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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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ecole chair

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Regardez, c'est génial

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

-       Fruits et légumes d’automne

-       Les vertus des baies de Goji

Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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There are no translations available.

 

Alcoolisme: 35 200 morts et «la» solution rejetée

 

Par Pauline Ebrart

Alcoolisme

 

35 200 morts par alcoolisme par an, un médicament

sauveur et son rejet par l’Etat pour cause de courbettes

aux lobbyings pharmaceutiques et vinicoles.

 

L’alcoolisme tue plus de 100 personnes par jour, la jeunesse ne sait plus s’amuser sans boire beaucoup trop et fera des milliers de malades demain, et pourtant alors que le baclofène existe et est utilisé dans d’autres pays avec succès pour guérir l’alcoolisme en supprimant la dépendance, sans rien perdre du plaisir d’un verre, au contraire des traitements couramment prescrits qui passent surtout par l’abstinence et son taux d’échecs liés aux frustrations, la décision de son utilisation en France est repoussée par des médecins traditionnels et frileux, voire à la solde de certains groupes pharmaceutiques, mais aussi par l’Etat français qui préfère laisser mourir les malades plutôt que de s’opposer aux lobbying des laboratoires qui produisent des médicaments traditionnels dans ces pathologies, soit des psychotropes et des antidépresseurs essentiellement, mais aussi aux lobbying des viticulteurs qui ont tout intérêt à ce que l’alcoolisme existe. 

 

 

L’Etat, et ces médecins oublieux de leur serment d’Hippocrate, sont évidemment responsables de ces morts qui s’accumulent, et Renaud de Baurepaire dont vous pourrez lire la colère dans les lignes qui suivent, n’hésite pas à envisager le mot « meurtre » qui dit-il, sera mis en avant lorsque un journaliste épris de justice, aura le courage de mettre en évidence ce nouveau drame et scandale médical, qui s’ajoute hélas à une liste déjà trop longue où les intérêts économiques et politiques, ont primé sur l’humain; où seuls les profits sont envisagés et où les malades sont, avec cynisme, écartés des soins appropriés.

Des soins qui les feraient pourtant de nouveau vivre indépendants et libérés de leur addiction à l’alcool sans pour autant être frustré et malheureux, qui leur permettraient une vie normale et une réinsertion professionnelle, qui ne coûteraient rien ou presque à la nation…

 

Nous avons tous autour de nous, très près de nous parfois, des pathologies alcooliques, et le plus souvent nous ne savons pas comment faire ni comment aider et nous avons tous aussi été surpris par le scandale du Médiator, de l’hormone de croissance, et plus loin par le terrifiant scandale du sang contaminé ; un danger connu des médecins et de Fabius qui répondit à son conseiller médical qui lui avait relaté les dangers de contamination vih par transfusion sanguine « combien cela coûtera-t-il de chauffer le sang ?

Trop, considéra Fabius qui n’en prit pas l’option et laissa des centaines et des milliers d’adultes se contaminer et se sur-contaminés à chaque transfusion, je parle ici des hémophiles évidemment.

 

Fabius, qui aurait pu changer le cours de l’Histoire et préserver des milliers de vies, ce jour-là dans son conseil des ministres jugea que « dans l’état des connaissances et au-delà de ce que préconisaient les Américains qui chauffaient le sang pour le décontaminer, il serait trop coûteux d’envisager d’autres systèmes que ceux déjà utilisés par le système français.»

Fabius fut relaxé par la justice de la même façon que Georgina Dufoix qui eut ces mots terribles « responsables, mais pas coupables !»

Le problème dans ce procès est qu’il aurait fallu à tous les échelons administratifs de la ligne de soins, punir des milliers d’intervenants, de secrétaires, de grouillots de couloirs qui comme Georgina Dufoix se sont référés à « l’obéissance aux ordres ! »

 

Et ce n’est pas sans rappeler, pardonnez-moi d’y faire référence, c’est loin et pas dans le contexte, mais ce furent les mêmes personnes lâches et cupides, qui aujourd’hui n’utilisent pas le bacoflène pour soigner leurs patients en passe de mourir, qui pendant l’occupation vendirent les juifs de France à l’Allemagne nazie et qui après la guerre dirent : c’était les ordres.

Les ordres !

Les ordres et l’argent, le pouvoir, les intérêts liés, les privilèges et les lobbying dispersent régulièrement des milliers de morts sur les rives de l’Histoire.

Et pourtant, il suffit toujours d’un juste, un seul d’après Renaud de Baurepaire dans son courageux éditorial, qui saurait dire et écrire le scandale et l’horreur, pour contrebalancer le mouvement létal lié à l’alcoolisme et faire que des hommes et des femmes, condamnés à mort faute des soins appropriés, soient ramenés à la vie.

 

Je vous invite donc, comme toujours, à résister et à réfléchir, à vous poser les bonnes questions  : 

A qui profite le crime et a-t-on le droit de laisser perdurer une telle situation ? Autant de souffrances et de détresses pour seulement quelques euros et dollars de plus dans l’escarcelle de quelques-uns ?

Si nous ne nous posons pas les bonnes questions, l’image de notre miroir, en sera-t-elle ternie ?

 

Le baclofène : une énigme et un scandale

 

Renaud de Beaurepaire 

baclofene

 

Un jour, forcément, quelqu’un écrira l’histoire du baclofène. Avec, en toile de fond, cette question, ou plutôt cette énigme : pourquoi des médecins ont pendant si longtemps regardé se dégrader et mourir devant eux des malades atteints d’une maladie, l’alcoolisme, alors qu’ils avaient à portée de main un médicament qui la guérissait ? Des médecins qui ont même refusé de le prescrire ! Une énigme et un scandale, une honte pour la médecine. Le journaliste qui l’écrira sera sans pitié. Les mauvais prétextes, discours mensongers, intérêts financiers et industriels, tous les conflits d’intérêt, pressions exercées par certains organismes, il passera

tout au crible. Le livre qu’il tirera de son enquête s’appellera peut-être "Le scandale du baclofène".

Faut-il le rappeler ? En France, l’alcoolisme tue plus de 100 personnes par jour. Chaque jour,des centaines ou des milliers de médecins regardent mourir lentement leurs patients sans leur prescrire le médicament. Cent familles sont chaque jour en deuil, cent familles susceptibles, plus tard, de demander des comptes. N’en doutons pas, certaines iront jusqu’à parler de "meurtre".

J’espère que le journaliste me demandera ce que j’en pense. J’en aurai des choses à lui raconter !

Une phrase, par exemple, que j’ai si souvent entendue dans la bouche des alcoologues, au point qu’elle est devenue pour moi une sorte d’oraison funèbre : "Je suis contre", "Je suis contre le baclofène".

Ah bon, vous êtes contre, mais pourquoi ? Et là, pas d’argument ! Rien que des gens butés, incapables d’expliquer leur position. Des médecins, pas mauvais sûrement, mais sous influence. Sous influence de quoi, de quels messages, directives, peurs ou menaces ? Le journaliste s’en donnera à coeur joie. Quelles influences ont pu être assez fortes pour que des médecins agissent ainsi, contre l’intérêt de leurs malades, contre le serment d’Hippocrate ?

 

Tiens, juste une anecdote, pas grave, juste exemplaire : un de mes patients ne boit plus depuis plusieurs mois grâce au baclofène. On lui avait retiré son permis pour conduite en état d’ivresse. Il va le récupérer. Il ne boit plus, c’est évident, ses examens sont bons (gamma-GT, CDT). Il passe la visite médicale et, là, le médecin voit qu’il est "sous baclofène". Que croyez-vous qu’il fit ? Il lui refusa la restitution de son permis, avec cette "explication" : "Je suis contre le baclofène" !

Certains vont se lancer dans des explications emberlificotées : "Le baclofène est hors AMM. Il a des effets indésirables. Il n’a pas subi l’épreuve des essais thérapeutiques..."

 

Je prends un air mécontent et martèle les points sur les "i" :

- Que l’on ne prétexte pas que le baclofène est hors AMM pour refuser de le prescrire.

 

Les alcoologues prescrivent, hors AMM, des quantités invraisemblables

de benzodiazépines et antidépresseurs, thymorégulateurs et autres antipsychotiques atypiques.

Les effets indésirables ? Ils sont archiconnus, bénins, et ce médicament est totalement dépourvu de toxicité. Bien sûr, on a rapporté des tentatives de suicide au baclofène, avec des doses 30 fois celle maximale préconisée, et sans jamais avoir eu d’effet létal. Les effets indésirables sont parfois gênants en début de traitement : il suffit, pour les faire disparaître, d’augmenter les doses progressivement, par paliers plus ou moins longs.

 

- Que l’on ne prétexte pas non plus que son efficacité n’a pas été démontrée dans des études cliniques randomisées : les malades qui sont en train de mourir ne peuvent pas attendre.

 

Et si un médecin a un doute à ce propos, il lui suffit de le prescrire à quelques malades, pour se forger une conviction. C’est facile, et sans aucun risque. C’est comme ça que tous les prescripteurs de baclofène ont procédé, sans nécessairement y avoir cru au début.

Ah, j’oubliais les idiots, comme ce collègue m’assenant triomphant : "le baclofène, ça ne marche pas !". Il était fou de joie. On aurait dit qu’il venait d’inventer le fil à couper le beurre!

C’était un peu court… Je lui demande donc de m’en dire un peu plus. En substance : il avait effectivement mis deux patients sous baclofène, mais ils n’étaient pas exactement alcooliques, plutôt cocaïnomanes. Enfin, ils buvaient tout de même un peu, et, c’est vrai, ils n’avaient pas tellement envie d’arrêter l’alcool, ni la cocaïne d’ailleurs. Et puis, pour être franc, ils n’avaient pas vraiment pris le baclofène, sauf deux ou trois jours peut-être… parce que, comme ils l’ont

dit, "ça ne leur faisait rien" ! Il est des vérités thérapeutiques à rappeler qui concernent tous les traitements, en particulier celui-ci : Pour que "ça marche", il faut qu’il soit conduit sérieusement, respecter le protocole, porter une attention constante au patient. Il faut un engagement de soi. Des patients qui veulent vraiment arrêter de boire, et des médecins qui veulent vraiment les y aider. v

 

 

NDLR : Ce médicament myorelaxant, agoniste des récepteurs GABA, peu métabolisé par le foie, était utilisé dans le traitement des scléroses en plaques et affections médullaires d’origine cérébrale. Son utilisation a été tardivement médiatisée en France par la publication chez Denoël d'un livre dans lequel son auteur, le Dr Olivier Ameisen, relatait son auto-expérimentation du baclofène, à fortes doses : "Le dernier verre" (In: Le Courrier des addictions, vol. X, n° 4, rubrique (Livres»).

 

 

Témoignage

Le Baclofène a guéri mon mari alcoolique en dépit des interdits

Mon mari était malade alcoolique depuis vingt ans. Rien n’y faisait : thérapies diverses et variées, traitements tout aussi divers et variés. En octobre 2008, sa thérapeute lui conseille le livre du cardiologue Olivier Ameisen « Le Dernier verre ».

Titre trompeur : car on est vraiment loin ici des Alcooliques anonymes (AA) et de la tension permanente que l’abstinence représente. Olivier Ameisen y parle traitement. Pas miraculeux -nous ne sommes pas dans le domaine de la croyance- mais en tout cas révolutionnaire.

Mon mari n’a plus rien à perdre : à part moi, il a déjà tout perdu -son boulot entre autres. Il décide de tenter ce traitement à base de Baclofène, médicament vieux de quarante ans utilisé essentiellement sur les scléroses en plaque.

Le 3 décembre 2008, mon mari a rendez-vous avec Renaud de Beaurepaire, psychiatre et chef de service à l’hôpital Paul Guiraud de Villejuif, qui martèle que le Baclofène donne effectivement des résultats étonnants sur l’alcoolisme. A l’époque, il est l’un des seuls à braver « les interdits » et à proposer ce traitement.

Mon mari était malade alcoolique depuis vingt ans. Rien n’y faisait:thérapies diverses et variées, traitements tout aussi divers et variés... En octobre 2008, sa thérapeute lui conseille le livre du cardiologue Olivier Ameisen, « Le Dernier verre ». Titre trompeur : car on est vraiment loin ici des Alcooliques anonymes (AA) et de la tension permanente que l’abstinence représente.

 

Olivier Ameisen y parle traitement. Pas miraculeux -nous ne sommes pas dans le domaine de la croyance- mais en tout cas révolutionnaire.

 

Mon mari n’a plus rien à perdre : à part moi, il a déjà tout perdu -son boulot entre autres. Il décide de tenter ce traitement à base de Baclofène, médicament vieux de quarante ans utilisé essentiellement sur les scléroses en plaque.

 

Le 3 décembre 2008, mon mari a rendez-vous avec Renaud de Beaurepaire, psychiatre et chef de service à l’hôpital Paul Guiraud de Villejuif, qui martèle que le Baclofène donne effectivement des résultats étonnants sur l’alcoolisme. A l’époque, il est l’un des seuls à braver « les interdits » et à proposer ce traitement.

Dans le cas de l’utilisation du Baclofène pour la maladie alcoolique, nous sommes hors-AMM, soit hors autorisation de mise sur le marché (interdit !).

 

Un peu plus que ça même : pour tordre le cou au « craving », le besoin irrépressible de boire, il faut un dosage plus élevé que celui utilisé dans le cadre de son AMM, soit 80 mgs.

En résumé, pour casser le « craving », on utilise un médicament hors son autorisation de mise sur le marché et au-dessus des dosages conseillés -même si régulièrement employés outre-Atlantique.

 

In-di-ffé-rent à l’alcool

Mon mari montera par paliers, sur un peu plus de deux mois, jusqu’à 120 mgs. Quelques effets secondaires :

- somnolence au début -le Baclofène est un myorelaxant-,

- un peu de raideur dans la nuque.

Bien dérisoire par rapport aux effets secondaires de l’alcool.

 

C’est à 120 mgs, fin janvier/début février 2009, que mon mari devient indifférent à l’alcool.

In-di-ffé-rent. Pas abstinent, mais indifférent.

Il peut boire un verre ou deux, sans tomber dans le tonneau. Le rêve de tout malade alcoolique dont la seule solution était jusqu’à présent l’abstinence totale avec toutes les frustrations que cela comporte.

 

A voir, que dis-je à savourer, de l’extérieur, c’est hallucinant. Il prend un verre avec moi le soir, on s’en sert éventuellement un deuxième... Je finis le mien, le sien part dans le vinaigrier ou l’évier. Tout ceci sans effort aucun. Sans avoir essayé de restreindre la consommation, sans employer le Baclo comme une aide à l’abstinence.

 

En consommant, au début, les doses excessives habituelles, jusqu’à ce que le Baclo fasse son travail. Jusqu’à ce que le Baclo lui enlève le BESOIN de boire des verres pour ne garder qu’une très raisonnable ENVIE d’en boire un ou deux. De l’aliénation de l’addiction au plaisir de la consommation maîtrisée.

Un médicament qui ne coûte rien et ne rapporte rien

 

Bien sûr, mon compagnon n’est pas un cas unique. L’information est passée, essentiellement vie des forums sur le Net. Le Net où les malades, faute de prescripteurs, s’approvisionnent en Baclo, en infos... Oui, pas assez de médecins prescripteurs, toujours frileux car réceptifs aux attaques permanentes à l’encontre du Baclofène de la part de :

- l’AFSSAPS agence française de la sécurité sanitaire des produits de santé

- le conseil de l’ordre des médecins,

- les alcoologues, et les AA en tête.

 

Les malades tentaient et tentent encore l’automédication. Si des réussites sont là -et elles sont là- d’autres malades qui n’ont pas accès à l’information ou renoncent devant la difficulté à obtenir une prescription, continuent de mourir.

 

Les essais thérapeutiques sont lancés sur toutes ces nouvelles molécules. Une étude est lancée sur le Baclofène, mais à un dosage perdu d’avance (90 mgs) : certains doivent monter jusqu’à presque 300 mgs pour atteindre l’indifférence.

 

Le Baclofène à trois défauts majeurs :

- Il échappe complètement à la filière classique et habituelle de la découverte médicale et pourtant, il guérit.

- C’est un médicament générique, il ne coûte rien et ne rapporte rien. Aucun enjeu financier, aucun jack-pot possible pour les labos qui préfèrent naturellement breveter.

- S’il n’y a pas de profits financiers à escompter côté industrie, il n’y a ni palmes, ni honneur à espérer du côté de la « Faculté » pour des alcoologues réputés et reconnus qui passent à côté de la découverte.

 

La colère d’un médecin

Est-ce pour cette raison que plusieurs médecins s’intéressent plutôt à une autre molécule, le Nalmefene ? Dans le Figaro, on a pu lire ce 15 septembre : « Le Nalmefene permettrait d’agir sur la consommation excessive d’alcool et offrirait à des patients la possibilité de redevenir des buveurs modérés et non pas abstinents. Une vraie nouveauté. »

 

Comment ça une « vraie nouveauté » ?

En février 2011, cela fera deux ans que mon compagnon est guéri sous Baclofène. Il le doit, je le dois, à Olivier Ameisen et à Renaud de Beaurepaire (voir l’édito de Renaud de Beaurepaire dans la revue Le Courrier des addictions.)

La colère de ce dernier à l’égard de certains de ses confrères, trop timorés ou influençables, mérite d’être rendue publique. Il en va de la vie de certains malades.

 

Vous trouverez, dans l’édito de Renaud de Beaurepaire dans la revue Le Courrier des addictions, toute la sensibilité d’un vrai médecin. La passion, et l’enthousiasme. De l’exaspération aussi et une très légitime colère.

 

http://www.rue89.com/2010/10/21/un-medicament-generique-guerit-en-silence-mon-mari-alcoolique-172354

 

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Tango argentin… et maternité!

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Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.

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Les femmes sont magnifiques et la grâce insoumise !

Par Louise Gaggini

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Je devrais vous parler politique et économie, Corée du Nord, Poutine, Hollande, mais je n’ai qu’une envie c’est de parler des femmes, qui en ce mois de mars sont mises à l’honneur, un jour, un seul pour dire ce qu’il en est de nous, de nos filles, de nos grand-mères, de nos sœurs…

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Fabrice Luchini & Pierre Arditi

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