There are no translations available. Sofitel : comment DSK a vécu l'accord
L'ancien président du FMI a confié à Europe 1 qu'il craignait que Nafissatou Diallo refuse l'accord. Dominique Strauss-Kahn était presque d'humeur rieuse, lundi soir, à Paris. Un accord financier entre l'ancien patron du FMI et Nafissatou Diallo a été signé lundi au tribunal du Bronx à New York. Cet accord, dont les termes restent confidentiels, met ainsi fin aux poursuites civiles pour agression sexuelle lancées par la femme de chambre Guinéenne contre DSK à New York. "Foutez-moi la paix" Un accord qui marque également l'épilogue d'une saga judiciaire qui aura duré 18 mois. DSK en termine donc avec la justice américaine, il n'y aura en effet pas de procès au civil dans l'affaire du Sofitel. Contacté par Europe1, l'ancien président du FMI, qui n'était pas présent à l'audience de lundi, avait le ton très détendu. Dans l'après-midi pourtant, il s'était montré très mécontent devant les caméras de télévisions venues recueillir ses réactions. "Foutez-moi la paix! Faites vos photos et foutez-moi la paix! ", s'est exclamé DSK à l'encontre des journalistes. Interdiction de parler du montant de l'accord Mais après la confirmation de l'accord, c'est un DSK presque rieur qui a répondu à l'appel d'Europe 1. Il respecte toutefois les consignes très strictes de ses avocats américains : interdiction de dire un seul mot sur la transaction. Le montant de l'accord reste en effet confidentiel, à la demande des deux parties. Selon certains experts, celui-ci pourrait se chiffrer en millions de dollars. L'avocat de DSK, William Taylor, avait cependant qualifié de "complètement inexactes" des informations du quotidien Le Monde faisant état d'un montant de six millions de dollars, soit 4,6 millions d'euros. "On n'était pas sûr qu'en face ils voulaient" Quoiqu'il en soit, Dominique Strauss-Kahn semble soulagé. L'accord avec Nafissatou Diallo n'était pas plié d'avance. "On n'était pas sûr qu'en face ils voulaient. Ils faisaient un pas en arrière, un pas en avant", confie-t-il à Europe 1. Selon le juge de New York, Douglas McKeon, l'accord s'est en effet conclu seulement une heure avant l'audience. Mais pour le reste, DSK ne peut pas, ne veut pas commenter. Tout dans son attitude montrait toutefois un certain soulagement. "Ça va faire de la place dans sa tête", abonde un proche de l'ancien président du FMI. There are no translations available. L'Elysée et le "scandale des miettes"
Des agriculteurs ont été entendus par la police après avoir envoyé un courrier à l'Elysée. Ils voulaient simplement se rappeler au bon souvenir du président de la République, après une pétition envoyée pendant la campagne présidentielle sur la faiblesse de leurs pensions de retraite. Plusieurs anciens agriculteurs de l'Aisne ont donc écrit début novembre à François Hollande. Mais certains d'entre eux ont glissé quelques miettes de pain dans leur courrier. Ils ont été entendus par la police. "Ne laissez pas que des miettes aux anciens exploitants" A l'origine de l'initiative, Henri Carton, un ancien exploitant agricole de 73 ans qui entendait simplement alerter le chef de l'Etat sur la situation des agriculteurs retraité. "On a eu l'idée d'envoyer un courrier, où chacun mettait son nom, son adresse, son âge, ses années d'exploitation et le montant de sa retraite. On a mis des miettes, avec le slogan 'Ne laissez pas que des miettes aux anciens exploitants'. C'était pas mal trouvé", explique-t-il. Environ 500 anciens agriculteurs de l'Aisne ont ainsi écrit à l'Elysée, mais aussi à Matignon, début novembre. Ils étaient loin de se douter que le contenu de certaines enveloppes leur vaudrait la visite de la police. RG et "outrage au chef de l'Etat" ? Henri Carton affirme avoir reçu il y a deux semaines la visite de policiers, qui selon lui appartenaient aux "renseignements généraux", munis d'un document où étaient surlignés les mots "outrage au chef de l'Etat". Il assure qu'une plainte a été déposée par l'Elysée contre son association. Mais l'Elysée a catégoriquement démenti lundi soir tout dépôt de plainte dans cette affaire. "Le courrier adressé au président ne présente aucun caractère offensant et ne fait qu'exprimer l'inquiétude de ses auteurs sur la question des retraites agricoles", écrit la présidence. Pas de plainte mais des auditions Le parquet de Paris a néanmoins ordonné des auditions pour "entendre les explications et motivations des personnes concernées". "Une procédure courante", selon le site francetvinfo. Henri Carton a ainsi été entendu lundi pendant une heure et demi au commissariat de Laon. D'autres agriculteurs doivent eux aussi être interrogés par les policiers. There are no translations available. - Casse toi, poch- tron !! Depardieu s'installe, la Belgique rigole… Le départ de l'acteur français a déclenché quantité de réactions amusées ou critiques. Les frasques du plus célèbre des acteurs français ne sont pas passées inaperçues chez nos voisins. Du coup, l'arrivée dans la petite bourgade de Néchin, sur la commune d'Estampuis, déjà terre d'accueil de nombreux riches français, a fait réagir en Belgique. A commencer par le plus Français des Belges, Philippe Geluck. "Alain Delon ou Charles Aznavour qui s'installent en Suisse, c'est pour l'air de la montagne; les tennismen qui s'installent à Monaco, c'est pour être près de la mer. En Belgique, c'est l'attrait de la ruralité et les jolis paysages. Je ne sais pas ce qui vous fait croire que ça pourrait être la fiscalité avantageuse", s'amuse le dessinateur, sur Europe 1. "Un jour, on aura tellement de réfugiés fiscaux ici qu'on sera obligé de les renvoyer par charter. On ne peut pas accueillir toute la richesse du monde", a lancé avec ironie Philippe Geluck. - L'ISF, il a résisté. Les 75%, il a résisté, mais l'impôt sur la bière, il a dit NON ! - Casse toi, poch- tron !! There are no translations available. Depardieu vend son hôtel particulier
Située à Saint-Germain-des-Prés, la propriété de 1 800m² serait mise en vente à 50 millions d'euros. Gérard Depardieu quitte vraiment Paris. Au départ de l'acteur en Belgique s'ajoute en effet la vente son somptueux hôtel particulier parisien. Une propriété située en plein cœur de Saint-Germain-des-Prés, dans le VI ème arrondissement de Paris et achetée en 1994, pour 25 millions de francs payés comptant. Mais, depuis l'achat de ce magnifique hôtel particulier du 95, rue du Cherche-Midi, Gérard Depardieu n'a pas lésiné sur les travaux. Si bien que la propriété de 1.800 m² habitable est aujourd'hui estimée à 50 millions d'euros, selon Le Parisien.
Inscrit aux Monuments historiques. Mis en vente par l'agence immobilière de prestige Daniel Féau, le logement comprend l'hôtel de Chambon construit au XIXe siècle, inscrit aux Monuments historiques, agrémenté d'un jardin et de plusieurs terrasses. "De l'autre côté du jardin, un second bâtiment de type loft, éclairé par un puits de lumière, superbe pièce d'architecture et de design", décrit l'annonce. "L'incroyable maison de Depardieu". Un bijou que les lecteurs du magazine Elle Deco avaient pu découvrir il y a quelques semaines. L'article, titré "L'incroyable maison de Gérard Depardieu", montrait en effet un palace architectural équipé d'un ascenseur privé, d'une piscine intérieure, de vingt pièces, dont dix chambres. Un projet d'hôtel de luxe avorté. Un bien spacieux que Gérard Depardieu voulait transformer en hôtel de luxe. C'est en 2003 qu'il avait débuté les travaux de cet hôtel construit en 1820 pour le baron Chambon. Il avait alors déposé un permis de construire afin de le rénover. Finalement, l'acteur y a installé les bureaux de sa société de production DD Productions avant de décider de le vendre.
Peu d'acheteurs potentiels. Un bien immobilier de prestige dont les acheteurs potentiels se comptent sur les doigts de la main. Seuls des gens comme la famille de l'émir du Qatar, la princesse Saoudienne, ou encore des chefs d'État Africain pourraient être intéressés par cet hôtel particulier. En septembre dernier, Ali Bongo, le président du Gabon, s'est offert une maison parisienne à 98 millions d'euros. A ce prix là, on pourrait même dire que la demeure de Gérard Depardieu fait figure d'entrée de gamme. There are no translations available. Le Venezuela prie pour Hugo Chavez Pour la première fois depuis 1999 –date de son arrivée au pouvoir, Hugo Chavez ne sera pas physiquement présent alors que se tient un scrutin dans son pays. Il n'assistera pas aux élections régionales de dimanche. Son état de santé est jugé "stable" après son opération du cancer subie mardi 11 décembre à Cuba, selon un communiqué officiel, mais la convalescence du président s'annonce "complexe et difficile", a prévenu mercredi son vice-président et dauphin désigné, Nicolas Maduro. Le Venezuela va donc vivre ce scrutin sans son leader charismatique, ce qui inquiète ses plus fidèles partisans. Des scènes de prière publiques et de soutien se sont multipliées dans le pays et même à l'étranger ces derniers jours. Rien d'étonnant lorsqu'on connaît la piété d'Hugo Chavez mais Europe1.fr a sélectionné les meilleurs situations. - Dans les fiefs chavistes de Caracas, ses partisans se rassemblent pour célébrer le "succès" de son opération. Certains d'entre eux, munis de cierges, de drapeaux rouges et de banderoles à l'effigie d'Hugo Chavez, se retrouvent chaque jour depuis dimanche sur la place Bolivar, dans le centre-ville. - La figurine du commandant collée contre son cœur, cette femme implore la rémission de son président. - Dans le très catholique Nicaragua, même certains musulmans prient pour le leader de la gauche sud-américaine. Sheikh Nasef, l'imam de Managua, est venu lors d'une messe en l'honneur d'Hugo Chavez. - A l'ambassade du Venezuela au Panama, une de ses partisanes n'hésite pas à embrasser le poster du "père" de la république bolivarienne. - A La Havane, des militants de gauche se sont rassemblés devant l'ambassade du Venezuela pour soutenir le président Chavez dans son combat face à la maladie. There are no translations available.
Ségolène Royal attend son ministère L'ex de François Hollande veut revenir sur la scène politique en prenant la tête d'un ministère. Il faut sauver le soldat Ségolène ! Depuis sa cuisante défaite aux élections législatives à La Rochelle, en juin dernier, elle est l’objet de toutes les attentions élyséennes. François Hollande n’a de cesse de répéter à son équipe qu’il faut trouver un nouveau point de chute à Ségolène Royal, la mère de ses enfants. Et un point de chute conforme au statut de la candidate socialiste à la présidentielle de 2007. Compliqué, car la Dame du Poitou est exigeante: un ministère sinon rien. Pour le moment, Ségolène Royal a refusé tous les postes qui lui ont été proposés. Selon les informations d’Europe 1, elle a bien été sondée quant à la présidence de l’Institut du monde arabe. La direction du Parti socialiste a un temps aussi été envisagée pour elle, comme la présidence de l’Association des régions de France, ou du Conseil économique, social et environnemental. Mais Ségolène Royal a d’autres ambitions. Elle discute régulièrement avec Hollande Parce qu’elle n’a pas l’intention d'être écartée de la politique "active", "l’ex", comme on l’appelle au Château, rêve à haute voix d’un ministère. A quelle échéance? "Peu importe, je ne suis pas pressée", répond-elle quand la question lui est posée. Sa certitude: elle a toute sa place dans le dispositif de la majorité. Elle voit ainsi un signe dans le défilé du gouvernement dans son Poitou-Charentes adoré. Six ministres sont déjà venus lui rendre visite, et ce n’est pas fini. "C’est vrai, il y en a d’autres qui vont venir en début d’année. C’est la qualité du travail, ils savent que les choses sont bien cadrées, bien organisées. Je fais mon travail là où je suis pour l’instant et on verra la suite", a-t-elle glissé jeudi au micro d’Europe 1. En attendant "la suite", Ségolène Royal ne se prive pas de décerner bon et mauvais points au gouvernement en place, qu’elle juge pas assez collectif et manquant d’imagination. Le dossier Florange? "Une pagaille". Le seul qu’elle épargne, c’est François Hollande, avec qui elle s’entretient régulièrement au téléphone. There are no translations available. Retraités : leur pouvoir d'achat menacé La revalorisation des retraites complémentaires serait en-dessous du niveau de l'inflation. L'info. Alors que s'ouvre vendredi une nouvelle séance de négociations sur les retraites complémentaires, patronat et syndicats s'orientent vers un accord qui devrait pénaliser le pouvoir d'achat des retraités. Le montant des pensions de retraite complémentaire (le régime Arrco pour tous les salariés du privé, auquel s'ajoute l'Agirc pour les cadres) devrait en effet augmenter moins que l'inflation le 1er avril prochain. Une première. Les pensions de l'Arrco ont jusqu'à présent toujours suivi la hausse des prix. Celles de l'Agirc ont subi seulement quelques coups de frein dans les années 90. Mais une indexation sur l'inflation reste la règle : cette année, les pensions de retraites complémentaires ont ainsi été revalorisées de 2,3%, quand l'indice des prix à la consommation progressait de 2,1%. Pourquoi une telle décision? Les réserves de l'Agirc et de l'Arrco seront bientôt à sec, respectivement en 2016 et en 2020. Leur déficit devrait ainsi dépasser les 10 milliards d'euros en 2017. Fin novembre, le Medef avait proposé de geler les pensions pendant trois ans, une mesure qui aurait rapporté 420 milliards d'euros d'ici à 2017. Une option jugée "régressive" par la CGT. Qu'en disent les syndicats de salariés? La plupart se sont résignés à cette solution (CFDT, FO, CFTC et CGC), mais sous conditions : une hausse des cotisations patronales pour certains, des mesures pour épargner les retraités les plus modestes pour d'autres. Seule la CGT continue de s'opposer à toute mesure se traduisant par une baisse du pouvoir d'achat des retraités. "Cette perte de pouvoir d'achat, nous l’assumerons, sous la condition express que le patronat mette de la cotisation supplémentaire dans les régimes de retraite Agirc et Arrco", a précisé Philippe Pihet, président FO de l'Arrco vendredi matin sur Europe 1. "Les retraités devront malheureusement se serrer la ceinture. (...) plutôt que de voir disparaître à terme les complémentaires", a-t-il justifié. Si on prend ces solutions extrêmes, on va revenir à l'équilibre technique. on pourra repartir sur des bases d'augmentation, de maintien de pouvoir d'achat. Ce n'est pas à vie évidemment" Le gouvernement veut rassurer. "Le pouvoir d'achat est notre préoccupation", a réagi Pierre Moscovici, ministre de l'Economie sur Europe 1 vendredi matin. "Ne vous en faites pas pour les retraités. Les Français savent et doivent savoir que ce gouvernement veut défendre leur pouvoir d'achat", a-t-il assuré. There are no translations available. AdopteUnMec.com, le site des hommes-objets et des femmes consommatrices. « AdopteUnMec.com est le site des femmes, par les femmes, pour les femmes ». Un slogan qui a le mérite d’être clair. Le logo d’Adopte, une femme jetant un homme dans son chariot, est sans ambiguïté. Ici, les filles font leurs courses intimes comme elles le feraient au supermarché au rayon yaourts. Les produits, estampillés du visa contrôle qualité, sont garantis. Les fiches descriptives vantant les doux mâles sont passées au détecteur anti-mytho, anti-porno, anti-tout ce qui paraît suspect. Un produit avarié ira immédiatement à la décharge. La cliente est rassurée.
There are no translations available. Cette année pour Noël, faîtes-vous offrir votre propre arme anti-émeutes : revue de 4 dispositifs pour vous aider à faire votre choix
Qui n’a jamais rêvé de pouvoir rendre muet quelqu’un ? Vous savez cette envie de pouvoir appuyer sur le bouton mute de la télécommande et que, enfin, l’insupportable babillage s’arrête ? Vous en avez rêvé, des chercheurs japonais l’ont fait. There are no translations available.
Vous avez dit «dégradations cordiales»? Christian Duteil On venait tout juste d’apprendre et de digérer la nouvelle de notre dernière dégradation, à savoir : la dégradation de la note de la France par l’agence Moody’s qui lui a retiré son «triple A». Motif officiel mis en avant: les «perspectives budgétaires incertaines en raison de la dégradation économique». Bref, comme un train peut en cacher un autre, une dégradation (du latin degrado: prendre son rang) peut en dissimuler une autre. De quoi nourrir le nihilisme ambiant et d’engendrer la sinistrose dans la douce France droite dans ses bottes. Mais on n’était pas au bout de notre descente politique en enfer et d’aller de dégradation en dégradation dans notre beau pays où paraît- il fait bon vivre. Par exemple, selon l’Unicef, la France est l’un des pays de l’Europe de l’Ouest ayant la plus forte proportion d’enfants de moins de 16 ans (plus de 10%) souffrant de privations (dont l’absence de 3 repas par jour dont un au moins avec de la viande ou du poisson) du fait de la dégradation des déjà faibles ressources du ou des parents. Cette proportion passe à 46% dans les familles où aucun adulte n’a d’emploi, alors qu’on annonce officiellement une dégradation du marché du travail et une hausse du chômage. On n’avait plus rien à se mettre sous la dent, si je puis dire, et on s’apprêtait à aller frapper aux Restos du cœur lorsque éclata le feuilleton de la lutte fratricide à l’UMP (dés-union des magouilleurs pagailleurs?) que se livrent les deux candidats à sa présidence. Lors de la réunion dominicale de la dernière chance sous la houlette du médiateur «casque bleu» Alain Juppé pour éviter l’éclatement de l’UMP et le psychodrame du peuple de droite en colère face à ce tout à l’ego qui conduit droit dans le mur, rien de concret n’en ait sorti au bout du compte. Sinon que Jean François Copé l’a qualifiée de «fort cordiale» et Alain Juppé de «fort tendue». Divergence notable d’appréciation sur une impasse politique qui ne doit pas cacher quarante ans de féroces batailles à droite pour le pouvoir. Vous avez dit «dégradations cordiales»? Pour ma part, bien qu’expert en oxymore, j’en étais resté nostalgiquement à l’entente cordiale. La cacophonie consternante continue à l’UMP dans tous ses éclats sans compter tous les non-dits. C’est beau la famille politique!
CD |
|