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COMBIEN COÛTENT LES RETRAITES DES FONCTIONNAIRES ? Les retraites des fonctionnaires coûteront 75 milliards d'euros à l'Etat en 2015, un coût qui atteindra près de 1400 milliards d'euros à l'horizon 2050. D’après le dernier jaune budgétaire sur les pensions de retraite de la fonction publique, le coût des retraites des fonctionnaires s’élèvera à 75 milliards d’euros en 2015. A titre comparatif, le déficit de l’État devrait également se chiffrer à 75 milliards d’euros en 2015. Les retraites de la fonction publique représentent 25% de la dépense retraite en France, alors que les fonctionnaires retraités ne représentent pas plus de 15% des pensions servies ( voir aussi Part des fonctionnaires dans la population active). Les pensions de retraite des collectivités locales ont augmenté de 7% par an depuis 1990 ! En moyenne, la dépense liée aux retraites des fonctionnaires augmente de 4,5% par an depuis 1990. Depuis 2006, 30% de la hausse des dépenses publiques sont dus aux retraites des fonctionnaires. Sur les 26 milliards de hausse des dépenses de l’Etat, 8 milliards ont servi à financer les retraites de la fonction publique. Une hausse entièrement financée par la dette. A l’horizon 2050, le besoin en financement du système de retraites de la fonction publique devrait être compris entre 62 et 68 milliards d’euros. Sur l’ensemble de la période 2015-2050, les retraites des fonctionnaires devraient coûter entre 1200 et 1400 milliards d’euros. Voir aussi La fin du supplément familial des fonctionnaires ? source: lefigaro.fr vérification : http://www.observatoiredessubventions.com/2014/combien-coutent-les-retraites-des-fonctionnaires/ There are no translations available. 
LE SCANDALE DES HLM DE GUADELOUPE En pleine crise du logement, la Semsamar, 3ème bailleur HLM de Guadeloupe, déborde d’argent et le dépense inutilement ! La directrice de la Semsamar gagne en effet plus de 1 million d’euros par an ! Le montant a fait s’étouffer la Mission interministérielle d’inspection du logement social ( Miilos), qui a remis son rapport le […] La directrice de la Semsamar gagne en effet plus de 1 million d’euros par an ! Le montant a fait s’étouffer la Mission interministérielle d’inspection du logement social ( Miilos), qui a remis son rapport le 16 janvier. Le Semsamar, société d’économie mixte qui construit des logements sociaux, des équipements publics ou des résidences privées de standing, emploie 75 salariés. Mais le train de vie de sa patronne, Maire-Paule Bélénus-Romana, est digne d’un dirigeant de multinationale. Maire-Paule Bélénus-Romana a droit à 221 000 euros de salaire fixe par an, soit 18 400 euros par mois. De quoi vivre tranquillement sous les cocotiers, mais pas encore assez. Elle touche aussi une part variable: 5 à 10% des bénéfices nets et 10% des dividendes recueillis dans d’autres filiales. Le total a atteint « 1,46 million d’euros en 2011 et autant en 2012″, selon le quotidien France-Antilles. Maire-Paule Bélénus-Romana a également droit à 2 berlines de fonction, l’une en Guadeloupe, l’autre sur l’île caraïbe de Saint-Martin, plus connue pour ses plages que pour ses logement sociaux, où la Semsamar a son siège historique… S »y ajoutent une demeure de fonction à Saint-Martin et une « indemnité de logement » de 1500 euros par mois pour s’offrir un gourbi en Guadeloupe. Presque un pourboire. Evidemment, une directrice aussi considérable bénéficie de « frais de représentation » ainsi que de billets d’avion, « en fonction de ses besoins« . Autant dire à discrétion… Mais il y a encore plus exotique: ce contrat en or est garanti à vie ! Ou plutôt, précise l’article 11, « jusqu’à l’ouverture des droits à le retraite » de l’indéboulonnable dirigeante . Toutes ces conditions ont été approuvées, en trinquant et avec le sourire, le 26 mai 2009 en conseil d’administration, par les actionnaires de la Semsamar, majoritairement publics. La Région Guadeloupe, la commune de Basse-Terre et la collectivité territoriale de Saint-Martin n’ont rien trouvé à y redire. Il est vrai que la boîte ne fait pas que leur pomper des fonds publics: elle leur reverse des dividendes grâce à de juteuses opérations immobilières. Dans cette belle opulence, tous les salariés roulent en carrosse. Comme l’a révélé « France-Antilles », les secrétaires gagnent « 3000 euros par mois », les cadres intermédiaires « 15 000 euros ». Et les standardistes 5000 euros. Maire-Paule Bélénus-Romana ne comprend même pas qu’on lui cherche querelle: son prédécesseur, affirme-t-elle, gagnait autant qu’elle ! Et sans se faire épingler le veinard… Dans la presse locale, qui a évoqué le prérapport de la Miilos, Marie-Paule Bélénus-Romana s’est défendue avec cet argument massue: si elle gagne autant, c’est qu’elle bosse comme une forcenée. Et d’ajouter: « Le travail du directeur a été multiplié par 100, par 1000… » Voire par 10 000 ! Et on cherche des noises à pareil Hercule… Preuve de sa sobriété, la directrice a proposé, « de sa propre initiative », une baisse « conséquente » de son salaire. C’était en conseil d’administration, le 30 novembre 2012, en pleine inspection de la Miilos. Un pur hasard… source: le canard enchainé vérifications : http://www.observatoiredessubventions.com/2013/le-scandale-des-hlm-de-guadeloupe/ There are no translations available. 
COMBIEN DE FONCTIONNAIRES EN FRANCE ? La France compte près de 7 millions de fonctionnaires. Et leur nombre n’a cessé d’augmenter depuis 30 ans. La Cour des comptes évalue le nombre de fonctionnaires à 5,2 millions. Ils sont 6,9 millions, si l’on comptabilise tous les salariés rémunérés avec l’argent public sans avoir le statut de fonctionnaires. Le coût moyen d’un fonctionnaire […] La France compte près de 7 millions de fonctionnaires. Et leur nombre n’a cessé d’augmenter depuis 30 ans. La Cour des comptes évalue le nombre de fonctionnaires à 5,2 millions. Ils sont 6,9 millions, si l’on comptabilise tous les salariés rémunérés avec l’argent public sans avoir le statut de fonctionnaires. Le coût moyen d’un fonctionnaire tout au long de sa vie est de 3,5 millions d’euros, selon la Cour des comptes. Analyse de Nicolas Lecaussin,directeur du développement de l’ IREF (Institut de recherches économiques et sociales) : « D’après la Cour des Comptes, le nombre de fonctionnaires (y compris ceux de l’Etat) ne cesse d’augmenter. C’est vrai. Cependant ils ne sont pas 5 millions mais plutôt 7. Le gouvernement ne cesse de le répéter : le nombre de fonctionnaires baisse car un seul fonctionnaire sur deux – ou sur trois – partant à la retraite est remplacé. Les paroles ne correspondent pas à la réalité. Un rapport de la Cour des Comptes sur les effectifs de l’Etat rendu public début décembre [2009] montre que le nombre de fonctionnaires a augmenté de 36% depuis 1980 : il y en a eu 1,4 million de plus en trente ans. En même temps, l’emploi total en France progressait deux fois moins vite (18%). Le rapport de la Cour des comptes déplore, bien entendu, la rigidité et l’absence de vision stratégique de l’Etat dans ce domaine… Un Français sur cinq est employé dans l’une des trois fonctions publiques D’après la Cour, au début de l’année 2008, les trois fonctions publiques (Etat, collectivités territoriales et hôpitaux) employaient au total 5,2 millions d’agents, dont près de la moitié (2,5 millions) pour l’Etat. Cela représente un peu plus de 20% de l’emploi total en France. Pour son personnel, l’Etat dépense aujourd’hui deux fois plus qu’en 1980 soit environ 48% de son budget, c’est-à-dire 15,5% du PIB. Or, contrairement à la légende gouvernementale, toutes les fonctions publiques ont progressé : la fonction publique territoriale a augmenté de 71,2% depuis 1980, la fonction publique hospitalière de 53,4% et la fonction publique d’Etat de… 14,3%. Pas de répit donc pour l’augmentation du nombre de fonctionnaires. On ne sera pas surpris d’observer que dans certains domaines, la France a beaucoup plus de fonctionnaires que ses voisins : on compte par exemple 1 policier pour 250 habitants contre 1 pour 380 en Grande-Bretagne. Le « service public à la française » aurait-il des résultats meilleurs ? Il ne manque pas de capital humain ! Mais il faut tenir compte de 2 millions de salariés payés par les contribuables En fixant le nombre de fonctionnaires à 5,2 millions, la Cour passe sous silence tous les salariés qui ne relèvent pas de la fonction publique au sens strict, mais qui sont payés par les pouvoirs publics sans avoir le statut de fonctionnaires. Or, ils sont très nombreux tous ces agents rémunérés par l’Etat, les organismes publics ou parapublics et les entreprises publiques. Leur recensement a été fait par un rapport passé inaperçu : le rapport annuel sur l’état de la fonction publique publié en 2007 par le Conseil supérieur de la fonction publique de l’État. Si l’on comptabilise tous les salariés rémunérés avec l’argent public, fonctionnaires ou pas, le total atteint environ 6,9 millions de personnes soit 26% de la population active française. C’est donc un Français sur quatre qui appartient au secteur public. Sur ces quelque 2 millions de personnes hors fonction publique, environ 712 000 sont des agents des entreprises publiques (Poste, RATP, SNCF, etc..) et 700 000 autres travaillent dans des organismes privés à financement public (associations, enseignement privé, organismes de protection sociale, etc.). Tous ces employés dépendent de l’argent des contribuables autant pour leurs salaires que pour leur retraites. Si l’on en croit la Cour, le coût moyen d’un fonctionnaire tout au long de sa vie est de 3,5 millions d’euros. Donc, au total, les personnes employées par l’Etat coûtent 24.500 milliards d’euros aux contribuables français… Il faudrait que l’Etat refasse ses comptes. Il pourrait ainsi s’apercevoir que ses coûts salariaux sont les vrais responsables des déficits et de la dette (alors que les investissements publics dont on nous parle tant sont comparativement ridicules, comme en atteste une étude de l’IREF ) ». Le site de l’ IREF Vérifications : http://www.observatoiredessubventions.com/2010/combien-de-fonctionnaires-en-france/ There are no translations available. 
Un document de travail de 89 pages, commun à l'administration pénitentiaire et aux services de renseignement de la police, intitulé L'islam radical et les phénomènes de prosélytisme islamistes dans les établissements français, manuel de radicalisation dans les prisons, classé confidentiel, a pour objectif de donner des indices aux surveillants de l'administration pénitentiaire (AP) pour dépister les signes de radicalisation des détenus de confession musulmane. 
Prisons françaises et islam radical : un rapport qui va faire du bruit Un rapport du député UMP Guillaume Larrivé pointe des centaines d'individus dangereux dans les établissements pénitentiaires, sur un total estimé, selon lui, à «40.000 détenus de culture ou de religion musulmane». «Alors qu'environ 60 % de la population carcérale en France, c'est-à-dire 40.000 détenus, peuvent être considérés comme de culture ou de religion musulmane, la radicalisation islamiste est aujourd'hui susceptible de concerner plusieurs centaines de détenus.» C'est le constat établi par le député UMP de l'Yonne, Guillaum Larrivé, dans un rapport «pour un plan d'action anti-radicalisation islamiste en prison» dont Le Figaro publie les meilleurs extraits. L'élu, qui a travaillé sur le budget de l'administration pénitentiaire pour 2015, préconise une thérapie choc: «création d'Unités spécialisées anti-radicalisation (USAR) pour les détenus de retour du «djihad», «sonorisation des prisons», «rétablissement des fouilles» et «blocage des portables non autorisés». Guillaume Larrivé rappelle que, dans les prisons aujourd'hui, les «signes extérieurs de radicalisation ont presque totalement disparu, laissant la place à une radicalisation et à un prosélytisme beaucoup plus discrets et, partant, plus difficiles à repérer.» Il ajoute: «Cette stratégie de dissimulation ou de camouflage est théorisée par certains radicaux sous le nom de Taqyia.» Les dangers de la loi Taubira L'élu met en cause la politique de la ministre de la justice Christiane Taubira : «l'essentiel des marges de manœuvre créées par la loi de finances pour 2015 au sein du budget de l'administration pénitentiaire se trouvent, en réalité, absorbées par la mise en œuvre de la «loi Taubira», c'est-à-dire par la volonté de privilégier une approche de «traitement social» des délinquants, en dehors de l'enceinte pénitentiaire», déplore-t-il. Et Guillaume Larrivé de mettre en garde: «Votre rapporteur pour avis ne peut que regretter vivement que le gouvernement ait fait le choix de privilégier le maintien en liberté, dans le cadre de la contrainte pénale, de délinquants dont la place est en prison et de procéder à des augmentations des effectifs de conseillers d'insertion et de probation qui ne permettront pas d'assurer un contrôle sérieux des condamnés.» Selon lui, cette politique se fait «au détriment de la poursuite d'un programme immobilier adapté aux besoins de notre pays et de la sécurisation de nos établissements pénitentiaires.» Les crédits seraient mieux employés, conclut-il, «s'ils étaient affectés à la mise en place d'un véritable plan de lutte contre la radicalisation islamiste dans les prisons qui reste à bâtir.» Retrouvez l'intégralité de l'article dans l'édition du Figaro du 23 octobre 2014 "Ne pas faire un Guantanamo à la française" A propos des 53 combattants revenus du jihad et incarcéré en France, le député de l'Yonne estime qu'il ne "faut pas tous les regrouper dans un même établissement, ne pas faire une sorte de Guantanamo à la française, ni de le disséminer à droite à gauche comme c'est le cas actuellement mais de réfléchir à une solution que j'appelle des unités spécialisées anti-radicalisation". There are no translations available. 
La France impuissante et ventripotente vit depuis 30 ans au dessus de ses moyens. Concernant la France endettée, la solution du défaut de paiement ne consiste pas à répudier la dette sans contrepartie, mais au contraire à entreprendre une restructuration préventive et ordonnée de la dette française, négociée en accord avec les créanciers. Car ce ne sont pas les créanciers qui sont illégitimes. C’est le débiteur (la France) qui est illégitime : en clair, la France, cet État, en fait, son appareil, impuissant et ventripotent qui, depuis trente ans, vit au-dessus de ses moyens. Tel est le point de vue – intéressant – de Gaspard Koenig. Je n’ai pas écrit que je partage à cent pour cent son point de vue. J’ai simplement écrit que son point de vue est intéressant. Ainsi donc, sur Figarovox, Gaspard Koenig écrit (extraits adaptés ; lien vers source en bas de page) : La France est surendettée. L’ensemble de l’impôt sur le revenu suffit tout juste à payer le service des intérêts de la dette, qui est en passe de devenir le premier budget de la nation. Le présent gouvernement a échoué à «inverser la courbe» de la dette (comme il s’y était engagé dès son entrée en fonction) tout autant que celle du chômage. Faute de réformes majeures ou de croissance miracle, la part de dette sur PIB devrait franchir le seuil des 100% d’ici à la fin du mandat de François Hollande. Parmi nos créanciers étrangers (qui, rappelons-le, détiennent deux tiers de notre dette), certains fonds et établissements financiers ont d’ores et déjà commencé à «shorter» (vendre à découvert) les obligations du Trésor françaises, jugées risquées. Il suffira d’un événement symbolique, comme une nouvelle dégradation par une agence de notation, un énième dérapage du déficit ou une émeute fiscale à la manière des «bonnets rouges», pour provoquer une panique sur les marchés obligataires, conduisant, comme en novembre 2011 en Italie, à une crise de régime. Quand la France se verra fermer l’accès aux marchés, quand les fonctionnaires ne seront plus payés à la fin du mois, quand le ministre des Finances devra aller à genoux demander une ligne de crédit au FMI, on réapprendra le sens du mot «crise», si galvaudé aujourd’hui. Les solutions sont connues, mais la plupart sont épuisées. L’hypertaxation n’est guère envisageable dans un pays déjà atteint de «ras-le-bol fiscal». L’hyperaustérité, objet de tant de débats, arriverait de toute façon trop tard: on voit par quelles fourches caudines il faut passer pour économiser 50 milliards d’euros, qui parviendront à peine à diminuer en valeur réelle la dépense publique.Reste une option, aujourd’hui taboue, mais économiquement rationnelle et historiquement familière: le défaut de paiement. Il ne s’agit pas de «répudier» la dette sans contrepartie, comme le réclame l’extrême gauche, qui fonde son raisonnement sur l’illégitimité du créancier. Il faut au contraire entreprendre une restructuration préventive et ordonnée de notre dette, négociée en accord avec nos créanciers. Car c’est le débiteur qui est illégitime: cet État impuissant et ventripotent qui depuis trente ans vit au-dessus de ses moyens. Dans un rapport publié l’année dernière par le think-tank GenerationLibre, nous proposions un moratoire de trois ans sur les taux d’intérêt. Il suffirait que le Parlement vote l’introduction de clauses d’action collective dans les contrats obligataires pour que le gouvernement puisse ouvrir les pourparlers avec les détenteurs d’obligations, dont la perte réelle ne devrait pas dépasser 10%. Pour être efficace et avoir une chance d’être accepté par le marché, il va sans dire que ce moratoire devra s’accompagner d’un choc de libéralisation sans précédent, selon la logique du «payer pour réformer» (rachat des rentes). La charge d’intérêt «économisée», soit environ 170 milliards d’euros, sera donc consacrée au financement des réformes structurelles qu’aucun gouvernement n’a été capable de mettre en œuvre depuis trente ans. C’est la recette classique qui si souvent fut mise en œuvre pour les pays en voie de développement par le Club de Paris. Deux spécialistes internationaux du sujet, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, parvenaient exactement à la même conclusion, à l’échelle européenne, dans un papier écrit pour le FMI en décembre dernier. «L’énormité du problème, écrivaient-ils, implique que des restructurations devront avoir lieu, en particulier dans les pays de la périphérie européenne, au-delà de tout ce qui a été discuté en public jusqu’à présent ». Au Portugal, Mario Soares, figure historique de la transition démocratique, réclame depuis longtemps le défaut. Le retour récent de la Grèce sur les marchés montre qu’une restructuration bien menée peut rencontrer un certain succès aux yeux même des investisseurs. Un exemple encore plus probant est celui de l’Uruguay en 2003. Au-delà de ces arguments techniques, un défaut provoquerait deux ruptures morales majeures. D’une part, il signifierait que la nouvelle génération refuse de payer pour l’incurie de ceux qui, parmi leurs parents, ont levé la dette pour financer leurs dépenses courantes, et devraient finalement assumer leur inconséquence en absorbant la plus grande partie du choc. D’autre part, le traumatisme du défaut permettrait à la nation, une fois passée l’humiliation initiale, de repartir sur des bases nouvelles, en faisant table rase des 400’000 réglementations qui aujourd’hui étouffent le pays, conclut Gaspard Koenig sur Figarovox (fin des extraits adaptés ; lien vers source en bas de page). Reproduction autorisée avec mention : M. Garroté réd chef www.dreuz.info Source : http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2014/04/14/31007-20140414ARTFIG00294-pourquoi-il-ne-faut-pas-rembourser-la-dette.php There are no translations available.
Alain Soral, l'illustration de l'Antisémitisme "gris"
Ce « gris» est sournois, invisible, silencieux et massif. L'antisémitisme "gris" La vie est rarement tout blanc ou tout noir. Les actes d’antisémitisme violents sont peu nombreux, mais leur violence, l’écho médiatique, leur donnent une importance considérable. A coté, se trouve un antisémitisme « gris », beaucoup moins violent, mais considérablement répandu. - C’est la disparition de toute forme de politesse de la part d’une caissière lorsqu’elle lit votre nom (juif) sur votre carte bancaire ou sur son ordinateur. - C’est votre téléphone qui sonne à 2 heures du matin si vous n’êtes pas sur liste rouge. - C’est votre voisine, toujours d’une grande amabilité avec les voisins, mais qui vous gratifie d’un « bonjour » inaudible. - C’est la remarque sournoise d’un collège de travail sur la « puissante finance juive » alors que vos revenus sont modestes. - Ce sont des journalistes qui parlent de « conflit intercommunautaire » lorsqu’un juif se fait agresser à la sortie d’une synagogue par des bandes de maghrébins. - Ces sont vos amis de 35 ans qui vous disent «vous vous rendez-compte de ce que vous avez fait à Gaza? », alors que vous habitez à Paris, à 4000 km d’Israël, et que, Français depuis 50 ans, vous votez à toutes les élections françaises. - C’est lorsque des pressions et menaces de commerçants maghrébins chassent le seul commerçant juif d’un marché de banlieue. - C’est lorsque deux filles juives qui portent un nom de la paysannerie normande parce que leur père n’est pas juif, révèlent à leurs camarades de classe l’origine juive de leur mère et, après des mois d’enfer, se voient conseiller par la directrice impuissante de changer d’école. - C’est, lorsque… la liste est trop longue… L’antisémitisme « gris » ne rentre dans aucune statistique, dans aucun rapport de police. Il n’apparaît à la une d’aucun journal. Ce « gris» est sournois, invisible, silencieux et massif. Reproduction autorisée avec la mention suivante: © Stanislas Bronstein pour Dreuz.info. There are no translations available.
BDS victoire totale: Saodastream ferme son usine de Judée (et met 900 palestiniens au chômage)
C’est une belle victoire pour les défenseurs du «peuple palestinien» et tous ceux qui se sont joints à l’appel au boycott: Sodastream, le fabricant israélien d’appareils à fabriquer des boissons gazeuses, ferme son usine de Judée Samarie. Lorsque Scarlett Johansson avait accepté de devenir l’égérie de la marque israélienne Sodastream, les pressions avaient fusé de toutes parts, et la marque avait été la cible d’une agressive campagne de BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions). Oxfam, l’ONG caritative dont l’actrice était également la représentante, l’avait même sévèrement critiqué: Oxfam n’aime les Palestiniens que lorsqu’ils tendent la main, pas quand ils travaillent dans une usine israélienne. En réaction, Scarlett Johansson rompit toutes relations avec Oxfam (qui hypocritement tenta de faire croire qu’il l’avait congédiée), défendit la marque installée en Judée Samarie en expliquant que l’usine allait dans le sens de la paix et du rapprochement. Grosse erreur de sa part: l’actrice comprit rapidement que ceux qui soutiennent les Palestiniens cherchent bien plus la démonisation d’Israël que la défense de la paix, et les appels au boycott s’intensifièrent. Finalement, la société israélienne vient de prendre la décision de fermer son usine de fabrication en « Cisjordanie » comme l’appellent ceux qui ne peuvent prononcer le mot Judée, et de relocaliser dans le Negev, au sud d’Israël. 900 travailleurs palestiniens sont au chômage Résultat prévisible: 900 palestiniens sont au chômage. Ils nourrissaient 900 familles, soit plus de 5000 personnes, dans une région qui investit ses ressources (venant des dons des pays occidentaux et pas des riches pays du Golfe) dans l’armement et la corruption et rien ou si peu dans l’économie. Oui, belle victoire pour BDS. D’ailleurs, une victoire n’arrivant jamais seule, BDS peut se réjouir d’une seconde bonne nouvelle: Apple vient d’annoncer qu’il ouvre une branche marketing et vente en Israël, à Herzliya. La société Apple emploie déjà 600 personnes basées à Ra’anana, Herzliya, et Haifa, en raison du très haut niveau de savoir-faire israélien en matière de recherche et développement. Je vous dévoile un secret: les boycotteurs de produits israéliens ne vont pas boycotter Apple, ni aucun des produits de haute technologie dont ils font l’usage quotidien. Reproduction autorisée avec la mention suivante: © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info. There are no translations available. 
Médiapart et ses moutons ! Par Sandy Ah ah, Mediapart et ses moutons, ceux du camp du «bien» du bon et du crétin, se font l'allié de la pourriture islamiste. Ce qui est ironique c'est que la liste des produits à boycotter est constituée de produits agricoles, secteur économique qui emploie le plus de palestiniens…
Mais quelle belle bande de bovins (pas les palestiniens hein) : Mediapart, son positionnement idéologique et tous ces moutons qui ne réfléchissent pas plus loin que le tout petit bout de leur cerveau. Puis ensuite, une liste d'entreprises entretenant des liens commerciaux avec Israël et qu'il convient donc de punir pour cela.
Notez bien que ces hypocrites devraient aller au bout de leur logique anti-israélienne (vous avez vu, je n'ai pas dit antisémite) et tout boycotter…
Et, dans ce domaine, on rirait bien : Ainsi, ils devraient éviter de se soigner avec des médicaments israéliens ou issus de la recherche israélienne (et il y en a un sacré paquet), ils devraient s'abstenir de passer des scanners ou autres examens d'imagerie médicale puisque ces « salauds de juifs » sont en pointe dans ce domaine, ils devraient, séance tenante ne plus utiliser leurs téléphones portables puisqu'ils contiennent pas mal de brevets israéliens, idem avec leur informatique puisque Israël est en pointe dans ce domaine aussi. Ah oui, ils devraient aussi éviter de prendre l'avion en raison d'électronique embarquée israélienne etc. etc. etc. (vous trouverez facilement la liste car des sites pro-israéliens l'ont faite depuis des années) Mais par delà de ça, une question simple : quel autre pays au monde fait l'objet d'une telle campagne de boycott ? Le camp du bien, du bon et du crétin n’a jamais fait appel au boycott de la Corée du Nord, Cuba, la Chine etc. vous voulez savoir combien de millions de mort ont été massacrés au Congo ? Ça intéresse qui ce qui se passe au Soudan ? Où ces enculés de salopards après avoir massacré les chrétiens se mettent maintenant à massacrer des musulmans (si si, parce que ces musulmans là figurez vous qu’ils sont noirs et les autres, les musulmans blancs, ben ils n'aiment pas des masses les noirs). Et les pays arabe? Vous entendez, aucun putain de pays arabe n'a été boycotté, même ceux où s'applique la Charia, même ceux où on massacre (pour de bon cette fois) à tour de bras ! C’est quoi cette «indignation» sélective de moutons décérébrés pas capables de réfléchir plus loin que leur haine des juifs??
Et pourquoi ne boycottent-ils pas le Hamas ou le Hezbollah? Ah mais non, ils le soutiennent ! Ils sont complices de certains des pires salopards que l'humanité ait connus, et ils boycottent, donc prennent une part active contre un état qui se bat contre le terrorisme islamique… Ils ne valent donc pas mieux que ces barbares et en sont en quelque sorte les complices. Et vous savez quoi? Par bêtise, parce qu’ils suintent la bêtise, ils sont incapables de se renseigner ne serait-ce qu’historiquement ou aller au delà de la désinformation, incapables de réfléchir autrement. Ceux dont je parle sont ceux qui partagent connement ce que ces putains de journalistes qui se chient dessus de trouille devant le Hamas diffusent. Même ici chez nous ils se chient dessus. Ils savent tous que les images et informations qu’ils diffusent sont fournies par des palestiniens. Ah mais non, suis-je conne, le Juif dirige les médias n’est-il pas? Et ben dans ce cas mesdames messieurs du camp du « bien » du bon et du crétin, ça va vous plaire, le juif en plus d’être juif est con ! Parce que, s’il dirige les médias, il se démerde sacrément mal ! Médiapart et ses moutons sont une bien belle bande d'enculés! Qu'ils assument leur antisémitisme bordel de merde! J'ai plus de respect pour les SS qui ne se cachaient pas derrière l'antisionisme, eux au moins ! Ces antisionistes de la gauche française sont des sous-merdes. Pour eux, un "bon" juif est un juif mort dans les camps de concentration, victimes de la "bête immonde" nazie, mais pas un juif qui ne veut pas être massacré par un nazillon islamique. Cette gogoche là, crétine à souhaits, a toujours fait les pires choix, s'est toujours alliée aux pires criminels : ils ont soutenu Staline, Mao, Pol-Pot, Kim Il Sung, et leurs millions et millions et millions et millions de morts… Puis Castro, Chavez et je vous en passe… Ils sont antisionistes, ils sont donc contre l’existence de l’État d’Israël. Je les méprise. Je méprise la bêtise «gnangnangneugneu la guerre c’est mal et l’eau ça mouille» Oui la guerre ce n'est pas franchement drôle, il y a des morts, de terribles souffrances et je ne me réjouis pas quand des palestiniens meurent, je ne me réjouis pas non plus quand des israéliens meurent. Alors, le camp du «bien» du bon et du crétin, je t’emmerde et, comme dirait une chère amie très drôle, en plein dans ta face ! Sandy There are no translations available. 
L’embargo sur Israël ? Une aberration ! Par Louise Gaggini L’appel au boycott de produits israéliens, porté par une gauche française antisémite, dont Plenel et Mediapart sont les chantres « décérébrés » est une aberration politique et humaine. La guerre en ce moment tonne entre le Hamas, groupe terroriste responsable des morts de Gaza, et Israël qui tente de s’en défendre pour ne pas lui aussi être mis à feu et à sang par des islamistes qui par ailleurs sévissent dans une grande partie du Moyen Orient, assassinant les populations au nom d’une religion issue du Moyen Âge et de l’obscurantisme. Mais l’antisémitisme, dit antisionisme par commodité de camouflage, de la gauche française alliée dans cette haine à l’extrême droite, endémique depuis la Shoa, ressurgit grâce à l’alibi palestinien, sous la plume de journalistes qui n’ont d’autres fonctions que de « tuer du juif », dans une récurrence française historique. Souhaiter l’émergence d’un État Palestinien digne est légitime, mais l’imposer par des méthodes qui rejettent dans l’amertume et la colère la population Israélienne qui œuvre pour sa défense, mais aussi pour la paix, qui parfois s’engage avec courage contre ses propres frères et familles pour une certaine idée qu’elle a de la justice, ne peut qu’alimenter davantage le conflit existant et renvoyer dans des limbes abyssales, l’ombre même de la paix. L’iniquité et l’injustice n’ont jamais été des piliers de conciliation, mais toujours de révolte et de haine, en rajouter là où elles sont déjà si présentes est de l’ordre de l’inconscience ou de la manipulation. Et quand on sait combien, certains se mobilisent pour la prolifération des conflits ou pour la disparition d’Israël ainsi que l’ont verbalisé le Hamas et l’Iran entre autres, on doit se poser des questions sur le « non-sens ou le sens d’un embargo sur Israël » et redoubler de vigilance pour préserver ce qui tient encore au Moyen-Orient, grâce justement à Israël. Les conséquences d’un embargo sur Israël induiraient encore plus de douleurs et encore plus de guerres, sans rien résoudre. Seule la paix peut éteindre la poudrière qu’est cette région du monde, qui en explosant entraînerait par le jeu des alliances, des désastres et des batailles qu’on peut imaginer planétaires, au vu de l’emprise islamiste, mais cette paix ne peut s’établir sur la perte de l’un pour le bénéfice de l’autre. Elle ne peut se faire pour les Palestiniens contre les Israéliens. Aucun homme sensé issu de nations qui se réclament des droits de l’homme et qui ont inventé l’UNESCO, la Croix Rouge, Médecins du Monde et toutes sortes d’associations humanitaires internationales dans le but de construire un monde plus équitable, ne peut au nom d’une justice dont il croit être le garant, envisager un moyen aussi archaïque et indigne que l’embargo pour briser un pays. Un tout petit pays par la taille, dont la volonté première n’est que celle de sa survie dans une enclave entourée d’ennemis avérés. Celle de vivre en paix et d’avoir un avenir sans guerre pour ses enfants, qui rappelons-le meurent à vingt ans aujourd’hui dans cette lutte contre un terrorisme islamiste, dont l’objectif est de s’étendre à toute la planète dans une volonté d’écrasement des civilisations occidentales. Comment des hommes conscients des réalités et des enjeux de pouvoir qui sous-tendent le conflit israélo-palestinien, peuvent-ils vouloir un embargo aux conséquences si prévisibles ? Quelle vanité les porte à croire qu’ils peuvent le faire en toute autorité et avec l’absolution d’un certain nombre qu’ils entraînent dans leur démarche manichéenne, réveillant au passage un antisémitisme toujours prêt à se mobiliser ? La réponse est évidente, la haine des juifs demeure, entité maléfique dans une humanité toujours en quête de meurtres et de jeux du cirque, de sang à boire ; une haine qui trouve son exutoire dans la destruction d’Israël. «Les guerres prenant naissance dans l’esprit des hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix» nous rappelle l’Unesco. J’ajouterai, mais plus particulièrement dans l’esprit de ceux qui détiennent pouvoir et puissance, parce que les désastres liés à leurs décisions jonchent trop souvent les rives de l’histoire. La paix sera un jour au Moyen-Orient, mais ce sont les Israéliens et les Palestiniens qui l’établiront et la signeront, ensemble, dans leur langue respective, l’Hébreu et l’Arabe enfin réconciliés sur le papier d’un traité. Au commencement était le verbe dit la Bible, alors si c’est vrai espérons que là où sont ses racines, elle parvienne par un de ces tours de magie dont elle fut coutumière, à faire que les mots enfin prennent la place des armes. Qu’ils s’apposent, à jamais indélébiles, et ouvrant le champ de la fraternité et de la paix, nous redonnent à voir l’infinie beauté d’un Moyen-Orient auquel nous sommes tous attachés par le cœur, le corps, les racines, la spiritualité, par les gènes ou la religion, croyants ou pas. LG There are no translations available. 
Citer les journalistes ! Par Louise Gaggini Itele, 10h14 le matin du 6 août : Philomène Rémy : « Enfin les Gazaouis ont pu dormir cette nuit après 30 jours sous le feu des bombardements ». Une vraie journaliste aurait dit : « Enfin, grâce à la trêve, les Gazaouis et les Israéliens ont pu dormir sans subir de tirs et de bombardements.» Mais ce n’est pas ce qu’elle a fait. Elle a volontairement occulté une partie de l’information. Elle a tronqué la réalité, l’a déformée, pour faire croire aux millions de gens qui regarderont et écouteront cette information qui passera en boucle sur cette chaîne pendant plusieurs jours, que les Gazaouis sont seuls en détresse, ce qui n’est évidemment pas le cas. Des milliers de roquettes ont été tirées sur Israël obligeant la population, femmes, bébés, enfants, vieux, enfin tout le monde à courir aux abris et à s’enfermer dans les caves ou des chambres sécurisées, tous les jours, à tous les moments, à chaque sirène hurlante qui les avertissait des bombes et des missiles qui arrivaient, tandis que le dôme de fer interceptait les missiles, les faisant exploser dans les airs. Sans cette défense il n’y aurait plus d’Israël, mais plus de 8 millions de morts ! Une nation et un peuple que l’on détruit ou l’on veut détruire sciemment cela porte un nom «génocide » Quand Philomène Rémy occulte les israéliens pour ne parler que des palestiniens, elle participe à cette volonté de génocide sur la nation juive! Philomène Remy fait honte à la profession de journaliste que certains pourtant il y a longtemps, ont porté si haut. Les journalistes dits de gauche (la majorité de la presse française) sans déontologie ni éthique, sans conscience même de leur fonction d’information, ont pris le parti de déformer et occulter les vraies informations pour correspondre à une, ou des lignes dictées par l’Élysée. Sur le conflit Hamas/Israël, mais sur d’autres conflits aussi, Syrie, Lybie, Congo, Chrétiens massacrés, montée en puissance du monde arabo islamiste un peu partout dans le monde et évidemment en France… Plus rien n’arrête les rédacteurs en chef et leurs journalistes (j’ai un peu de mal à leur donner ces noms, tant ils ne les honorent pas) qui s’évertuent à être les plus doués dans le genre, comme si un Oscar allait être donné au meilleur falsificateur ou au plus menteur d’entre eux. 10h14 SUR ITELE CE MATIN AVEC PHILOMÈNE REMY : LES GAZAOUIS ONT ENFIN PU DORMIR APRÈS 30 JOURS DE BOMBARDEMENTS : Pas un mot sur le « sommeil » des Israéliens. C’est quoi Israël et c’est où ? Pas connu dans son district à l’évidence ! Hélas, ce sont ces manipulations, ces faits transformés et tordus à des fins d’intoxication des esprits, que les Français entendent d’une façon récurrente quel que soit le sujet, et particulièrement sur le conflit Hamas/Israël, au point qu’ils ne savent même plus que des djihadistes armés sont dans Gaza, avec des bombes et des roquettes. Les « journalistes » ne montrent que des civils, jamais une arme ou un terroriste ; des ruines, des enfants, des femmes dans Gaza, et jamais d’images ou d’interviews de femmes et d’enfants israéliens soumis aux bombardements depuis un mois, leurs peurs, leurs angoisses, qui réveillent d’autres peurs plus lointaines, où déjà on traquait les juifs, on les torturait, on les tuait. 6 millions de juifs assassinés par les nazis avec l’aval des Français et de quelques autres. Alors pour que l’histoire ne se répète pas sous mes yeux sans que je n’aie agi contre, j’ai décidé, et je suggère à ceux qui ont une conscience, d’en faire autant ; de se mobiliser pour lutter contre ce journalisme qui n’en est plus un, pour faire cesser cette intoxication et cette mainmise d’un pouvoir que vous croyez ami parce qu’il trône sur votre commode, votre mur ou sur la table de votre salon, alors qu’il n’est lui-même que soumis aux oligarchies politiques et économiques du moment. Là où il nous faudrait des Camus et des Zola, des Sartre même, nous avons des Philomène Rémy et des Laurent Joffrin… Certains disent que nous avons les sociétés que nous méritons. Et vous, qu’en pensez-vous ? LG |
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