Hollande malade d’apraxies !
Par Pauline Ebrart
Le pouvoir ne corrompt que ce qui est corruptible :
Hollande semble être toujours à côté de son histoire. Une chose et son contraire démontrant quelque chose de « l’inversion » neuronale et biologique, qui lui fait dire une chose, convaincu de la vouloir vraiment, et faisant constamment l’inverse parce que voulant réellement l’inverse.
Le problème c’est l’image !
L’image que ce genre de personnalité fragile veut donner d’elle même, jamais en adéquation avec ce qu’elle est, et qui l’amène à dire une chose, idéale, et à en faire une autre, désastreuse.
Le meilleur exemple de sa «dysplasie» est le mariage. Il propose le mariage pour tous et est dans l’incapacité d’épouser une seule des femmes ou mères de son histoire personnelle.
Il y a un nom, voire plusieurs pour cette maladie lorsqu’elle est portée à son paroxysme pathologique ainsi que Hollande la vit : l’apraxie.
Nous avons tous vu Hollande bégayant, se trompant d’allée, la cravate de travers, la chemise hors du pantalon, le cheveux trop teinté, bafouillant des heu, heu suspendus en l’air, avec l’air de ne jamais pouvoir redescendre et investir correctement une phrase.
Nous l’avons tous vu ou entendu dire, je ne prendrai personne au gouvernement ayant eu affaire à la justice, je moraliserai la politique, je redonnerai le pouvoir au peuple, je l’écouterai et je le porterai : je, je je, je je, je…
Autant de « je,je,je » que de « moi,moi,moi président », mais si les Français avaient été moins obnubilés par ces conflits droite/gauche qui obscurcissaient leurs méninges, ils auraient vu la dyslexie de Hollande, ses désordres mentaux et ses contradictions, ils auraient vu et entendu que pas une fois pendant cet honteux débat télévisé, il n’avait parlé de ce que lui ferait, seulement préoccupé de couper la parole à son adversaire, empêchant le débat démocratique attendu.
Il y a tout un pan de lui qu’Hollande ne voit pas, qu’il ne sait pas, ainsi qu’on peut l’observer dans cette aplaxie qui empêche certains individus de voir la totalité de leur visage ou de leur personne.
C’est réellement l’indulgence que l’on peut avoir pour lui, le savoir malade et incapable de savoir ce qu’il fait réellement, parce que sinon, au-delà de cette maladie qui explique parfaitement sa gouvernance invertie ainsi que sa mythomanie surréaliste, il ne serait question que de fourberie, d’hypocrisie, de perversion, de volonté prédatrice, et alors là, vraiment, au vu des appuis médiatiques et des procédés d’apparatchik du gouvernement Hollande, la dictature aurait déjà investi l’Elysée, aurait déjà défait la République.
P.E
En savoir plus sur la maladie neurologique d’Hollande :
Les aplaxies ou la perte du savoir faire Une apraxie est un trouble de la réalisation d'un geste, malgré une compréhension et des fonctions motrices intactes ; l'apraxie peut cependant se surajouter à des problèmes de compréhension ou à des difficultés motrices, mais n'est pas due à ces troubles…
Quels sont les différents types d'apraxies chez l'adulte?
L’apraxie constructive
C'est l'incapacité “de construire un tout à partir de ses différents éléments”.
Ainsi les représentations géométriques seront difficiles ou impossibles : dessin d'un carré et surtout les figures en trois dimensions (par exemple dessin d'un cube).
De même pour les assemblages de cubes ou les constructions à l'aide de bâtonnets.
Ce trouble est en pratique peu gênant (sauf chez les architectes, géomètres, gênés dans leurs activités) et donc décelé surtout par un examen attentif. Le siège de la lésion est pariétal.
À noter que si l'atteinte est à gauche, le sujet est aidé dans ses performances par un modèle. Si l'atteinte est à droite, il ne l'est pas.
Les apraxies gestuelles :
On distingue deux grands types d'apraxies gestuelles en fonction de l'utilisation ou non d'un objet.
- L'apraxie des gestes sans manipulation d'objet ou apraxie idéomotrice : c'est l'incapacité de réaliser correctement soit des gestes symboliques (signe de croix, salut militaire, pied de nez ), soit des mimes d'utilisation d'objets (mime d'utilisation d'un marteau, d'un peigne...).
- Les gestes sont globalement maladroits ou approximatifs, ils sont souvent répétés (persévérations). Le siège de la lésion est pariétal.
- L'apraxie de manipulation d'objet ou apraxie idéatoire: c'est l'incapacité de coordonner les gestes nécessaires à l'utilisation d'un ou de plusieurs objets.
- Le sujet démarre l'action, s'arrête en route, répète le début du geste. On peut mettre en évidence ce trouble en demandant par exemple au sujet d'allumer une bougie ou de planter un clou. Le siège de la lésion est pariétal.
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Les autres apraxies :
- L'apraxie de l'habillage : le sujet est incapable de passer correctement ses vêtements pour s'habiller. Par exemple, il ne parvient pas à mettre sa veste qu'il tourne et retourne pour savoir comment l'enfiler.
- L'apraxie bucco-faciale : elle empêche le sujet d'exécuter des mouvements volontaires.
Les particularités des troubles neuro-visuels d'origine néonatale
Ces troubles ont surtout été étudiés chez l'enfant IMC ancien prématuré.
Ainsi ont été décrits des troubles de la motricité oculaire responsables en particulier :
- d'une fixation instable du regard: l'enfant ne peut fixer durablement une cible immobile;
. d'un déficit du mouvement de poursuite : l'enfant ne peut pas suivre du regard une cible mobile ou le fait difficilement;
. d'un mauvais balayage visuel : les stratégies d'exploration et de recherche visuelles sont perturbées voire anarchiques.
La conséquence de ces troubles est une désorganisation de la prise des informations visuelles.
De la qualité de ces informations dépend beaucoup la structuration de l'espace et de la motricité de l'enfant. Les apprentissages scolaires seront directement perturbés par ces troubles de coordination des yeux et d'exploration visuelle. Lors de la lecture, des mots et des lignes seront régulièrement sautés. En mathématique, les dénombrements ne seront pas réussis (des objets ne seront pas comptés, d'autres le seront plusieurs fois).
CQFD