mauvais ou le bon bouton, ce que l'on nous dit de faire ou pas. Pavlov et Milgram avaient tout compris de la nature humaine, et les hommes aux sommets des Etats appliquent leurs méthodes avec un cynisme sans faille.
Génocide palestinien ?
Un leurre international ?
Par Louise Gaggini En Palestine avant 1948, il y avait 1,5 million d'arabes de Palestine (aujourd'hui dits Palestiniens). Actuellement, dans l'ensemble du monde, ils sont environ 11 millions, dont 4, 6 millions en Judéo Samarie et Gaza.
Est-ce que vraiment le mot de génocide s'applique à cette population ? Avant 1948, cette population n'avait ni pays, ni drapeau, ni patrimoine culturel, ni leader, ni identité collective. Des losers volent la République ? Par Louise Gaggini Avez-vous remarqué que ceux qui parlent et brandissent la morale et l’éthique, clament qu’il faut refaire le monde, donnent à voir une image idéale d’eux, sont presque toujours ceux qui dans la vie mentent, trichent, resquillent et ne vivent que dans le mensonge, l’opportunisme, la médiocrité des sentiments et des actions?
Pas toujours repérables surtout quand ils font de la politique, au PS sévissent quelques spécimens du genre, ils maîtrisent parfaitement le double langage ; la duplicité et le camouflage atteignent avec eux des hauteurs vertigineuses. Je t’aime moi non plus Dans l’amour éparpillé de notre quotidien, lorsque l’indifférence s’installe pour l’autre que l’on a tant désiré et aimé, à qui l’on se collait avec l’impression que, s’il disparaissait, jamais on ne s’en remettrait, il y a toujours comme une nostalgie d’amour qui traîne…
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment, dit le poète, alors pour ne pas s’éteindre et vivre, parfois on aime ailleurs en amants interdits, et parfois l’on s’y fait, l’âme un peu brisée, en pleurant devant le plus insipide des « soap movies » ou de Casablanca à jamais éternels. Heureusement, ainsi que chaque année, la St Valentin pointe le bout de son cœur, réveillant des passions et des désirs, démontrant magistralement que ce qui porte nos vies, c’est aimer. C’est l’amour. L’amour. Oh le grand mot. L’important, le grave, l’immense mot si petit dans sa forme. Seulement deux petites syllabes pour signifier cet élan magnifique qui pousse deux personnes à se toucher et à se désirer au point de ne plus vouloir se quitter. Au point de vouloir partager, ensemble, le sentiment d’amour et puis aussi le pain et le lieu. Mais… Je voudrais, mais j’hésite… 
Je voudrais vous dire que l'année 2015 sera douce, paisible et sans guerres. Je voudrais, mais j'hésite. La barbarie en Syrie, en Afrique et dans tant de pays ne s'est pas arrêtée aux douze coups de minuit, les fées et les dieux de cette St Sylvestre ayant résolument détourné les yeux de ceux qui souffrent et meurent sous la violence des armes et des guerres, pour ne s'occuper que de la magnificence de cette nuit unique du passage d'un an à un autre, dans laquelle chacun de nous cherche un signe qui nous ouvrirait enfin à l'universalité, nous démontrerait que le bonheur existe, qu'il est à portée de mains et que nous pouvons y accéder. Je voudrais, mais j'hésite... Les maîtres-chiens ont des nostalgies de kapo 
Il y a des choses dont nous pouvons parler concrètement, l'apoptose est avérée, d'autres petites choses liées à la matière aussi, mais dès que nous touchons à l'abstrait et à l'immatériel, nous émettons des hypothèses, non-vérifiables par l'outil scientifique d'aujourd'hui, qui restent des vues de l'esprit auxquelles certains adhèrent et d'autres pas, selon leur culture et leur éducation. Sommes-nous des monstres ? 
Incapables d’aimer, longtemps, toujours ? Aimer vraiment ? Aimer dans les balbutiements de la chair généreuse oui, mais quand elle devient molle et striée, plissée par les ans, qui aime encore vraiment ? Où s’en va le désir pour l’autre à qui on se collait comme une arapette, convaincue de mourir s’il disparaissait ? Est-ce monstrueux de dire « j’aime les corps lisses et souples, les peaux sans altérations et tendres sous les doigts ? Hollande : ennemi public n°1 
C’est la rentrée. Un tsunami pour le gouvernement qui ne parvient plus à camoufler ses dérives et incompétences, nous renvoyant aux désordres de 36 et des socialistes qui, bien que désireux de bien faire pour le peuple, trahirent leurs idéaux pour une réalité qui ne pouvait laisser de place à la démagogie. Le résultat de leur incompétence et volte face, furent l’élection de Daladier, la répression sanglante qu’il organisa contre le peuple qui manifestait contre le gouvernement, et la disparition du Front populaire, qui à cette époque était une nécessité humaine : l’esclavage avait été aboli, mais les ouvriers avaient remplacé les esclaves. Vivre sans Israël? 
« Mort aux juifs » a souillé les murs de Paris, de Toulouse et de Marseille, a dégradé l’esprit des lumières et des lois qui firent de la République Française « la République », celle unique qui devait donner à chacun les mêmes chances et droits garantis par sa laïcité située au-dessus des origines et des clans. Ces « Mort aux juifs » que le gouvernement actuel a porté en lui pour des raisons électoralistes, mais peut-être aussi pour des raisons plus profondes, révèlent que l’antisémitisme ou l’antisioniste, peu importe le nom, est partout, en tous, de gauche ou de droite, de l’Islam à la chrétienté, enfoui et toujours prêt à ressurgir, à frapper, à humilier, à tuer même « le juif » qui tente une résistance ou une défense. Mais où donc s’apprend le métier de Dieu? 
C’est l’été. Et pourtant j’hésite à parler farniente, soleil, et joie. Douceur de vivre…Aujourd’hui les civilisations démocratiques sont détruites de l’extérieur par des Islamistes ivres d’un pouvoir qu’ils veulent imposer à l’ensemble de la planète, mais aussi phagocytées de l’intérieur par des oligarchies politiques et économiques animées du même désir de contrôle du monde. Des guerres ouvertes ou souterraines, qui entretiennent la peur aux ventres de peuples désenchantés, manipulés et sous emprise, qui écartés de l’essentiel pleurent et jubilent pour une coupe de football gagnée ou un loto perdu, loin, très loin des vrais drames d’une humanité en déséquilibre. L’Apocalypse commence à Megiddo Armageddon, Har-Megiddo en Hébreu n’est pas sans rappeler cette fin du monde «apocalyptique» où Bruce Willis cherche à sauver le monde…
Sans vouloir jouer les trublions, à voir les mouvements de l’Histoire et des hommes, on peut se demander où trouver un peu d’une vérité qui pourrait nous sauver. Quand même. Mais, il y a loin de la coupe aux lèvres et de l’arbre de la connaissance à nos esprits tourmentés. C’est donc complaisant et vaniteux que nous décidons du bien et du mal, bienveillant par-ci, destructeur par-là, sans que jamais le doute ne s’interpose. Des meurtres horribles sont perpétrés et nous devenons bourreaux alors que nous refusons aux personnes qui le souhaitent, de choisir le moment et leur façon de mourir. Nous avons supprimé la peine de mort, mais nous poussons à la guerre sans état d’âme pour les morts que les guerres génèrent ; nous sommes pour les démunis, mais nous jetons les Roms hors de nos frontières ; nous pleurons sur la Shoa et les atrocités nazies, mais n’aimons pas les Juifs ; nous voulons des démocraties, mais nous fraternisons avec l’Arabie Saoudite et la Chine. Puissiez-vous vivre des temps intéressants! Cette malédiction chinoise, il semblerait que nous soyons en train de la vivre. La situation des pays européens n'est pas reluisante: crise économique dont nous ne voyons pas la fin, montée des extrémismes politiques, crise identitaire, tolérance envers la violence politique, appel à la «révolution». Sommes nous assez fous pour revenir en arrière? Avons nous déjà oublié que la violence verbale dans le discours politique amène immanquablement à la violence tout court?
SANS LE MENSONGE, CE SERAIT COMMENT LE MONDE ? Comme des milliers de français j’écoute régulièrement François Hollande, avec l’espoir insensé de découvrir des élans de foi et de fraternité, quelque chose de concret sur quoi accrocher, quand même, l’espoir d’un monde meilleur…
En vain. Des journalistes aux questions préparées, posées dans le souci de lui permettre de naviguer où il veut et dont il semble s’amuser. Aucune controverse, aucun débat, rien d’élevé et un président sans force vitale. Quelques pirouettes sans panache et il repart, me laissant toujours, ainsi sans doute qu’à des milliers de Français, l’amère impression d’un mensonge. Le mensonge est-il un moyen de survie ou une arme de prédateur ? Rien n’est jamais acquis à l’homme, donc «rien n’est jamais perdu aux femmes» Le 8 mars a rappelé à nos pays privilégiés, au-delà des difficultés du moment, que dans de nombreux pays du monde, les femmes sont traitées comme des objets que la nature aurait créé à la seule fin de satisfaire les instincts archaïques des hommes.
Je t’aime moi non plus  Dans l’amour éparpillé de notre quotidien, lorsque l’indifférence s’installe pour l’autre que l’on a tant désiré et aimé, à qui l’on se collait avec l’impression que, s’il disparaissait, jamais on ne s’en remettrait, il y a toujours comme une nostalgie d’amour qui traîne… 2014 : QUE COULENT LES RIVIERES ET LES EAUX DU JOURDAIN… Et voilà, 2014 est là, venu avec ses paillettes, ses bulles dans le champagne, ses cotillons et ses tralalas.
Avec un chiffre qui s’additionne nous rappelant constamment que 1+1 ça fait deux et puis des jours, des mois et des années… Loin des combats douteux Par Louise Gaggini Du réchauffement climatique à la disparition des forêts en passant par les espèces en voie de disparition, la globalisation, les guerres, les famines, les virus, les OGM, le nucléaire et autres fléaux très humains, partout on incrimine, on accuse, on détruit, on cherche le ou les coupables, parfois seulement des boucs émissaires, toujours de quoi apaiser la crainte de notre dissolution.
Ne faudrait-il pas repenser la chose et considérer l'acharnement dévastateur que nous mettons à survivre, non pas comme une indignité mais, au contraire, comme le plus beau des talents que nous avons reçu ? Et cette propension que nous avons à condamner et tuer l'autre ou à le niveler à notre image ne s'est-elle pas amplifiée sous l'impact des volontés opportunistes qui gouvernent les états ? Liberté, liberté trahie, transformée, utilisée ! Hollande : une honte française Par Louise Gaggini 
Liberté, liberté trahie, transformée, utilisée ! Quatre Français libérés après trois années d’emprisonnement sous le joug de terroristes islamistes, qui arrivent en France accompagnés de Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères, ont forcément eu accès à une salle de bain et à la possibilité de vêtements propres et plus dignes que ceux dont on les a affublés pendant leur détention. |
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