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There are no translations available. Une autre histoire du monde Les hommes ont peur de mourir de dissolution ou de délitement, mais peur de vivre aussi.
Alors que nous nous mobilisons pour des greffes d'organes, des transplantations et qu'avec la thérapie génique nous intervenons dans les gènes et leurs structures pour les modifier, guérir et améliorer, certains paradoxalement pensent encore que « l'identité » leur identité est en danger. Il y a bien sûr des valeurs communes que nous partageons pour vivre bien ensemble et un jour elles seront de l'universalité avec des citoyens du monde et des pays fédérés, mais en attendant ce monde plus sage, nous pourrions envisager qu'au-delà des identités nationales, il y a celle mutante de notre nature humaine et primitive. Depuis que le monde existe presque tout ce qui vit sur terre s'est modifié, transformé, mélangé ou a disparu, et d'hybrides en renaissances, nous a donné la vie. L'évolution du monde est constante. Les climats changent, les sols et mers bougent sur leurs plaques et la faune et la flore avec l'espèce humaine continuent leurs transformations, ce qui rend dérisoire tout discours sur l'identité. |
There are no translations available. Du G20 à Joshua : la possibilité d'une aube Peut-on rire de tout ?
Sans doute pas, et pourtant un seul petit verre de rosé en regardant le soleil se coucher sur les monts du Luberon et l'esprit vagabonde autrement, trouve à sourire de la tragédie, voire de la souffrance et des difficultés qui d'un coup ne donnent à voir que leur absurdité. Au cours du mois de juin j'ai cessé de regarder et d'écouter les infos Françaises, agacée qu'elles soient si peu informatives et tellement mensongères sur ces questions qui vont de la prise en compte de l'humain, à ce système économique global qui bien qu'ayant démontré son inaptitude sera bientôt remis sur pieds, comme « s'ils » ne pouvaient concevoir d'autres systèmes que ceux dont ils ont l'habitude ou qui leur profitent si bien. Des petits faits-divers donc, et un ronronnement médiatique qui anticipait des prochaines vacances, bref Clochemerle dans la petite lucarne. Crise intégrée, guerres, famines et maladies pouvaient perdurer, aucune communion nationale pour pleurer des disparus qui chaque jour s'ajoutaient à des listes déjà longues. Pas de quoi relancer l'audimat et de communier comme on communie au bistrot ; ou entre la poire et le fromage. L'indignité, hélas, était toujours ce qu'elle était.. |
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