Nathalie Kosciusko-Morizet :
Intelligente et est belle,
le must pour Paris !
Nathalie Kosciusko-Morizet, vient d’être élue avec plus de 58 % de voix aux primaires de l’UMP et elle affrontera donc pour la Mairie de Paris, Anne Idalgo, la candidate choisie antidémocratiquement, par Bertrand Delanoë et Hollande, ce dernier ayant été le compagnon d’Anne Idalgo.
NKM, ainsi qu’on l’appelle le plus souvent, aura donc à se battre pour les parisiens contre le pouvoir en place, qui essayera on peu s’en douter, de nombreux coup bas. Son adversaire a déjà montré les dents dans une interview donnée aux médias ou elle spécifiait qu’elle était prête à se battre et qu’elle n’avait pas peur, faisant sien le fameux « la meilleure défense c’est l’attaque ».
Mais, a-t-on besoin d’un roquet à la Mairie de Paris, ou au contraire d’une personne déterminée comme NKM, capable de gérer les problèmes de sécurité, d’embouteillages, d’écoles et de services divers propres à la capitale ?
Logiquement les parisiens qui ne supportent plus les dérives économiques et sociales de Delanoë devraient appuyer NKM et la porter jusqu’à la Marie de Paris.
D’autant qu’elle a de beaux projets pour une Capitale qu’elle veut faire flamboyer dans le monde, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, avec un Maire qui s’est contenté de dilapider les caisses et d’embouteiller Paris.
Son parcours :
Nathalie Kosciusko Morizet, née le 14 mai 1973 à Paris est une femme politique française de droite UMP, qui après avoir exercé dans différents ministères et avoir eut des missions gouvernementales a été choisie par Nicolas Sarkozy pour être la porte-parole de sa campagne pour l’élection présidentielle de 2012.
Belle jeune femme apparut en politique plus visiblement avec Sarkozy, elle surprit par des paramètres rarement conjugués dans la politique : l’intelligence, une aisance de langage qui conciliait à la fois la précision du sens et le pragmatisme sans rien occulter de la féminité et une beauté « aristocratique » toute droite sortie d’un 19ème siècle réactualisé. Surtout une sorte de force sereine qui lui permit pendant les deux premières années du quinquennat de Sarkozy, d’être vue comme indépendante du système UMP, bien qu’en faisant partie, et libre de penser.
Ce qui fit que malgré cette beauté monarchique qui aurait pu la desservir auprès de la population française, elle fit l’unanimité. Enfin une femme politique intelligente et subtile, jamais prise en flagrant délit de mesquineries politiques, de mauvaise foi ou d’outrances grossières. Voire mensongères.
Deux années de délices qu’elle but comme l'on boit au calice, mais dont elle ne fit pas son miel.
NKM pourrait bien briguer la présidence française dans quelques années, elle en a la stature et les compétences. En attendant, la Mairie de Paris lui servira de tremplin ainsi qu’à une droite qui a bien besoin de redorer son blason.
NKM : "Le bilan de François Hollande est un échec"
BIOGRAPHIE DE NKM
Députée de la quatrième circonscription de l’Essonne, elle occupe les fonctions de secrétaire d’état chargée de l'Écologie, puis chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique, au sein du gouvernement François Fillon (2007-2010). Secrétaire générale adjointe de l’UMP et maire de Longjumeau, elle est nommée ministre de l’écologie,du développement durable, des transports et du logement le 14 novembre 2010.
En février 2012, elle est choisie par Nicolas Sarkozy pour être la porte-parole de sa campagne pour l’élection présidentielle. De ce fait, elle quitte son portefeuille ministériel.
Nathalie Kosciusko-Morizet est issue d'une vieille famille politique française, elle-même issue de la noblesse polonaise. Son arrière-grand-père, Charles Kosciusko, était le descendant direct de Józef Tomasz Kościuszko (1743-1789), frère aîné du patriote polonais Tadeusz Koscuiszko. Elle est également une descendante de Lucrèce Borgia. Par sa mère Bénédicte Treuille elle descend d'une veille famille bourgeoise, engagée dans la vie économique et politique de la région de Châtellerault depuis plusieurs générations.
Elle effectue sa scolarité au lycée de Sèvres, au lycée Daniélou de Rueil-Malmaison, puis au lycée Louis le Grand à Paris. Polytechnicienne, elle a choisi la biologie comme spécialité et l’école nationale du génie rural, des eaux et des forêts comme école d'application, au sein du corps des ingénieurs du génie rural, des eaux et des forêts. Elle est également titulaire d'un MBA du Collège des ingénieurs.