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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

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Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Regardez, c'est génial

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

-       Fruits et légumes d’automne

-       Les vertus des baies de Goji

Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Une alimentation saine, c'est vital. -

femmeEtablir un régime alimentaire adapté à vos besoins .

Les conseils des diététiciens sont unanimes, il faut Manger les fruits et les    légumes selon leurs saisons....

Le secret du bien être : manger sainement.

Egalement dans ce dossier, tout sur la diète protéinée qui permet de se débarrasser rapidement de plusieurs kilos superflus. Bien conduite, elle permet surtout de ne pas les reprendre et de maintenir son poids d’équilibre. Avantages et inconvénients de cette diète que certains saluent comme le «régime du siècle».

Aucun aliment n’est tout bon ou tout mauvais. Toutefois, certains d’entre eux sont particulièrement bien dotés et semblent être essentiels à notre équilibre.

Voici les vertus de quelques produits basiques qui ont fait leurs preuves.

“Que les aliments soient vos médicaments» préconisait Hippocrate, le patron des médecins.      femme_buvant_eau_

Si les nutritionnistes sont bien d’accord avec cette affirmation, nous avons parfois du mal, nous autres consommateurs,  à la mettre en application. Entre «grosses» ou «mauvaises  bouffes», grands dîners familiaux et  fast-foods, et les diètes punitives que nous nous infligeons pour tenter de rattraper le coût de nos excès..., nous passons notre temps à rechercher l’alimentation idéale. Celle qui nous maintiendra en forme, nous permettra de garder la ligne et de prévenir toutes les maladies qui nous guettent, et auxquelles nous finissons doucement, mais sûrement, par nous livrer : diabète gras, hypoglycémie, goutte, hypercholestérolémie, athénome... Des maladies que l’on pourrait largement prévenir en mangeant correctement ou en adoptant un régime

correcteur. Car, incontestablement, les aliments sont notre meilleure assurance santé !

Le bon choix et la bonne utilisation des aliments

 

Tous les aliments sont bons pour la santé. C’est simplement l’usage qu’on en fait qui peut être nocif, quand, par exemple, nous les consommons en trop grande quantité ou selon des modes de préparation peu diététiques : fritures, sauces... etc. Inutile de chanter les louanges du sucre, du beurre, du fromage et du bifteck... ce sont bien sûr des aliments qui ont des atouts nutritionnels certains. Mais plus un aliment flatte nos papilles, plus nous avons tendance à lui accorder une place importante, au détriment d’autres aliments, sans doute moins gras ou moins sucrés, donc moins gourmands, mais qui devraient faire partie de notre alimentation de base, ou du moins être réintégrés plus souvent dans nos préparations. Sans aller jusqu’à dire que tout ce qui est bon au goût est mauvais (our la santé, il ne faut pas oublier que c’est «la dose qui fait le poison», et que les principes diététiques reposent sur des bases bien précises. L’apport énergétique doit provenir à 15% des protéines, 30% des lipides et 55% des glucides (dont 10% seulement des glucides simples). Tout en sachant que

1 g de protéines fournit 4 calories, 1 g de lipides  9 calories, et 1 g de glucides 4 calories. Mais l’équilibre alimentaire ne se réduit pas au nombre de calories ingérées. Encore faut-il que celles-ci soient de bonne qualité et non pas considérées comme «vides». Plus récemment, les chercheurs en nutrition ont mis l’accent sur l’importance des vitamines et des oligo-éléments dans le rôle préventif de certaines maladies graves comme le cancer ou les maladies cardio-vasculaires.

 

Prévenir plutôt que guérir

Notre organisme a aussi besoin d’aliments de qualité, qui remplissent un rôle préventif. Les spécialistes du cancer et des maladies cardio-vasculaires l’affirment : «une bonne alimentation pourrait réduire de 30 à 40% les risques de contracter un cancer et de 50%, ceux d’éviter une maladie cardio-vasculaire». Non seulement, les aliments ont un rôle préventif mais ils agissent également comme de véritables médicaments aux pouvoirs curatifs. Bien sûr, ni le chou ni la carotte à eux seuls n’ont le pouvoir d’agir comme des pilules miracle. Ce n’est que dans le cadre d’une alimentation équilibrée et au long cours, que nos menus peuvent nous aider à retrouver la forme, à réguler notre taux de cholestérol, de triglycérides, de diabète, à lutter contre les problèmes infectieux, l’ostéoporose, à entretenir notre mémoire, nos articulations ou notre précieuse vitalité. Si l’on peut définir les bases d’une alimentation idéale, il appartient  à chacun de trouver  l’alimentation qui lui convient le mieux, tenant  compte des dérèglements,  des pathologies et  des intolérances auxquels il est sujet. 

Les «fruits» de la connaissance

Pour miepommesux comprendre les effets bénéfiques ou néfastes de certains aliments, les chercheurs de tous pays ont mené de vastes études à l’échelle des populations entières. Ainsi, on s’est aperçu qu’au Japon les centenaires devaient leur vitalité et leur grand âge à une alimenation pauvre en graisses animales mais riches en poissons gras durant leur jeunesse, puis enrichie en lait et en yaourts après 60 ans. On a constaté également que les Esquimaux, qui avaient un cœur à toute épreuve, mangeaient beaucoup de poissons gras ; que les Caucasiens, grands amateurs de yoghourts, devaient leur longévité à leur aliment préféré, qui signifie d’ailleurs en bulgare «longévité». Les études menées autour du « French Paradox » ont démontré l’efficacité du petit verre de bon vin rouge pris à chaque repas pour lutter contre l’encrassement des artères. D’autres chercheurs ont mis à jour l’importance de la vitamine B9 dans la lutte contre les maladies cardio-vasculaires. Une vitamine présente dans le foie gras et bon nombre de fruits et légumes que consomment les Méridionaux, qui a la propriété de combattre l’homocystéine, une substance toxique issue d’un sous-produit des protéines qui, lorsqu’elle est sécrétée en excès encrasse les artères. Ainsi la vitamine B9 pourrait aider à prévenir 20 à 30% des maladies cardio-vasculaires. Cette même vitamine est très présente dans la diète méditerranéenne et notamment dans le régime crétois.

De même, d’autres études scientifiques ont montré l’importance des substances antioxydantes et d’une supplémentation en vitamine E pour retarder l’apparition de la maladie d’Alzheinmer, prévenir le cancer de la protaste ou réduire le risque de maladie coronarienne.

La nutrithérapie est une science en pleine évolution et il faut rester attentif aux dernières découvertes afin de réactualiser ses connaissances et de relativiser toutes les informations reçues, qui sont parfois contradictoires. En cas de pathologie, seul le médecin ou le nutritionniste pourra définir quel est le régime «idéal» pour son patient.


 

10 règles de base pour une table idéale

1 Manger de tout en petite quantité, mais surtout de tout ce qui est sain et naturel : pour éviter les carences, sans intoxiquer son organisme.

2 Privilégier les poissons et surtout les poissons gras par rapport aux viandes, et surtout aux viandes rouges : pour faire provision de bons lipides.

3 Préférer les crudités et les cuissons à la vapeur aux longues cuissons et aux préparations sophistiquées, en sauce ou en fritures : pour préserver les vitamines et limiter l’apport en matières grasses.

4 Manger des légumes à chacun des repas : pour  faire le plein de fibres et avoir une bonne sasiété.

5 Réhabiliter les légumineuses et les céréales : pour compléter ses apports  en minéraux, fibres et sucres lents.

6 Manger moins gras et moins sucré : pour garder la ligne et ménager son cœur.

7 Répartir les apports en 3 repas par jour, plus éventuellement une ou deux collations : pour éviter les grignotages et mieux assimiler les aliments.

8 Boire 1,5 litre d’eau par jour : pour stimuler les fonctions éliminatoires et enrichir son apport en minéraux (calcium, magnésium...).

9 Miser sur la qualité (produits bio et naturels) et non sur la quantité (produits industriels) : pour conjuguer plaisir de manger, sécurité alimentaire et légèreté.

10 Sortir de table avec une sensation de légèreté et non de pesanteur : pour ne pas devenir l’esclave de son assiette.

 

La santé dans la nature

 

LA POMME

Si, autrefois, la pomme était le fruit défendu, cela fait bien longtemps que l’on nous chante ses mérites sur le plan nutritionnel, et qu’on peut la croquer en toute impunité. «Manger une pomme tous les matins éloigne le médecin» affirme un vieux dicton. Source de potassium et de vitamine C, la pomme contient surtout de la pectine, une fibre qui joue un rôle favorable dans le contrôle du cholestérol et du taux de sucre sanguin, ainsi que de la cellulose, qui agit favorablement sur le transit intestinal. Non seulement la pomme a le pouvoir de nettoyer les artères aussi bien que les dents, mais encore elle est diurétique, légèrement laxative, antirhumatismale, stomachique et digestive.

Ce fruit, incontournable en été comme en hiver, est à la base de nombreux desserts. Pour profiter de tous ses bienfaits, il ne faut pas oublier de consommer la pomme crue, en jus, et aussi en compote, lorsqu’on souhaite obtenir d’elle le rôle de régulateur intestinal.

09.orangeL’ORANGE

Avec les autres agrumes, l’orange est un véritable concentré de vitamine C. Une orange, deux clémentines ou un jus de pamplemousse apporte suffisamment de vitamine C pour la journée. Cette précieuse vitamine, qui fait partie des vitamines antioxydantes, joue un rôle important dans la synthèse cellulaire. Elle lutte contre le vieillissement cutané, accélère la cicatrisation, participe au bon état osseux et surtout permet une meilleure absorption du fer, constituant ainsi un bon antifatigue.

La présence de vitamine P dans les agrumes renforce son efficacité et participe à la protection des vaisseaux sanguins. L’orange contient aussi du calcium et des acides organiques, qui aident à la bonne digestion de certains aliments comme les viandes et les graisses.

Plus récemment, les chercheurs ont découvert dans l’orange un élément anticancérigène (surtout pour l’estomac) :

le glucarate.

Quant au citron, il est considéré comme un véritable aliment-médicament, qui a, entre autres, la capacité de remettre en forme les foies un peu surmenés et de protéger des accidents cardio-vasculaires.

LA LAITUElaitue

Avec toutes les autres salades, la laitue fait partie des bonnes feuilles, d’autant plus qu’on la consomme le plus souvent crue, et qu’elle contient une bonne proportion d’acide folique (ou vitamine B9), une vitamine qui intervient principalement dans la métabolisme des acides aminés et de l’ADN et qui joue un rôle dans la prévention des cancers et de l’artérite. Parmi les salades exceptionnelles : le pissenlit, qu’on peut trouver dans les prés au début du printemps. Non seulement il est extrêmement reminéralisant, mais encore c’est un bon draineur du foie et de la vésicule biliaire. Autres salades d’exception : les jeunes pousses d’épinards, riches en vitamine E, et le cresson, qui fournit du potassium et de la vitamine C. Plus les salades sont vertes, plus elles contiennent de vitamines. Mais attention, pour profiter de leur légèreté et de leur faible teneur en calories, il ne faut pas les inonder de sauce !

LA CAROTTE

De tous les légumes, la carotte est de très loin la plus riche en bêtacarotène. Elle en contient 3 fois plus que le chou frisé et l'épinard déjà bien pourvus et 10 à 20 fois plus que beaucoup d'autres légumes frais.

Elle a donné son nom aux caroténoïdes : il en existe plusieurs centaines, dont beaucoup ont des rôles physiologiques importants. Le bêtacarotène se transforme en vitamine A dans l'organisme avec des effets bénéfiques sur nos défenses immunitaires : la croissance, le bon état de la peau et des muqueuses, la vision nocturne. Certains caroténoïdes ont des propriétés antioxydantes, permettant de lutter contre le vieillissement cellulaire. Autre atout de la carotte : ses fibres (pectines et cellulose), qui produisent un effet double et paradoxal sur le carottetransit intestinal : accélération en cas de constipation et ralentissement en cas de diarrhée. Bien sucrée grâce à ses 9% de glucides, elle est modérément énergétique : 2 fois plus que le chou et 2 fois moins que

la pomme de terre. 

L’AIL

Cette petite gousse aromatique, sans laquelle la cuisine méditerranéene ne serait pas ce qu’elle est, a bien des vertus. Riche en glucides, très énergétique (138 calories aux 100 g), l’ail contient également  beaucoup de potassium, de  vitamines A, C, B 1
plat

et  B2. Sa forte teneur en minéraux, surtout en souffre, et ses huiles essentielles en font un condiment doué de nombreuses propriétés. C’est surtout un vasodilatateur, qui lutte contre l’hypertension, un fluidifiant sanguin qui agit contre l’excès de cholestérol, un antiscléreux qui a une action antirhumatismale et un bon antiseptique, surtout intestinal et pulmonaire. On lui attribue aussi le rôle de tonique sexuel. Mais l’haleine fraîche faisant partie du bon déroulement des événements, il vaut mieux, dans ce cas, le consommer sous forme de capsules pour éviter son odeur ! 

Quant à l’oignon, il  donne également mauvaise haleine quand on le mange cru. Toutefois, il a certaines propriétés en commun avec l’ail : il favorise

l’élimination de l’urée et a des

propriétés anti-infectieuses. Comme l’ail, il est parfois difficile à digérer (germe), mais il constitue une

véritable mine de substances aux

propriétés anticancéreuses.

LE CHOU

«Chouchou» des nutritionnistes, le chou, qu’il  soit vert, blanc, rouge, brocoli, de Chine ou «e Bruxelles, est réputé pour ses vertus protectrices contre certains types de cancer. C’est grâce à leurs composés sulfureux, à leur teneur en acide folique, en antioxydants (vitamines C, E et zinc) et en fibres que les crucifères figurent parmi les meilleurs légumes anticancer. Ainsi, le chou de Bruxelles apporte des indoles qui ont pour effet de stimuler le foie et d’’agir sur la transformation métabolique des œstrogènes, des hormones qui, lorsqu’elles sont sécrétées en excès, risquent de favoriser l’apparition de cancers du sein et de l’utérus chez certaines femmes. Le chou-fleur, quant à lui, assure une protection surtout au niveau du côlon. Même cuit, c’est l’un des légumes le plus riche en vitamine C. Le chou-rouge prévient la formation de polypes précancéreux. Tous les choux sont légèrement laxatifs. Par contre, ils peuvent  provoquer chez les personnes sensibilisées, des flatulences. Pour les intestins fragiles, il est conseillé d’ébouillanter légèrement le chou avant de le consommer ou de le faire cuire afin d’attendir la cellulose, et d’éliminer le plus de dérivés souffrés possible.chou_fleur

L’HUILE D’OLIVE

L’huile préférée des Méditerranéens, et des diététiciens, est l’amie de nos artères. Elle n’augmente pas le taux du «mauvais» cholestérol mais au contraire élève celui du «bon». C’est l’huile idéale à la fois pour les crudités qu’elle parfume agréablement, mais aussi pour les cuissons car elle supporte bien les fortes températures. La meilleure huile d’olive est celle qui est extraite à froid et de première pression. Selon une étude suédoise, ses acides gras monoinsaturés que l’on retrouve en forte proportion permettraient de diminuer de 25% les risques de contracter un cancer du sein. On lui reconnaît aussi le pouvoir de protéger les intestins et le côlon du cancer. C’est incontestablement une huile végétale à privilégier, sans oublier pour autant les autres huiles comme celle de colza qui, d’après les dernières études scientifiques, de par sa composition équilibrée en acides linoléique et alpha-linolénique, se montre très afficace pour lutter contre le cholestérol. Les huiles de tournesol, maïs, pépins de raisin sont par ailleurs riches en vitamine E.

LA TOMATE

Reine de l’été, la tomate doit sa belle couleur rouge au lycopène, une substance antioxydante qui agit sur une molécule toxique, «l’oxygène singulet», et protège ainsi les cellules d’une atteinte cancéreuse. Consommée très régulièrement, la tomate diminuerait de 20% le risque de développer un cancer de la prostate chez les messieurs. Elle est aussi une bonne source de potassium, de bêtacarotène, de vitamines C et E et de folates. Bien que de saveur acide, c’est un fruit surtout alcalinisant, qui n’est pas contre-indiqué aux arthritiques. Par contre, il peut provoquer des désagréments chez certaines personnes. La peau de la tomate peut être irritante pour les tubes digestifs fragiles. Il suffit alors de l’ébouillanter rapidement pour la peler. De même les pépins, riches en cellulose, peuvent se montrer irritants. Il suffit de les éliminer en égouttant les tomates tranchées. Certaines personnes sont allergiques à la tomate et développent des aphtes ou un eczéma à son contact. Dans ce cas, il ne faut pas insister.

Quant aux tomates vertes, elles contiennent de la solanine, une substance toxique se trouvant dans la peau, qui peut provoquer des migraines.

lentillesLES LEGUMES SECS

Fèves, haricots secs, pois chiches, pois cassés, lentilles devraient faire partie de nos menus au moins 3 fois par semaine. On peut les consommer en remplacement d’un plat de viande ou de poisson car ils contiennent une quantité non négligeable de protéines tout en étant peu gras. Ils sont aussi une bonne source de sucres lents. Cuits, ils contiennent de 6 à 9 g de protéines, de 0,1 à 0,7 g de lipides, de 18 à 28 g de glucides, de 5 à 8 g de fibres et apportent en moyenne 105 à 140 calories aux 100 g. Il vaut mieux  les associer aux céréales car ces dernières contiennent certains acides aminés qu’ils n’ont pas.  Autre atout des légumes secs : ils sont fort bien pourvus en minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, fer...), en oligo-éléments (zinc, cuivre, manganèse, iode...) et en vitamines du groupe B. Ne pas oublier le soja (et le germe de soja) qui est la plus nutritive des légumineuses. Ses fibres agissent favorablement sur le cholestérol et certains de ses composés ont une action préventive anticancéreuse.

LES PÂTES

Longtemps bannies, car accusées de faire grossir, les pâtes sont désormais largement réhabilitées par les nutritionnistes. Elles fournissent essentiellement des sucres lents, qui distribuent de l’énergie progressivement, et à ce titre évitent les pics d’insuline, responsables des fringales et coups de pompe. Le glucose qu’elles contiennent reste longtemps dans le sang pour nourrir les muscles et le cerveau, d’où leur intérêt pour les sportifs et les intellectuels souhaitant améliorer leurs performances, mais aussi pour les personnes qui font un régime amaigrissant car les sucres lents ont un effet coupe-faim. Bien sûr, si les pâtes ne font pas grossir, la sauce bolognaise, le gruyère râpé et le beurre qui les accompagnent éventuellement et généreusement sont bourrés de matières grasses.

Digestes, elles sont aussi une source de protéines, d’oligo-éléments et de vitamines B qui font qu’on peut les consommer plusieurs fois par semaine (sans pain et sans sauce grasse), pourquoi pas avec un peu de crème fraîche ou d’huile d’olive et de parmesan. À ne pas négliger : les autres sources de sucres lents (pommes de terre, pain,   céréales...).

LE THÉ VERT

Les grands buveurs de café doivent savoir que leur breuvage préféré, au-delà de 3 tasses par jour, est un véritable poison pour leur organisme : il est source de palpitations, tachycardie, tension musculaire, acidité gastrique, hypoglycémie et donc fatigue. Pour bien se porter, il est donc important de choisir un autre carburant que le «petit noir», tout au long de la journée. Le thé vert (et non le thé noir) semble une boisson bien plus bénéfique à la santé. Grâce à ses tanins et à son fluor, on lui attribue un rôle préventif contre les caries. Il inhibe à 95%, les interactions entre le sucre et les bactéries produisant la substance collante appelée dextrane, laquelle est à la base du processus qui aboutit à la formation des caries dentaires. Les Japonais, grands buveurs de thé vert, ont démontré également que ce breuvage avait une action protectrice contre les cancers du poumon et de l’appareil digestif. Cette action bénéfique est due à la présence de flavonoïdes, également présents dans le café. Mais, si ce dernier se montre stimulant et protecteur à petite dose, au delà de 3 tasses par jour, il peut entre autres constituer un facteur de risque pour le cancer de la vessie.

On attribue aussi au thé vert le pouvoir de nettoyer les artères et, ainsi, de participer à la prévention de l’athériosclérose. Il faut éviter de boire du thé pendant les repas car il limite l’assimilation du fer.

LE PAIN

La consommation de pain permet un apport en glucides complexes, en fibres, en vitamines du groupe B, et en minéraux comme le fer et le zinc. L’utilité du pain n’est plus a démontrer. Celui-ci fait partie des aliments autrefois décriés, car accusés de faire grossir, et aujourd’hui réhabilités pour leur participation au bon fonctionnement des intestins et leur apport en sucres lents antifringuale. Il existe une grande variété de pains. Les meilleurs sont ceux préparés avec des céréales issues de l’agriculture biologique, qu’on trouve maintenant un peu partout, même en grandes surfaces. Le pain complet, fabriqué à partir de grains de blé entier (non blutés), ayant conservé leur enveloppe (ou son) et leur germe, est plus riche en micronutriments. Il contient 3 à 4 fois plus de vitamines (B1, B2, PP, B5, B6), de fer, de magnésium et aussi de cellulose que la pain blanc, considéré par certains nutrionnistes comme un pain «mort». Le pain complet, fabriqué à partir de farine biologique et de levain naturel, permet de diminuer la consommation de pesticides cachés.

LE YAOURT

Applaudi comme «aliment des centenaires», le yaourt est l’un des aliments révélation de ces dernières décennies. Son côté pratique et sa texture toute douce en font un aliment plaisir idéal pour les enfants et les personnes âgées car il est facile et agréable à manger. Il est aussi particulièrement digeste. C’est un produit laitier un peu à part qui mérite d’être consommé régulièrement à raison de un à deux yaourts par jour. Il représente un atout pour les personnes intolérantes au lactose (sucre du lait), qui sont plus nombreuses qu’on ne le croit  à ne pas tolérer le lait. En plus du calcium, des protéines et des vitamines, les yaourts, yoghourts et laits fermentés participent au bon équilibre intestinal. Ils contiennent des bactéries (bifidus, lactobacillus casei...) qui améliorent la flore intestinale et favorisent le transit. Ainsi le bifidus permet de traiter les diarrhées aiguës de l’enfant. De même, après un traitement antibiotique, les yoghourts et laits fermentés permettent de reéquilibrer la flore intestinale. Une étude de l’INRA  a également montré que les ferments lactiques du yaourt agissaient à titre préventif contre la cataracte, alors que les autres produits laitiers, riches en lactose, augmentent le risque de la développer. Enfin, le yaourt participe au renforcement des défenses immunitaires et à la baisse du taux de cholestérol sanguin.Il vaut mieux choisir des yaourts natures enrichis en bifidus ou LC1 et éviter de les sucrer. Il est préférable de les enrichir soi-même de petits morceaux de fruits ou de miel. Pour l’apport en calcium, il ne faut pas oublier les fromages (pâtes pressées cuites) et le lait qui en sont mieux pourvus que le yaourt.

LE POISSON GRAStruite

Le poisson contient à peu près les mêmes quantités de protéines que la viande. Il est donc aussi nourrissant, mais surtout, il est beaucoup moins gras que la viande et contient des éléments essentiels que la viande ne possède pas, ou très peu (vitamines A et D, iode, fluor,  ainsi que de nombreux sels minéraux). L’avantage des poissons gras et mi-gras (saumon, thon, maquereau, anchois, sardine, congre, murène, anguille, lamproie, hareng, turbot, rouget) est qu’ils contiennent une bonne proportion d’acides gras insaturés. Ces «bonnes» graisses ont la particularité, à l’inverse des acides gras saturés contenus en majorité dans la viande, de lutter contre l’athérosclérose ou épaississement et rétrécissement de la paroi artérielle.

Les poissons gras contiennent surtout en abondance des acides gras insaturés spécifiques appellés oméga 3, lesquels jouent un rôle important dans la lutte contre les maladies cardio-vasculaires. Ils agissent en fluidifiant le sang et en empêchant la formation de caillots dans les artères. De même, ils abaissent le taux de triglycérides, qui est à l’origine des infarctus.

Ainsi faut-il, pour avoir un cœur d’Esquimau,  consommer du poisson gras au moins 2 à 3 fois par semaine, voire plus, si on le souhaite.

La viande de bœuf hachée21steak_hache

Ingénieuse et créative, la viande de bœuf hachée se prête et s'adapte à tous les ingrédients, à toutes les cuisines et joue de ses sucs goûteux dans des concertos majeurs pour papilles gourmandes. Pratique et facile au quotidien, il suffit d'un soupçon d'ingéniosité et d'une pincée de savoir-faire pour la faire sortir des sentiers battus.

A près le scandale de la «vache folle», c’est encore avec méfiance que certains achètent de la viande de bœuf. Or les derniers décrets en cours soumettent cette viande à une législation et à des contrôles rigoureux qui permettent de la consommer en toute sécurité. Hachée, elle doit répondre à des exigences particulières et contenir 99% de viande de bœuf au minimum. Seul 1% de sel est autorisé en complément. De même, elle doit provenir exclusivement de muscles dont le taux de matières grasses se situe, selon les gammes de produits, entre 5 et 15%.

Choisir

l Sur l’emballage doivent figurer plusieurs mentions : le taux de matières grasses (il doit être inférieur à 5%, 10% ou 20%), le rapport collagène/protéines de viande (il doit être inférieur à 15%), la date de fabrication, le numéro du lot de fabrication et éventuellement la mention du pourcentage de viande incorporé.

l L'appellation «tartare» est réservée aux viandes hachées de bœuf contenant au maximum 5% de matières grasses.

Conserver

La viande hachée fraîche se conserve au réfrigérateur jusqu’à la date limite d’utilisation. Elle se congèle sans problèmes, en petites portions.

Au jour le jour

- Le steak haché «pur bœuf» se cuit et se prépare au goût de chacun : nature ou malaxé avec des herbes de Provence, de la moutarde, de la sauce tomate ou Worcestershire, des câpres, des pickles ou des cornichons.

- Le tartare se prépare avec du steak à 5% de matières grasses. L'accompagner de câpres, cornichons, jaune d'œuf, d’oignons ou d’échalotes, de moutarde, de sauce anglaise, de persil, de sel et de poivre. Un filet de cognac ou de fine de champagne corseront son goût.

- Le hachis Parmentier, souvent réalisé avec des restes de bœuf cuit, sera encore plus goûteux avec de la viande hachée fraîche poêlée et des oignons juste blondis. Les sucs de la viande alliés à la saveur caramélisée des oignons parfumeront agréablement les deux lits de purée entre lesquels le  hachis repose.

- Les tomates farcies sont succulentes avec une farce à base de viande hachée fraîche à laquelle on aura associé des oignons poêlés, un jaune d'œuf, un peu de riz et une cuillère de moutarde.

Cuisine sans frontière

Siepices le nord de l'Europe a prouvé sa créativité en matière de cuisine à base de viande hachée, les autres pays du monde ne sont pas en reste.

Travaillée en boulettes, la viande hachée est une vraie muse : palets norvégiens (avec une sauce au fromage), boulettes suédoises ou roumaines, bœuf à la Lindström (viande hachée, betteraves, pommes de terre, oignons), fricadelles hollandaises (avec œuf, ail, oignon, persil).

Les pays du Sud donnent la réplique avec les keftas de bœuf aux multiples épices (cumin, marjolaine, gingembre, menthe, persil...).

En Grèce, le hachis Parmentier trouve un lointain cousin dans la moussaka, souvent travaillée avec de l'agneau mais dont la variante au bœuf est aussi délicieuse. Quant à la tomate farcie, elle devient  chou farci en Finlande, poivron et aubergine farcis au Liban ou en Grèce.

Les pâtés ont leurs maîtres

Les Anglais préparent des pâtés de viande de bœuf hachée en croûte (pies) ou façon pudding. Les Polonais raffolent des pirojkis. Les Sud-Américains se régalent des empanadas et des hallacas qui mêlent poivrons, olives, raisins secs.

Les Chypriotes confectionnent des bourekias en associant à la viande hachée oignons, persil, muscade, girofle, le tout enveloppé d'une fine pâte. La cuisine créole épice sérieusement ses chaussons à la viande.

Quant aux Chinois, ils font sauter dans leur wok des croissants farcis de viande hachée.

 

 

La viande : Atout forme

 

Viande de bœuf avant tout, la viande hachée en possède toutes les qualités nutritionnelles. Elle contient :

l Des protéines de bonne qualité, pour la bonne vie de nos cellules.

l La meilleure source de fer biodisponible, pour nos globules rouges.

l Du zinc en bonne quantité, pour aider notre organisme à se défendre.

l Des vitamines B 12 et PP, pour la croissance et l'énergie.

l La viande de bœuf hachée s'intègre sans problème dans les régimes amaigrissants, notamment celle à 5% de MG.

100 g de viande de bœuf hachée = 130 calories (à 5%)  et 210 calories (à 15%).

 

 

Des vitamines à foison : Les jus  de fruits

Parfumés, riches en vitamines, les jus de fruits constituent une boisson à la fois agréable et bénéfique à la santé. Le matin au petit déjeuner, pour faire le plein de tonus et d'énergie, en remplacement d’un apéritif alcoolisé, pour garder la forme et surveiller sa ligne, ils feront l’unanimité.

T rès riche en eau, le jus de fruits est une boisson désaltérante qui contribue à maintenir l'équilibre hydrique de notre organisme. Le potassium qu'il contient intervient également dans cet équilibre.

Il constitue toute l'année une source de vitamines et notamment de vitamine C, précieuse en hiver.pamplemousses

Un jus de fruits pris au réveil stimule le tube digestif. 15 minutes seulement après l'avoir consommé, les fonctions digestives se mettent en route.

Au hit-parade des jus de fruits, le jus d'orange, bien sûr, mais aussi les jus de pomme, d'ananas ou de raisin. Parmi les jus qui grimpent, celui de pamplemousse (en provenance de Floride) est considéré comme un jus de fruits diététique et diurétique, bénéfique à la santé et à la ligne.

Le palmarès des vitamines et sels minéraux

u Les jus d'orange, de pamplemousse et d'ananas sont les plus riches en vitamines C. Deux verres de l'un ou l'autre couvrent la quasi totalité des besoins quotidiens en vitamine C.

u Les jus de raisin et d'ananas sont  champions en potassium, un oligo-élément aux vertus diurétiques qui intervient dans l 'équilibre en eau de l'organisme et dans la contraction musculaire.

u Le jus de tomate est très riche en carotènes, les précurseurs de la vitamine A, indispensables à la vue et au bon état de la peau.

u Les jus de tomate, d'orange et de pamplemousse sont parmi les plus vitaminés et aussi les moins caloriques.

u Le jus de pomme, grâce aux polyphénols qu'il contient, est le meilleur dans la catégorie anticholestérol.

Il est aussi diurétique et légèrement laxatif.

jus_fritsQuel jus choisir ?

Ce que les producteurs et les consommateurs désignent par jus de fruits recouvre 3 grands types de produits.

- Le pur jus «100 % pur jus de fruits»

Il résulte du pressage des fruits sur les lieux de production. Conditionné puis pasteurisé, à l'exception des jus frais, il ne reçoit aucune adjonction. On le reconnaît à son logo «100 % pur jus de fruits». Il est conditionné en briques de carton ou en bouteilles.

- Le jus à base de concentré

Le jus de fruits fraîchement extrait est séparé d'une partie de son eau de constitution sur les lieux de production par un procédé d'évaporation effectué sous vide. Il est ensuite reconstitué sur le lieu de conditionnement, par un apport en volume d'eau égal à celui évaporé. Il subit enfin une pasteurisation. Le jus de fruits obtenu par cette méthode doit porter la mention «jus à base de concentré».

- Le nectar de fruits

Les jus élaborés à partir de fruits pulpeux (pêche, poire, abricot) se trouvent sous la forme de nectar. Leur pressage ne permettant pas l'obtention d'un jus directement consommable.

Le nectar est fabriqué à partir de jus de fruits et/ou de purée de fruits, concentrés ou non, dans des proportions qui varient selon les fruits (25 à 50 % minimum) et additionnés d'eau et de sucre.

Acheter

- Au rayon frais : pour les jus de fruits frais ou réfrigérés. Ils doivent être conservés au frais et être rapidement consommés.

u Au rayon des liquides : pour les jus pasteurisés, «100 % pur jus de fruits», les jus à base de concentré, les nectars de fruits, les jus de légumes. Conditionnés en bouteilles ou en briques, ils se conservent à température ambiante. S'ils ne sont pas ouverts, ils peuvent se garder de 12 à 18 mois.


 

Atout    forme

 

-  Le jus de fruits est une boisson naturelle et authentique qui affiche les mêmes qualités nutritionnelles que les fruits dont il est issu et qui restitue une partie des fibres contenues dans la pulpe (nectar).

-  Il fournit les mêmes sucres naturels que ceux des  fruits. Ce sont des glucides comme le fructose et le glucose,  facilement assimilables, qui représentent une source d'énergie rapidement disponible.

-  Il constitue également un apport intéressant en minéraux et oligoéléments : potassium, calcium, phosphore, magnésium, fer, cuivre et manganèse.

-  Grâce à ses nombreuses vitamines,  les jus de fruits et les jus de légumes constituent une boisson équilibrée, aidant à stimuler  les défenses immunitaires du corps.

100 g de jus de fruits = entre 15 et 80 calories  (selon la nature des fruits).

 


 

Vos astuces : un autre usage  des aliments

* Pour faire disparaître des tâches de cambouis, les tamponner avec du beurre, laisser reposer quelques heures et laver à l'eau savonneuse tiède.

* Pour faire briller vos vitres et même vos cheveux, utiliser de l’eau citronnée. Le citron enlève aussi les tâches sur les couteaux.

*  Pour décoller facilement un chewing-gum d'un vêtement, le faire durcir en le frottant avec un glaçon.

*  Pour défaire facilement les nœuds d'une chaînette en or, la frotter avec quelques gouttes d'huile, puis essayer de démêler.

*   Pour nettoyer des chaussures en cuir verni, passer un chiffon imbibé de lait. De même, quelques gouttes de lait tiède redonneront vigueur à un reste de cirage desséché.

*  Pour ôter facilement une écharde, faire tremper son doigt ou son pied

5 min dans de l'eau chaude fortement salée.

*   Pour redonner de l’éclat aux plantes vertes, passer un chiffon imprégné de bière sur les feuilles.

*  Pour éloigner les pucerons au pied des rosiers, y déposer régulièrement

du marc de café. Il servira également d’engrais.

*  Pour détartrer un fer à vapeur ou une cafetière électrique, y mettre un mélange d'eau et de vinaigre blanc, brancher et rincer.

 

 

Santé -news

Déficience en vitamine C  et risque coronarien

En France, les maladies cardio-vasculaires demeurent la première cause de mortalité, toutes causes confondues.

Les vitamines antioxydantes (vitamines E, C et bêtacarotène) apparaissent comme une solution efficace pour prévenir ces maladies. Une étude finlandaise a montré qu’une baisse de la concentration plasmatique de vitamine C était associée à une progression de l'athérosclérose. La vitamine C, comme les autres vitamines antioxydantes, sont capables de s'opposer aux effets néfastes des radicaux libres, lorsque ceux-ci sont produits en excès. Il est connu que les antioxydants naturels s'opposent à l'oxydation du LDL cholestérol et à la progression de la plaque de l'athérome. Certains groupes de personnes peuvent avoir des besoins augmentés. C’est le cas des personnes âgées mais aussi des fumeurs qui ont un taux sanguin d'acide ascorbique inférieur aux non-fumeurs et dont les besoins sont accrus (de l'ordre de 120 mg/jour).

Comment trouver  votre équilibre alimentaire ?

La vitamine E : elle protège les vaisseaux

La vitamine E est très à la mode depuis quelques années car c'est l’un des antioxydants majeurs qui permet de lutter contre

le vieillissement cellulaire et la dégénérescence des tissus.

Son rôle

* La vitamine E protège les acides gras et toutes les autres molécules lipidiques de l'oxydation. Elle est essentielle à la protection de la cellule et en particulier de sa membrane.

* C’est aussi un protecteur vasculaire. Elle fait baisser le cholestérol, surtout le «mauvais», et diminue le risque d'athérosclérose.

* Elle intervient pour améliorer la fertilité.

* On lui attribue un rôle préventif du cancer.

Les carences

* Les fumeurs, les alcooliques, les femmes sous pilule, les sportifs, les

personnes au régime et celles qui présentent un rique cardio-vasculaire ont des besoins augmentés.

* Les ANC pour un adulte sont de 12 mg par jour.

Où la trouver ?

* Huile de germe de blé, huiles végétales de première pression à froid (soja, noix, tournesol), certaines margarines.

* Les fruits oléagineux, le germe de blé.

* Le poisson gras, l’huile de foie de morue.

* Le beurre, le jaune d'œuf.

* Les épinards, le fenouil, les asperges.
mais

Les aliments à éviter (allergisants ou risque d’eczéma)

Il existe deux types d'eczéma : l'eczéma de contact, ou dermatite de contact, et l'eczéma atopique.

Ce dernier affecte des personnes atteintes d'atopie, c'est-à-dire des personnes qui ont une prédisposition héréditaire aux allergies. Dans les deux cas, la peau rougit, démange et s’écaille.

L’alimentation est responsable

Les principaux allergènes sont le riz et le poisson au Japon, la cacahuète aux États-Unis, la farine de blé et la tomate en Italie. En France, ce sont : le lait (parfois le lait maternel pour les bébés), les produits laitiers, les œufs, le poisson, le blé, les tomates, les noix, les dérivés du soja et de la levure. L’agent allergisant peut être soit l'aliment lui-même, soit un additif qu'il comporte. Il faut l’évincer de son alimentation.

La démarche

Consulter un médecin allergologue qui prescrira des examens sanguins et des tests cutanés, afin de détecter les allergènes, ou les recherchera en procédant à un régime d'exclusion.

Recommandations

Supprimer les aliments irritants pour la muqueuse intestinale (épices), réduire ou suspendre la prise d’anti-inflammatoires (aspirine) pour leur pouvoir irritant sur le tube digestif, limiter la consommation de boissons alcoolisées, riches en résidus allergisants et favorisant la libération d'histamine dans l'intestin.

Les édulcorants ou substituts au sucre

Les édulcorants se divisent en deux catégories : les polyols (appelés aussi édulcorants de charge) et les édulcorants non nutritifs (ou édulcorants intenses).

Les polyols

Sorbitol, xylitol... sont utilisés en confiserie et dans de nombreux médicaments.

Ils ont un pouvoir sucrant inférieur à celui du sucre et sont également moins cariogènes.

Les édulcorants intenses

Aspartame, acésulfame-k, saccharine.sont utilisés dans les boissons ou comme édulcorants de table. Ils ont un pouvoir sucrant important pour un faible apport calorique. (Aspartame et autres édulcorants de synthèse,  ils sont interdits dans de nombreux pays)

Leur intérêt

* Les édulcorants sont intéressants pour le contrôle du poids, mais également dans le maintien du taux

de glucose dans le sang (diabétique).

* Une sucrette équivaut à 0,3 calories, un morceau de sucre à 20 calories.

Recommandations

On accuse l’aspartame d’engendrer un lent processus de destruction des neurones et de provoquer des allergies ou encore de favoriser la tromperie sensorielle (augmentation des besoins en sucres). Toutefois, utilisés à bon escient, les édulcorants peuvent rendre de grands services notamment aux obèses et aux diabétiques.

Les aliments enrichis : quand faut-il les consommer ?

Pour l'instant, on trouve des produits enrichis seulement dans certains groupes d'aliments : lait, yaourts, céréales, jus de fruits.

Les définitions

Il faut faire la nuance entre les «enrichis», les «supplémentés», les «complémentés» et les aliments «à teneur garantie».

* «Garanti en» : ce terme est réservé aux produits pour lesquels on a rétabli les éléments perdus lors du processus de fabrication.

*  «Enrichi» : on a ajouté une quantité réellement importante de vitamines et de minéraux, selon la réglementation prévue.

*  «Complémenté» : ces produits sont présentés comme des «produits plus» alors qu'ils ne répondent qu'à une réglementation.

Mise en garde

Un surdosage en vitamines ou en minéraux peut amener le fabricant à modifier les autres composants du produit. Par exemple, certains yaourts enrichis en fer et en magnésium ont du être enrichis en sucre et en graisse.

Le bon usage

Les aliments enrichis s’adressent avant tout aux personnes qui ont des besoins accrus en certains micronutriments.

* Femme enceinte : calcium, fer, folates (B9)...

* Femme sous pilule : vitamine B6, folates...

* Enfants : vitamine D...

* Végétariens : zinc, vitamine B12...

* Après 70 ans : vitamine D, folates...

La diététique de l’effort : les aliments gagnants

Quand on pratique un sport de façon intensive, et à plus forte raison quand on fait de la compétition, on doit organiser son alimentation de façon plus précise.

Un règle de base

u L’organisme doit disposer d’une réserve d’énergie sans être pour autant handicapé par la digestion au moment où l’on fournit des efforts intenses.

u Le repas qui précède la compétition doit être léger et celui d’avant plus consistant. Exemple : si l‘activité sportive a lieu l’après-midi, le déjeuner doit être léger et le petit déjeuner consistant.

u Lorsque l’activité physique dure longtemps, il faut prévoir de «recharger ses batteries» au fur et à mesure des efforts fournis. Cela permet d’éviter la fatigue et de récupérer plus vite par la suite.

Quand faut-il boire ?

Un sportif peut perdre 1 à

2 litres d’eau par heure. Pour éviter la déshydratation, boire abondamment 1 à 2 heures avant la compétition puis à nouveau pendant l’échauffement (boisson légèrement sucrée). Boire après (eau minérale) pour éliminer les toxines liées à l’effort.

Les besoins

Que ce soit avant ou après l’activité, privilégier les glucides complexes (pâtes), les protéines (viande maigre) et les légumes.

Ne pas consommer d’alcool.

L’équilibre alimentaire : miser sur la variété

Nul besoin d’avoir une calculette pour arriver à équilibrer son alimentation. Un minimum de connaissances et beaucoup de bon sens dans le choix et la préparation des aliments suffisent.

Le danger des régimes

* Qu’il soit amaigrissant, ou végétarien, tout régime qui exclut un ou plusieurs groupes d'aliments entraîne un déficit en nutriments spécifiques.

*  Les quantités d'aliments consommés doivent varier selon l’âge, la constitution et l'activité physique pratiquée. On doit aussi tenir compte de son état de santé.

*  L'équilibre se réalise sur une période de plusieurs jours consécutifs, à l'échelle d'une journée pour certains aliments ou d’une semaine pour d’autres.

Au quotidien

Consommer des aliments de chacun des groupes :

*  Produits laitiers :

1 ou 2 par repas.

*  Viande ou poisson ou œufs :

1 fois par jour.

*  Légumes ou fruits crus : à chaque repas.

*  Légumes cuits : 2 fois par jour.

*  Pommes de terre ou pâtes ou céréales ou légumes secs : 1 fois par jour.

*  Pain : 1 à 3 fois par jour.      

La bonne ration

*  Chaque jour, consommer en moyenne 1,5 kg d'aliments en 3 prises et boire 1,5 litre d'eau.

*  Manger moins gras et moins sucré. Légumes et fruits frais (crus et cuits), céréales et légumes secs doivent constituer la base de l’alimentation.

Les équivalences : pour mieux diversifier ses menus

Il y a autant de protéines dans

* 100 g de viande.

*  100 g de poisson.

*  2 œufs.

*  0,65 l de lait.

*  70 g d’emmenthal.

*  100 g de camembert.

* 200 g de fromage blanc.

*  4 yaourts de 125 ml.

*  250 g de pain blanc.

*  250 g de lentilles.

*  120 g de jambon.

Il y a autant de glucides dans

*  90 g de pain.

*  75 g de biscotte.

*  4 cuil. à soupe de farine.

*  60 g de pétales de maïs.

*  190 g de riz cuit.

*  200 g de pâtes.

*  280 g de pommes de terre.

*  7 morceaux de sucre.

*  250 g de fruits.

Il y a autant de lipides dans

*  12 g de beurre.

*  12 g de margarine.

*  30 g de crème fraîche à 30% de MG.

*  60 g de crème fraîche à 15% de MG.

*  2 rondelles de saucisson.

*  15 g de lardons fumés.

*  1 petit croissant au beurre de 30 g.

*  10 g d’huile.

*  10 g de mayonnaise.

*  1,5 cuil. à soupe de cacahuètes.

Il y a autant de calcium dans

*  1 verre de lait de 125 ml.

*  1 yaourt de 125 ml.

*  100 g de fromage blanc.

*  15 g de gruyère.

*  20 g de roquefort.

*  50 g de camembert.

la diète protéinée : 15 jours pour «décoller»

La diète protéinée permet de se débarrasser rapidement de plusieurs kilos superflus. Bien conduite, elle permet surtout de ne pas les reprendre et de maintenir son poids d’équilibre. Avantages et inconvénients de cette diète que certains saluent comme le «régime du siècle».

Le problème avec la plupart des régimes amaigrissants, c’est qu’il faut compter beaucoup de temps avant d’obtenir des résultats significatifs. C’est à la fois normal et décourageant. Sauf volonté à toute épreuve et très grande disponibilité, on finit par se lasser, par succomber aux tentations et par laisser tomber. Résultat, on enclenche ce que les nutritionnistes appellent le phénomène «Yo-Yo» qui se traduit par un poids en accordéon qui va en s’aggravant. La diète protéinée peut aider à repartir du bon pied dans le sens où elle permet d’obtenir des résultats rapidement, sans danger pour la santé. À condition bien sûr de consulter avant de commencer, pour écarter toute contre-indication, et de se faire suivre régulièrement par un médecin ou un nutritionniste, pour vérifier que le régime est bien supporté. Simple et facile à réaliser, le choix se limite à celui des légumes et au parfum des sachets de protéines. Une fois débarrassé de ses kilos superflus, on est plus à même de suivre un régime équilibré et de rectifier ses écarts, si l’on en fait, pour la simple raison qu’on est enfin bien dans sa peau.

Les principes de base

Au départ pratiquée aux États-Unis et au Québec, puis proposée exclusivement en milieu hospitalier afin de faire maigrir les grands obèses, la diète protéinée a été mise au point en France par le Dr Peltriaux. Elle consiste à se nourrir pendant un certain temps, essentiellement de légumes et de protéines de bonne valeur biologique qu’on se procure en pharmacie, sous forme de poudre conditionnée en sachets. Pour compenser les carences, le médecin prescrit en général un cocktail de vitamines et de minéraux que l’on trouve normalement dans une nourriture équilibrée, bien que les légumes consommés pendant la cure en apportent une bonne partie.

Le principe de la diète protéinée est simple : il consiste à pousser l’organisme à puiser dans ses réserves de graisses en évitant la fonte musculaire. Ce régime basses calories temporel ne comporte aucun risque du fait de l’apport en protéines qui assure le maintien de la musculature et du cœur et de l’effet coupe-faim de celles-ci qui empêche de succomber aux grignotages.

Comme tout bon régime, la diète protéinée comprend 3 phases : une phase starter qui permet de maigrir vite et sans souffrance, une phase de réalimentation, qui vise à retourner à une alimentation normale, en réintégrant progressivement les aliments protéinés, et une phase de stabilisation qui a pour but d’assurer le maintient du poids et d’acquérir définitivement de bonnes habitudes alimentaires afin de ne jamais regrossir.

La phase de sevrage

Tout commence par une période de déconditionnement qui dure 15 jours, voire 20 jours si on a beaucoup de poids à perdre, mais jamais plus. En effet, il faut compter au moins 2 semaines pour couper court avec ses mauvaises habitudes alimentaires et pour que l’organisme puisse se reprogrammer. Pendant cette phase starter, on ne mange que des légumes à volonté (les plus riches en glucides sont limités), on boit beaucoup (1,5 à 2 litres d’eau, un Coca Light de temps en temps si l’on veut) et l’on consomme des protéines en poudre. Si l’on est bien motivé au départ, il sera facile de ne pas craquer car les protéines ont un effet coupe-faim. Les résultats sont très encourageants En une semaine, on perd en moyenne 4 kg pour une femme et 6 kg pour un homme («et, oui, c’est comme ça, les hommes maigrissent plus vite !»). Ensuite l’amaigrissement est variable.

Il peut y avoir de courtes périodes de stagnation.

L’euphorie des premiers kilos perdus

Grâce aux protéines, la dégradation de la graisse entraîne la formation de ce que l’on appelle les corps «cétoniques» (acétone, acide acétylacétique, acide hydroxybutyrique). Ce phénomène qui apparaît au bout de 48 à 72 heures, et qu’on appelle plus scientifiquement acidocétose compensée, procure un effet surprenant de dynamisme, voire d’euphorie. En même temps, les corps cétoniques accentuent l’effet coupe-faim. Plus on maigrit, moins on a faim et plus on est en forme.

La phase de réalimentation

Pendant cette deuxième période et après avoir perdu du poids, on réapprend à se nourrir correctement en réintroduisant les aliments protéinés naturels. Sa durée dépend du nombre de kilos qu’on veut perdre. La perte de poids continue et peut aller jusqu’à 4 à 6 kg par mois.

La phase de stabilisation

Elle vise à trouver un rythme de croisière pendant lequel les kilos perdus ne reviendront pas. On peut faire des petits écarts, mais à condition de savoir les gérer en les «rattrapant» le jour suivant par un repas protéiné. En principe le plaisir d’avoir perdu ses kilos en trop rend plus facile cette période de stabilisation. Un peu de sport, une autre façon d’envisager l’alimentation en apprenant à compenser autrement que par les aliments... et c’est gagné, une fois pour toutes !

Le Dr Peltriaux, dans son second livre, Restez mince toute l’année, donne également des conseils pour éviter de refaire de la graisse sans pour autant bannir tout plaisir de son alimentation, toujours grâce à l’utilisation des fameuses protéines, de temps à autre. Si l’on a encore du poids à perdre, on pourra recommencer une diète de 15 jours.

Les contre-indications

La diète protéinée est accessible à presque tout le monde. Elle est contre-indiquée en cas de maladie aiguë, d’insuffisance hépatique, cardiaque ou rénale, en période post-opératoire et en cas de grossesse ou d’allaitement. C’est le médecin qui déterminera si le patient peut suivre une telle diète, lors d’un petit bilan médical. De toutes façons, les protéines se vendent en pharmacie et ne sont délivrées que sur présentation d’un certificat médical. La diète protéinée est bien sûr recommandée en cas d’obésité mais elle se montre intéressante dans d’autres affections où le surpoids est en cause. C’est le cas de l’arthrose, du diabète gras, de l’hypertension et également de l’asthme lorsque l’asthmatique est obèse et que la couche de graisse qui enveloppe la paroi abdominale représente une gêne supplémentaire.

Y a-t-il des risques ?

Certains auteurs accusent les diètes protéinées d’être à l’origine de décès inexpliqués  aux États-Unis, à la fin des années 70. Après enquêtes, les autorités sanitaires américaines se sont aperçues que la durée excessive des diètes et la mauvaise qualité des protéines étaient en cause et représentaient une menace pour le cœur des patients qui avaient été soumis en fait à une famine fatale. Les protéines vendues actuellement en pharmacie sont de bonne qualité biologique et ne constituent pas de risque. D’autre part, les légumes consommés pendant la diète constituent un apport en fibres et en vitamines, qui est complété par la prise d’un complément alimentaire. Mais surtout, la diète est limitée dans le temps et se déroule sous surveillance médicale. Si les contre-indications sont écartées, il n’y a donc aucun risque à suivre la diète protéinée telle qu’elle est proposée actuellement. Quant à une éventuelle reprise de poids, celle-ci n’aura pas lieu si on prend soin, une fois les kilos perdus, de stabiliser son poids et de s’en tenir à une alimentation raisonnable, qui ne doit pas être pour autant punitive.

le régime protéiné : Viandes maigres et poissons

Les protéines sont un atout indéniable dans les régimes minceur.

On peut les privilégier dans son alimentation en consommant de la viande, du poisson ou des œufs.plat

Le régime à base de protéines naturelles permet de perdre 4 à 5 kg en un mois.

O n peut le prolonger jusqu’à l’obtention du poids désiré. Après une phase starter stricte, on passe à une phase de réintroduction des sucres lents, puis à une phase de stabilisation. En 5 mois, on finit pas perdre environ 10 kg.

Les protéines sont indispensables à notre équilibre. Elles sont des constituants fondamentaux de tous les tissus vivants, mucles et os, et sont également indispensables à la synthèse des hormones, des anti-corps et des enzymes. D’origine animale, on les trouve dans la viande, le poisson et les produits laitiers. Elles contiennent les acides aminés indispensables en proportions équilibrées. D’origine végétale, elles sont présentes surtout dans les légumes secs et les céréales, mais celles-ci sont considérées comme incomplètes, car ne contenant pas tous les acides aminés essentiels. Dans le cadre d’un régime protéiné, on les écarte dans un premier temps parce qu’elles sont aussi source de glucides.

Les bases du régime

Le régime protéiné à base de protéines naturelles consiste, au départ, à privilégier les aliments riches en protéines d’origine animale, mais pauvres en graisses et à supprimer en grande partie les sucres rapides (confiture, sucre, miel...) et les sucres lents (pommes de terre, pâtes, légumes secs...). Ceci afin d’obliger l’organisme à puiser dans ses réserves de graisses et à réduire le phénomène de faim et de grignotage compulsif. Au bout d’environ  3 semaines, on réintroduit progressivement les sucres lents et on continue de privilégier les aliments protéinés maigres. Il faut compter environ  5 mois pour perdre 10 kg et autant de temps pour stabiliser son poids.

Les recommandations

* Avant de commencer le régime, consulter un médecin pour faire un bilan sanguin et savoir s’il n’y a pas de contre-indications.

* Faire 3 repas consistants par jour et supprimer tout grignotage.

* Boire 1,5 litre d’eau par jour, une boisson light de temps à autre, limiter le café à 2 tasses par jour, privilégier tisanes et bouillons de légumes.

* Supprimer tous les aliments gras (charcuteries, graisses cuites) et sucrés (pâtisseries, croissants, confitures, sucre).

* 1ère phase : pendant 3 semaines, ne consommer que des aliments protéinés maigres et des légumes peu sucrés. Prendre seulement 1 tranche de pain et 1 fruit (ou 1 jus) par jour.

* Ne pas utiliser de matières grasses cuites. Rajouter beurre, margarine, crème ou huile au dernier moment, après cuisson ou dans les salades.

u Assaisonner à volonté avec herbes, épices et aromates.

* Pour «décoller» plus rapidement, on peut remplacer l’un des repas par des protéines en poudre, par exemple pendant 1 ou 2 semaines par mois.

* 2ème phase : réintroduire les sucres lents (pommes de terre, pâtes, céréales, légumineuses) à raison de 3 portions de 150 g (cuits) par semaine, augmenter sa ration de fruits (3 par jour) et de pain (2 tranches par jour).

Les portions par repas

* Protéines : 150 g de poisson ou de fruits de mer ou 150 g de viande maigre (volaille) ou

120 g de bœuf ou  120 g de jambon maigre ou 2 œufs ou  250 g de yaourt et de fromage blanc à moins de 20% de MG.

* Légumes : 250 g de légumes (sauf avocat, pomme de terre, petit pois, betterave, carotte) ou salades vertes, endive, asperge, concombre, épinard, tomate à volonté.

* Consommer 2 cuil. à café d’huile par jour ou 1 cuil. d’huile et

une noisette de beurre. Limiter le fromage à une portion de 30 g par jour.

Martine Morvan

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