Hollande, Médiapart et autres médias: une «coercition» contre le peuple français!
Coercition : Action, droit de contraindre quelqu'un à accomplir son devoir, à obéir à la loi. Le droit de coercition est un des attributs de la justice (Ac.1835-1932)
Mais, comme tous les droits, fussent-ils ceux des droits de l’homme, celui de la coercition est détourné de son objectif et c’est sans état d’âme que Hollande, son gouvernement et de trop nombreux médias français se sont regroupés dans une « coercition » destinée à imposer des vues et des situations, des idées et des diktats à l’ensemble de la population française, de droite, comme de gauche, puisque au fond cette dernière n’était pas de gauche, mais seulement manipulée d’une façon « coercitive » à des fins électorales.
À part le Nouvel Observateur qui tend depuis quelque temps à mettre certaines décisions gouvernementales en questionnement, merci Monsieur Perdriel, les autres journaux, dits de gauche, Libération, Médiapart, Marianne, le Monde, pour ne citer que les plus grands, ont une volonté égale de couvrir les agissements délictueux de Hollande et de son gouvernement.
Que ce soit pour les volte-face et les mensonges faits aux Français pendant la campagne électorale, les promesses jamais tenues, ou plus gravement actuellement l’entrée en guerre de la France au Mali, cette aberration colonialiste à des fins de spoliation des richesses de l’Afrique, en autres intérêts géopolitiques, tous ces médias semblent avoir égaré toute éthique professionnelle avec le sens de la justice.
Pour quelles nébuleuses raisons et quels intérêts particuliers, des personnalités, à priori intelligentes soutiennent-elles à ce point-là les incohérences et les dérives de Hollande et de son gouvernement ?
Le pouvoir ? Les privilèges ? L’argent ? Les subventions par en dessous ?
Un peu de toutes ces choses sans doute, surtout lorsque l’on peut par ailleurs se dédouaner des « coercitions » contre le peuple, en s’imaginant « social et socialiste » dans les bons salons. Ceux où Hollande et Ayrault convoquent chaque semaine, les rédacteurs en chef des journaux pour leur donner des consignes.
Les prédateurs ne donnent pas toujours à voir leurs dents de barracuda.
F.Hollande et E.Plenel ont tous les deux des sourires bonhommes, et sont pourtant tous les deux gravement impliqués dans la désinformation générale et ses conséquences.
L’un avec des décisions arbitraires à la tête du pays, l’autre en utilisant Médiapart pour détourner l’attention des lecteurs des vrais problèmes qui concernent les Français, préférant parler sur des pages et des pages des actions de N.Sarkozy, plutôt que de celles de F.Hollande.
Au plus loin que l’on remonte dans l’Histoire des hommes, aucun, en France, n’est parvenu à résister à l’attrait du pouvoir et des privilèges, alors, à bien y réfléchir, il ne reste aux Français comme solution pour que de vulgaires prédateurs ne puissent plus accéder au sommet de l’Etat, que de changer les lois et les statuts qui régissent la France.
Peut-être aussi refaire la révolution ?
Une vraie, qui rendrait la Lanterne au peuple et des toits aux malheureux qui, en ces temps de froid sur la France meurent sur les trottoirs tandis qu’Hollande fait dépenser des milliers d’euros pour mettre des compartiments à champagne dans les accoudoirs des avions qu’il prend.
Hollande a dit ne pas aimer les riches, mais à l’évidence il aime le luxe quand c’est la France qui paye ! Vous et nous, moi et les autres.
LG
La Lanterne
Le président Sarkozy, tout juste élu, demande les clés de la Lanterne à Dominique de Villepin, avant même sa passation de pouvoir avec Jacques Chirac. Quant au nouveau Premier ministre, François Fillon, il perd du même coup, selon la formule de Jean-Pierre Raffarin,"le meilleur du job".
Les Français découvrent alors ce joyau de la République, niché au bout du parc du château de Versailles, secrètement gardé par deux têtes de cerf sculptées... et quelques cars de CRS.
Ancien pavillon de chasse, la Lanterne a été construite en 1787 par le prince de Poix, gouverneur de Versailles et capitaine des Gardes du corps de Louis XVI.
L'Etat s'en empare sous la Restauration, mais ce n'est qu'en 1959 que le chef de gouvernement - en l'occurrence, Michel Debré - l'occupe, sur décision du général de Gaulle, qui fait ainsi de la Lanterne la résidence secondaire des Premiers ministres.