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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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ecole chair

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Tu me voulais tienne, je me suis voulue soumise

Par Marie Panon

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Regardez, c'est génial

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

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Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Amina N’Diaye Leclerc, une femme debout contre l’histoire 4e partie

 

IMG_0702Amina N’Diaye Leclerc, sans fin, raconte, filme, peint les années d’emprisonnement de son père, Valdiodio N’Diaye, héros de l’indépendance du Sénégal, injustement accusé de complicité de coup d’état avec le premier ministre Mamadou Dia. 

La 3e partie nous a menés dans l’intimité du camp de Kédougou où le père d’Amina a attendu sa libération pendant douze ans.

« L'incarcération de mon Père à Kédougou pendant douze longues années a forcément marqué toute mon adolescence d'autant plus qu'il m'a été interdit de le voir pendant près de dix ans. Je dénonce là une forme de torture qui est contraire aux droits de l'homme et du citoyen. »

Mais revenons à ce 24 décembre 1962.

Nous avons suivi la famille N’Diaye lors de son expulsion par la police vers Paris, démunie, sans argent, sans papier, sans vêtements décents. La température annoncée par le pilote au moment de l’atterrissage est de -10°. A Dakar, il faisait 25° … (voir la 2e partie)

Cette fois, j’ai retrouvé Amina N’Diaye Leclerc sur les bords d’un lac gersois. Le vent épais annonce novembre. Elle est assez légèrement vêtue. Elle rentre tout juste du Sénégal où elle est allée présenter son film « Valdiodio N’Diaye, l’Indépendance du Sénégal » au Centre culturel français (CCF) de Dakar et  à l’Alliance française à Kaolack, son village natale. Comme toujours, son film est bien accueilli par les Sénégalais. Elle parle avec tristesse de la situation déplorable du cinéma là-bas, une véritable crise qui hélas nuit à la création dans ce domaine alors que tant de talents piaffent de s’exprimer. Si elle est le berceau de l’humanité ¹,  l’Afrique est un jeune continent, porteur d’avenir. Amina me le confirmera au fil de ses confidences, notamment dans le domaine de la mode  dans lequel elle va se retrouver étroitement associée, où la créativité explose. 

Avant de poursuivre, Amina me donne des nouvelles de sa mère. De retour chez elle, à Dakar, Claire N’Diaye a retrouvé la forme et son inusable dynamisme qu’elle a mis au service de la tournée de sa fille avec son film,  en mobilisant son carnet d’adresse.

Je  ramène Amina à notre sujet : je l’invite à me parler d’elle mais, comme sa mère, parler d’elle revient encore et encore à parler de Valdiodio.

« Quand on nous a expulsés du Sénégal, on est revenu chez ma grand-mère à Félines-Termenès où il y avait déjà la famille de mon oncle. On s’est tous retrouvés dans la même maison. »

Un silence. J’imagine une fête de famille perpétuelle mais je devine que ce n’est pas aussi simple à vivre au quotidien. Je sais par expérience ce que c’est que d’avoir quitté les lieux de son enfance, sa maison, ses jeux, ses amis et puis se retrouver à l’étranger. Devoir se créer de nouvelles marques. Mais Amina corrige : « Ce n’était pas l’étranger. Je venais en vacances en France tous les ans, chez ma grand-mère… Les lieux nous étaient familiers…. »

Elle reprend son récit :

 « La première année, on est allé à l’école du village et l’année suivante, en ce qui me concerne,  je suis rentrée en 6e, J’étais pensionnaire au collège de  Carcassonne. Maman a mis deux ans avant de trouver un emploi : elle ne voulait pas s’engager car elle attendait toujours la libération « imminente » de papa,  libération promise par Senghor et pendant ces deux années, on habitait toujours chez ma grand-mère. Après seulement, quand ma mère a obtenu cet emploi d’intendante, nous nous sommes installés au collège, dans  un logement de fonction. »

Elle rêvait de faire les Beaux-arts.

Amina glisse sur le temps, ces années où son père est l’absent tellement présent. Ces années recouvertes d’un silence opaque comme du sable sur la lande après la tempête. Ces années entre parenthèse creusent de mystérieux méandres en son for intérieur. Dont elle ne dit mot. Elle me parle de son bac. De l’absence de choix : « Si papa avait été avec nous, sûr, j’aurais fait les Beaux-arts… »

Mais Valdiodio est toujours à Kédougou, vivant dans un tête-à-tête mystique avec le citronnier qu’il a lui-même planté et qui devient aussi immense qu’un baobab dans l’imagination d’Amina. Valdiodio en cœur à cœur avec l’esprit divin. Valdiodio qui partage ses lectures entre le Coran et ses poètes préférés. Valdiodio qui oppose à tout et à tous son imparable sourire tranquille : « Il est toujours ailleurs, les bassesses humaines ne l’atteignent pas. Il est rempli de compassion pour ses adversaires. Il n’a pas d’ennemis. Il n’a pas de haine. Une vraie sincérité… »

On parle encore de votre père ! Et si nous revenions à votre parcours ?

 « Après le bac, pas de Beaux-arts donc. Je vous ai dit ? C’est mon père qui m’a offert ma première boite de peinture…Et moi, je lui ai offert mon premier tableau, à vingt ans, quand nous avons enfin pu venir  le voir à l’hôpital de Dakar, après presque dix ans de séparation… »

Elle parle assez rapidement des quatre années de fac à Toulouse.

«J’ai fait une maitrise  d’espagnol. J’avais une réelle passion pour l’Espagne. Ma tante, l’épouse du frère de ma mère, est arrivée en 36 d’Espagne, et s’est installée dans l’Aude. Je l’accompagnais pendant les vacances car ma mère n’était jamais là. (Claire passait tous les congés au Sénégal pour voir son mari, ndrl). Nous étions très proches.  J’allais justement passer l’agrég  quand on a libéré mon père, en 1974... Agreg que  je ne l’ai jamais passée. De toute façon, je n’avais aucune envie de devenir enseignante. J’avais pris cette option comme j’aurais choisi n’importe quoi d’autre… »

La famille rentre au Sénégal : « Chez nous ! »

La libération de Valdiodio sonne le retour au pays. La famille revient s’installer à Dakar. Amina est heureuse. Les raisons sont multiples. La libération de son père, bien sûr et avant tout ;  l’arrêt d’études qui la destinaient à ce qui ne lui plait guère : l’enseignement.  Et puis, elle est rentrée au pays ! Son plus jeune frère, Karim entreprend sa médecine. Guédel, lui, fait son droit. Seul Guibril l’ainé, restera à Carcassonne. Au bout d’un an, Amina trouve un emploi en Côte d’Ivoire. Une formation de  six mois à Paris, à UTA et puis, elle devient cadre à Air Afrique.

La vie a retrouvé un cours normal. Amina peut enfin se consacrer à la sienne qui se poursuit pendant encore trois années en Côte d’Ivoire. Il y a de la romance dans l’air. Elle rencontre son futur mari, un parisien. Il travaille dans l’urbanisme (HEC). On lui propose un poste aux Antilles et les voilà partis pour trois ans dans les îles. Amina est embauchée au fret d’Air France. Mais à sa première maternité, elle cesse de travailler. Elle aura trois filles. En 1981, la famille rentre à Toulouse puis en 1990, cap sur Paris. Ce sera Clamart. Amina n’y connait personne. Ils sont arrivés pendant les vacances. Il n’y a que « des vieux », dans les magasins, dans les rues, partout. Elle se sent totalement déracinée. Heureusement avec la rentrée scolaire, elle va rencontrer d’autres jeunes mamans…

« Je n’avais qu’une idée : travailler. Moi qui adorais aller à la découverte de nouvelles expositions de peinture, visiter les musées, et alors que j’étais à deux pas de  Paris,  je me retrouve coincée. Je ne peux pas sortir, quitter Clamart. Comme j’étais femme au foyer,  ma petite dernière qui était en maternelle, n’avait pas droit à la cantine. A l’école on m’avait dit : Les femmes qui ne travaillent pas doivent avoir leur enfant à la maison car nous manquons de place. »

 Amina déprime. 

 « Je commence à péter les plombs. Boulot, ménage, je ne connaissais personne. J’avais 38 ans. C’est alors qu’il va  se passer quelque chose d’extraordinaire. Je reçois un coup de fil d’une de mes cousines, styliste au Sénégal ».

Le milieu de la mode au Sénégal connaît un développement sans précédent. En effet, on assiste de plus en plus à une prolifération d'ateliers et boutiques de mode avec des créateurs qui rivalisent de talent et d'imagination.

 « Ma cousine me dit : on fait un défilé aux galeries Lafayette. Tous les créateurs africains sont là  et c’est ce soir. Je t’invite. »

Vous avez dit hasard ? Qui aujourd’hui croit encore au hasard ?! Le matin même, Amina a décidé de sauter le pas. Elle veut travailler coûte que coûte pour quitter cette spirale de l’ennui, de la solitude. De la sclérose. Elle s’est rendue à l’Académie pour y retirer un dossier de demande poste de professeur. A contre cœur. Elle déteste cette idée d’enseigner mais tout plutôt que de continuer à se morfondre chez elle. 

 «  Nécessité faisait loi. Prof c’était le mieux, pour les congés scolaires alors que la compagnie aérienne aux Champs Elysées, ce n’était pas évident. »

La rentrée étant déjà passée, les postes sont déjà distribués. On la reçoit en la toisant avec dédain. Mais apprenant que sa matière, c’est l’espagnol, les réticences  tombent car on a justement besoin d’un prof d’espagnol ! et Amina repart, la mort dans l’âme quoique soulagée avec son dossier d’inscription, promettant de le ramener sans faute lundi.   

« Bien sûr, ils ne m’ont jamais revue !! »

Arrive le roi du désert, Alphadi.

Et pour cause !

afd1« C’est ce soir-là  que je suis allée au défilé annoncé par ma cousine. Et là, je suis en extase. Je découvre la mode africaine. Il y avait tous les grands couturiers, de tous les pays d’Afrique de l’ouest, de l’est. C’était magique. Je suis allée voir ma cousine et lui ai demandé : est-ce qu’il y a quelqu’un qui vous représente  à Paris ? – Non. Et là j’ai pris ma décision en cinq minutes. Adieu le poste d’espagnol  qui ne me disait rien du tout. L’art, la créativité, l’Afrique. Ça, ça me correspondait. »

Amina s’anime. Nous avons oublié le vent, la fraîcheur de l’air de ce bord de lac qui reflète un ciel labouré de nuages gris. Nous sommes emportées dans un tourbillon de couleurs, de tissus, une effervescence que j’ai bien connue par le passé, moi aussi…

« On a contacté trois autres stylistes  et j’ai commencé à bosser avec eux. En fait très vite j’en n’ai gardé qu’un, Alphadi². On le surnomme, le roi du désert. Déjà, en 1987, à Paris, la Fédération Française de la Couture et du Prêt à Porter lui avait décerné  l`Oscar du Meilleur styliste Africain.»

Aujourd`hui, avec une expérience très riche dans le domaine de la mode, des défilés organisés dans le monde entier, des boutiques en Afrique, aux Etats unis, en Europe, et surtout une griffe internationalement respectée, Alphadi est l`un des stylistes africains le plus connu du continent. Une inspiration métissée (Afrique, Orient, Occident), caractérisée par son audace, décline ses créations dans le coton et la soie. Enfant de Touareg, Seidnaly Sidhamed alias Alphadi est né en 1957 à Tombouctou (Mali), de parents commerçants. Après son bac, Alphadi part suivre des études de Tourisme à Paris. C`est l`occasion pour lui de se rapprocher du monde de la mode qui le fascine  depuis l’enfance. Il assiste à des défilés, prend des cours du soir à l`Atelier Chardon Savard. Puis il revient au Niger pour occuper le poste de directeur du Tourisme au Ministère. Sa passion pour la mode ne s`arrête pas pour autant. Fonctionnaire en poste, il continue à parfaire sa formation en stylisme en recevant dans son pays des professeurs de l`atelier Chardon Savard. Dès 1983, il décide de se consacrer entièrement à la mode. En 1985, il crée une ligne Haute Couture qu`il présente lors de son premier défilé organisé à Paris à l`occasion du Salon International du Tourisme : c`est la consécration!

Un monde qu’Amina découvre et qui immédiatement la passionne. Désormais elle va promouvoir un art tout aussi noble que sa chère peinture : la création de mode..

« Je me suis intéressée à sa communication, sa promotion. On faisait chaque année le  salon du prêt à porter à Paris. On a fait un défilé présidé par Mitterrand… »

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Rattrapée par la réalisation de film.

La vie reprend ses airs de fête. Mais le destin est en roue libre et n’a pas envie de lâcher Amina. Il lui réserve une trajectoire bien précise.

« Et c’est là que je suis contactée par une société qui voulait faire un film sur Alphadi. Le patron c’était Eric Cloué… celui-là même avec qui j’ai réalisé mon Valdiodio… Finalement le film n’a jamais été tourné par sa boite. C’est alors que je lui ai proposé de travailler non plus comme producteur mais comme réalisateur pour faire quand même le film sur Alphadi. J’y tenais car c’était une façon de mettre l’Afrique en avant.  Et on en est arrivé à faire un film sur toute la créativité africaine. »

 Et le travail de réalisation de film commence. C’est un nouveau métier qu’Amina va apprendre sur le tas, la production lui laissant carte blanche.

«  L’art africain c’est tellement extraordinaire !! Et voilà qu’on fait un film sur toute la créativité africaine. Eric Cloué a trouvé un producteur qui m’a engagée. J’ai monté les dossiers, trouvé l’argent.  Pendant trois ans j’ai travaillé sur ce film qu’on a appelé « Le royaume du  passage ». On en a fait un long métrage de 1h30. Ma chance c’est que le producteur n’avait pas d’attache particulière avec l’Afrique. Il m’a donné carte blanche et j’ai appris mon métier : j’ai appris la production. Je montais les dossiers de financement pour tout. Et pour  notre film, j’ai fait toute la production exécutive. Je me suis retrouvée assistante de réalisation. En  fait  t’a pas le choix, quand tu es derrière un projet il te faut le suivre du début jusqu’à la fin. J’étais à tous les postes, comme tout le monde. »

(A suivre)

 

Nota bene-

¹ « L'homme anatomiquement moderne s'est développé il y a un peu plus de 100 000 ans en Afrique subsaharienne, à partir d'une lignée évolutive facile à suivre. Cet homme moderne s'est répandu dans le Nord et au Proche-Orient ».  Günter Brauer, Paléo-anthropologue de l'Université de Hambourg. Les travaux d'Yves Coppens, Luigi Luca Cavali-Sforza, Bryan Sykes, de Pascal Picq, de Christopher Stringer documentent abondamment cette théorie de l'origine africaine de l'humanité. Autres sources : « Cheikh Anta Diop, L'homme et l'œuvre » par Cheikh M'Backé Diop. Présence Africaine.  « L'origine négro-africaine du savoir grec ». Jean-Philippe Omontunde. Volume 1. Ed. Menabuc.
L’une des principales thèses du professeur Cheikh Anta Diop visait à démontrer scientifiquement l’origine africaine de l’humanité, à savoir que le premier Homme moderne dit Homo Sapiens Sapiens Africanus, était un nègre de l’espèce de tous les naturels de l’Afrique. C’est en raison de sa migration vers d’autres lieux et de son acclimatation dans diverses parties du globe, qu’il a connu certaines transformations physiologiques l’emmenant jusqu’à perdre totalement sa mélanine et l’aspect crépu de ses cheveux.

² PARIS - Boutique Alphadi 13, rue Paul Bert - 75011 Paris - France
Tél: 33 (0)1 43 67 84 95 Fax: 33 (0)1 43 67 34 24
NIAMEY - Alphadi BP12873 - Niamey - Niger
Tél: 227 73 29 80 Fax: 227 73 29 80
ABIDJAN - 44 rue Paul Langevin Zone 4C - Abidjan - Côte-d`Ivoire
BAMAKO - Alphadi Hôtel Salam - Bamako
Tél: 223 22 12 00

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Tango argentin… et maternité!

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