Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…
Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.
L’Enfer de Dante, qui est le fil conducteur de cette nouvelle aventure. En Italie, plongé dans une atmosphère aussi opaque que mystérieuse, le héros de Dan Brown, Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard va devoir affronter un adversaire diabolique sorti des limbes de l’Enfer et déchiffrer l’énigme la plus complexe de sa carrière. Elle le fait plonger dans un monde où l’art et la science de pointe tissent un écheveau qui exige de sa part toute son érudition et son courage pour le démêler.
Le Cirque des rêves, deux vieux magiciens rivaux, décidés à prouver une fois pour toute lequel d’entre eux est le plus doué, se battent en duel par apprentis interposés. Comme Arène, ils ont choisi, Le «Cirque des rêves», un lieu mystérieux ouvert seulement la nuit, où leurs pupilles, Celia et Marco , élaborent des tours extravagants qui dépassent de loin le simple passe-passe, d’autant plus que leur vie, et bientôt leur amour, qui est en jeu.
Écharpes qui s’irisent et se transforment en tourterelle, jardins de glace vivante… Sous l’immense chapiteau de son imagination, l’auteure Erin Morgenstern multiplie les effets spéciaux, pendant que le lecteur va de surprises en émerveillements. Un pur enchantement.
Résumé : 14 juillet 1099. Alors que les croisés sont aux portes de la ville, les habitants de Jérusalem se pressent autour d'un homme mystérieux connu sous le nom du Copte pour entendre ses derniers enseignements. La foule, composée de chrétiens, de juifs et de musulmans qui vivaient jusqu'alors en parfaite harmonie, s'apprête à livrer combat et la défaite semble imminente. Mais loin de toute stratégie guerrière, c'est une véritable leçon de vie qui leur est dispensée.
Le Manuscrit retrouvé est une invitation à repenser notre humanité qui pose une question d'une brûlante actualité: quelles valeurs subsistent lorsque tout a été détruit?
Bande annonce de IN VIVO de Louise Gaggini aux Edtions Edilivre
Qui est le loup, qui est l’agneau ?
Une jeune femme, dont le métier est d’écrire, tombe amoureuse d’un homme plus âgé. Sous le charme et l’emprise d’un vieux loup désabusé, qui chasse plus par habitude que par vrai désir, elle plaque le mot amour sur les sentiments qu’elle éprouve tant ce qu’elle ressent est intense et l’emporte. Mais, une rupture les sépare et Laura croit qu’elle va mourir, tant la douleur l’anéantit. Lorsque Stephen revient, elle va le suivre au-delà d’elle même, jusque dans l’obscurité d’un club échangiste, pour qu’il soit heureux, pour qu’il l’aime, convaincue d’être née pour lui : « Je suis née pour toi » avait-elle murmuré juste avant qu’il ne se disperse en elle « je suis née pour toi. »
La conjuration des imbéciles de John Kennedy Toole
Envie de rire aux dépens de votre voisine trop curieuse,de mépriser férocement les jeunes populaires, les gauchistes émos et les flics imbéciles ainsi que tous vos collègues de bureau, de l’ouvrier au PDG? Ce livre est pour vous !
« C’est facile de critiquer le fascisme aujourd’hui, alors qu’avant, dans l’histoire de l’Italie, il a aidé les hommes à survivre ». C’est, à peu de chose près, ce que disait Antonio Pennacchi sur les ondes de France Inter, il y a quelques jours.
Et dans notre monde confus d’aujourd’hui où la peur d’un fascisme associé au nazisme pourrait ressurgir et où les nationalismes s’exacerbent, la voix et les mots d’Antonio Pennacchi avaient une dimension singulière, faites de force et de réalisme, de non compromis et de volonté d’honnêteté. Avec le respect de l’Histoire et de ce que fut pour cette Italie des années 30, pauvre, faite de migrants sans terre, la survenue du fascisme. Un fascisme à l’Italienne, « in somma » qui redistribua les terres aux pauvres, qui assainit les marais, réduisit le paludisme, remit du pain dans la soupe…
Le neuvième tome de Dernier Royaume est consacré à la pensée. Ainsi Pascal Quignard arrive au cœur de sa quête. Livre après livre, Dernier Royaume cherche à éprouver une autre façon de penser.
« …Il s'appelait Fénimore Garamande. Certains disaient : «C'est joli, ça vient d'où?» Et il leur répondait invariablement : «Du mauvais goût de mes parents.» Il avait le genre de gueule qui fait qu'enfant on passe par la gamme complète des surnoms désagréables. Mais que, des années plus tard, pas mal de femmes y lisent l'avenir de l'espèce. Arrivé dans l'ascenseur, il demanda à la glace de quoi il avait l'air. Elle réagit à sa question en chantonnant comme une gamine qu'il était amoureux. Il fit de son mieux pour lui répliquer que non, qu'il était seulement content parce que c'était la première fois depuis son arrivée ici qu'une affaire sérieuse semblait se présenter… »
Dans le monde mathématique, les nombres premiers sont l'équivalent des atomes. Divisibles uniquement par eux-mêmes ou par un, ils forment la substance de tous les autres. Et pourtant, depuis l'invention de l'arithmétique, les scientifiques n'arrivent pas à déterminer leur logique. Ils apparaissent comme disséminés au hasard dans l'océan des nombres.
Il est bien difficile de définir ce petit livre de Jean d'Ormesson. Compte tenu du sujet, résumé d'une phrase sur la couverture («La seule question c'est Dieu, qu'il existe ou qu'il n'existe pas»), le premier qualificatif venant à l'esprit est celui d'essai. Mais, après lecture, on se dit que le mot porte trop de gravité. Il ne rend pas justice à la vivacité du plus aimé de nos académiciens. On a plutôt envie d'utiliser un vocabulaire issu de la musique ou du théâtre : divertimento, impromptu ou encore variations... Cet ouvrage est une fête pour l'esprit...
Jean d'Ormesson ne renonce certes ni à l'élégance ni à la distinction. Lorsqu'il chante la lumière qui lui a «toujours semblé murmurer en silence quelque chose de Dieu», il nous parle d'Amalfi, de Positano, des jardins de Ravello... Pour autant, ce livre a la simple humilité d'une méditation.
Cette petite saga est une suite indépendante de L’Odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya (2013), où l'auteur a suivi les pérégrinations de Grain de Bled à travers le temps et l’espace de l’Afrique du Nord dans le but de venir s’incarner dans une petite fille, Marie Sahara, dont il est l’âme. Échappés in extremis à la tuerie du 5 juillet 1962 à Oran, les derniers membres de la famille, le cœur brisé, doivent quitter définitivement leur patrie algérienne.
Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.
Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…
Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.