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Après une catastrophe nucléaire, mieux vaut ne pas évacuer les vieux

Par Michel Alberganti 

catastrophe nucléaire

Au cours d'un débat sur l'étude de l'IRSN qui évalue le coût d'un accident nucléaire, la question des victimes a conduit à cette conclusion aussi logique que surprenante. Et inapplicable.

 

Le nucléaire n’a pas fini de nous étonner. Et il va revenir sur le devant de la scène à partir du mois de mars 2013, avec le deuxième anniversaire de la catastrophe de Fukushima du 11 mars 2011 et le lancement de la phase participative du débat public sur la transition énergétique française devant aboutir à un projet de loi à l’automne, et non plus fin juin comme initialement prévu.

En apéritif, l’IRSN a rendu publics, le 19 février 2013, les résultats de ses travaux sur « le coût économique des accidents nucléaire entraînant des rejets radioactifs dans l’environnement».

Un débat que j’ai animé, était organisé par l’IHEST sur ce sujet le 21 février. L’étude, réalisée par Patrick Momal, économiste et chercheur à l’IRSN, est une première, semble-t-il, mondiale. Démarche aussi courageuse qu’utile de la part d’un Institut dont la mission première, l’expertise en matière de radioprotection, est plus technique qu’économique.

Fukushima

Des fonctionnaires vérifient les taux de radiation, à Koriyama, le 13 mars 2011. REUTERS/Kim Kyung-Hoon

Après la révélation de chiffres sur lesquels nous reviendrons, le débat s’est déplacé sur la question des victimes, un mot étrangement absent de la synthèse de l’étude de l’IRSN. Certes, il est fait mention de «coûts radiologiques», de «réfugiés radiologiques», de «conséquences sanitaires». Mais, en lisant le rapport, on est amené à penser qu’un accident nucléaire impose une gestion de crise, des dépenses considérables, une subtile gestion de l’impact économique...

Mais pas la prise en compte, sanitaire et économique, des victimes. Contrairement aux tremblements de terre, aux tsunamis, aux éruptions volcaniques, aux inondations et autres épidémies, le nucléaire ne se caractériserait donc pas par le nombre de morts provoqué par une catastrophe.

Sensationnalisme                 

L’étonnement ne s’arrête pas là car, lorsque l’on pose la question, la réponse est: «Tout dépend de ce que vous appelez “victimes”.» En effet, pour Patrick Momal, les accidents nucléaires ne font pas vraiment de morts. Aucun à Three Mile Island en 1979, un petit nombre à Tchernobyl en 1986 et probablement très peu voire aucun à Fukushima en 2011.

Quel soulagement! Quand on pense aux légendes qui courent encore sur les centaines de milliers de liquidateurs de Tchernobyl ou sur les risques de cancer des 80.000 personnes évacuées dans la région de Fukushima... Un tel discours ne peut être que rassurant. Et la peur panique, toujours associée aux irradiations, trouve enfin sa véritable source: les médias à cours de sensationnalisme pour «vendre de la copie».

Fukushima

Des personnes évacuées d'une maison de retraite proche de la centrale de Fukushima Daini, dans un abri de fortune à Koriyama, le 13 mars 2011. REUTERS/Kim Kyung-Hoon

La peur est également à l’origine des évacuations massives. Et, pour Patrick Momal, ce sont ces opérations qui font courir les plus grands risques aux populations. En particulier en ce qui concerne les personnes âgées.

Ces dernières ont tout à perdre en quittant leur maison. Pendant l’évacuation, elles risquent de succomber à la fatigue et à la difficulté pour prendre leurs médicaments. Dans les centres d’urgence, elles subiront l’inconfort et le bruit. Tout cela pour échapper à quoi? Au risque d’avoir un cancer trente ans plus tard? C'est-à-dire après leur mort naturelle?

La logique du raisonnement semble imparable. Les personnes âgées ont tout intérêt à rester tranquillement chez elles et à se nourrir avec les légumes du jardin. Elles sont, en quelque sorte, intrisèquement immunisées contre les irradiations. De plus, les cancers de la tyroïde se soignent très bien aujourd’hui, ajoute Patrick Momal. CQFD. Les accidents nucléaires ne font donc pas de victimes, si ce n’est celles dues aux mesures prises... pour protéger la population des radiations.

Ville-maison de retraite irradiée et désertée

En 2010, la population de Tchernobyl était estimée à 500 personnes contre 12.500 en 1979. Le conseil de Patrick Momal a donc été suivi, malgré la pression des autorités, par certaines personnes. Mais il faut un attachement très fort à une terre et une maison pour continuer à vivre dans une ville fantôme. Même si les personnes âgées sont les moins vulnérables au risque de cancer, il est délicat de les imaginer vivant seules, abandonnées, sans soins ni hôpital à proximité, sans commerces... Dans une sorte de ville-maison de retraite irradiée et désertée.

Le charme discret du nucléaire réside sans doute dans sa capacité à engendrer de telles démonstrations. Et dans la coexistence de versions très différentes des faits. Ainsi, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Nations unies (PNUD), ont estimé, en 2005, le nombre de morts imputables à la catastrophe nucléaire à 4.000. De son côté, Greenpeace a publié en 2006 un rapport concluant à 200.000 décès sur 15 ans.  En 2009, l’Académie des sciences de l’Etat de New York a publié une étude de chercheurs russes, dont Alexei Yablokov, concluant à un nombre de victimes compris entre 600.000 et 900.000 morts. Etude critiquée en 2010, par un autre chercheur russe, Sergei Jargin, auquel Alexei Yablokov a répondu.

De zéro à 1.300 morts

Pour Fukushima, la situation n’est guère plus claire, d’autant que le recul manque. Nous avons rendu compte, en juillet 2012, de l’étude l de chercheurs de l’université de Stanford qui concluent à une fourchette de 15 à 1.300 morts et de 24 à 2.500 cas de cancer. Etude critiquée aussitôt par Burton Richter, prix Nobel de physique en 1976 avec Samuel Ting, le chercheur de matière noire. En mars 2012, un article du Daily Telegraph traduit par Courrier International, avait fait sensation en titrant: «Tsunami: 20.000 morts, Fukushima Daiichi: zéro mort».

C’est dire l’extrême confusion qui règne dans ce domaine où les études se succèdent pour dire une chose et exactement son contraire. On peut donc s’attendre à une étude aboutissant à des conclusions très différentes de celles de Patrick Momal.

Accident nucléaire grave ou majeur

L’économiste de l’IRSN a analysé deux cas d’accident nucléaire: le grave et le majeur. Tous deux correspondent à la fusion d’un cœur de réacteur de 900 MW. Dans le premier cas, le grave, avec «des rejets radioactifs importants mais différés dans le temps et partiellement filtrés». Dans le second, le majeur, avec «des rejets massifs, précoces et non filtrés». La facture d’un accident grave s’élèverait à 120 milliards d’euros, soit 6% du PIB de la France, et celle d’un accident majeur à 400 milliards d’euros, soit plus de 20% du PIB.

On ne peut que saluer le courage certain de l’IRSN. Lancer de tels chiffres sur la place publique en plein débat sur la transition énergétique pourrait être interprété comme une condamnation du nucléaire. Une technologie dont le coût en cas d’accident n’est simplement pas dans nos moyens. Ce serait là, bien entendu, une lecture trop rapide de l’étude.

Le détail de la facture conduit en effet à un diagnostic beaucoup moins militant. Seule certitude, le travail de l’IRSN, et c’est d’ailleurs sa première conclusion, vise à mettre la pression sur EDF à qui l’ASN a imposé 10 milliards d’euros de modifications des centrales françaises à la suite de Fukushima. L’IRSN met explicitement «en regard» cette somme avec le coût d’un accident.

Pour le pays, la démonstration est évidente. Elle l’est moins pour l’exploitant. En effet, la facture concernant les coûts «sur site», c'est-à-dire dans la centrale concernée, atteignent 6 milliards d’euros pour l’accident grave et 8 milliards d’euros pour l’accident majeur. Soit moins que les 10 milliards d’euros des investissements destinés à prévenir un accident...

Principal coût: l'image

La principale leçon de cette étude réside dans les «coûts d’image». Ils atteignent environ 40% de la facture dans les deux cas d’accident. Si l’on ajoute les coûts liés à la baisse de production de courant électrique, on atteint de 60% (accident majeur) à 77% (accident grave) de la facture.

Ainsi, le coût d’un accident nucléaire se révèle majoritairement non nucléaire. L’ensemble des frais liés à la contamination des hommes et des territoires se situe entre 20% (grave) et 40% (majeur) du total. Si l’on doit se préparer à subir un tel séisme financier, le plus rentable est de s’attaquer... aux coûts d’image, comme le manque à gagner dû à la baisse du tourisme. Or, parmi les principaux moteurs du vent de panique post-accident nucléaire, on trouve… les médias.

Il suffirait donc de convaincre les journalistes qu’une irradiation provoquée par un accident grave ou majeur ne dépasse guère celle de la radioactivité naturelle du sol, d’un voyage en avion ou d’un examen médical, pour économiser des dizaines de milliards d’euros. Dont une partie pourrait peut-être, en retour, servir à aider la presse en péril.

M.A.

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