There are no translations available. “Ce n’est pas le désir qui est dans le sujet mais la machine qui est dans le désir.” (Gilles Deleuze) There are no translations available. Aujourd’hui il pleut, c’est novembre humide et froid qui annonce le gel et la glace de décembre et des mois d’hiver. There are no translations available. Ce grand rassemblement féminin mondial s'est tenu en octobre à Deauville.Deauville a mobilisé plus de 1000 femmes, venant de 80 pays, du jeudi au samedi pour la 7è édition du «Women's Forum for the Economy and Society».
There are no translations available. A l’âge de la retraite, Dany et Gabriel ont décidé de faire le tour de l’Europe dans un bus réaménagé pour l’occasion, pendant au moins deux ans. Ils ont vendu leurs meubles, leur maison, absolument tout pour réaliser leur rêve de voyage. Une aventure qu’ils partageront avec nananews.fr, au travers de photos, de carnets de voyages et de vidéos.
There are no translations available. Patrimoine français aux « Cloisters », New-York En 2005, je suis allée visiter le célèbre musée « The Cloisters » (Les Cloîtres) à New York. Un musée qui recèle bien des surprises avec notamment des pans entiers de cloîtres médiévaux du Sud-ouest de la France : Lombez, Trie sur Baïse, Pontaut, St-Pons, Bonnefont et plus à l’est, St Guilhem le Désert. There are no translations available. Leïla Merouane : la langue d'une femme libre, sans compromis, traquant les interdits et les injustices, les soumissions et les muselières. A la fois écrivaine et journaliste Algérienne.« J’ai cassé le mythe du retour ». « J’ai toujours un ange qui se promène dans mes livres. » « C’est la soumission qui m’a sauvé la peau ! » http://www.tsr.ch/video/emissions/archives/singulier/50644-leila-marouane.html There are no translations available. Ce matin je regardais par la fenêtre. Le temps ne décolorait pas, irréversiblement gris, mais, qui dit que le gris n’est pas une couleur ? La pluie sûrement allait bientôt tomber. Comme je n’avais pas envie d’aller danser sous la pluie ni d’y courir d’ailleurs, j’allais enfin vraiment avoir du temps pour écrire à Marc. Seulement les mots de Hugues me parlant du temps hier sont remontés en surface, et j’ai écris à Marc, presque malgré moi, une petite histoire d’un temps légèrement hors du temps. There are no translations available. « Je sais que ce que je dis est signe une fois pour toutes d’un anéantissement une fois pour toutes. Je me retrouverai jamais, dans mon ressassement même, que l’ultime reflet d’une parole absente à l’écriture... » (Georges Perec) 1 Vendredi noir Donc, c’est fini, bien que je sache fort bien qu’on ne renonce à rien... Surtout, lorsque ce rien a été mon tout ! Charlotte a tiré sa révérence et a quitté la scène, sans espoir d’un ultime rappel : sans bruit, sans éclat, comme elle avait vécu, un vendredi noir 27 octobre 2000, à 8h30. C’était hier, elle avait glissé de l’autre côté, ou plutôt on l’y avait aidée : son corps s’empoisonnait de manière irréversible, son état empirait et le diagnostic devenait plus que pessimiste, désespéré. Ses reins ne fonctionnaient plus et la machine était usée… Trop usée pour espérer un miracle. Pour la première fois, maman nous lâchait la main et ne prendrait plus de bains de pied au singulier… Elle me quittait en mourant et en réfléchissant bien, je l’avais déjà quittée en naissant. Mais combien d’entre nous rompent vraiment le cordon ombilical ? Et pourtant, la vie n’occupe pas nécessairement la place du mort... There are no translations available. Au-delà des souffrances ou inaptitudes souvent à l’origine des toxicomanies, on peut se poser la question du lien, parce que quel étrange lien que celui qui lie le toxicomane à son produit et quel étrange attrait que celui d’un plaisir qui peut-être mortel ? Mais, peut-on parler de drogues et toxicomanies sans parler du plaisir, ce plaisir dont nul ne parle hors les toxicomanes eux-mêmes ? Sommes-nous capables aujourd’hui d’envisager le plaisir comme une donnée à prendre en compte dans la gestion des problèmes des hommes, quel que soit le problème à traiter ? L’admettre comme une des dynamiques essentielles de la vie parce que le plaisir, au bout du compte et malgré tous les carcans, les tabous et les garde-fous, existe au centre de la vie des hommes. There are no translations available. Israël a décidé de libérer plus de mille prisonniers palestiniens en échange de Guilad Shalit,le soldat kidnappé il y a cinq ans le long de la frontière avec Gaza lors d’une patrouille de routine. Parmi les détenus à libérer il y en a 450 qui ont été condamnés pour assassinat au moyen d’attentats à la bombe,de tirs à bout portant,de monstruosités à l’arme blanche ou à mains nues. Ces terroristes ont tué ou grièvement blessé des milliers de civils dont l’unique crime était de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. C’est le cœur lourd que le gouvernement israélien a décidé de procéder à l’échange d’un seul innocent contre mille criminels. Tout le monde en Israël était bien entendu en faveur d’une initiative pour libérer Guilad Shalit,mais il y avait des divergences profondes quant à la manière dont il convenait de s’y prendre. Le sentiment de ceux qui s’opposaient à l’échange était qu’ils jugeaient inévitable que certains terroristes récidivent.
Il est difficile de déterminer si la décision du gouvernement est populaire ou pas. Certains israéliens pensent qu’il ne faut jamais céder au chantage,et qu’il est toujours préférable de tenter une opération militaire,quitte à mettre l’otage en péril. D’autres pensent qu’il aurait fallu éliminer des responsables du Hamas jusqu’à ce que celui-ci libère l’otage. D’autres encore pensent qu’il aurait fallu accentuer le blocus de Gaza ou exercer des pressions sur les terroristes emprisonnés en Israël. |
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