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Listen to your heart


Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

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Le N°17, Vient de paraître
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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

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- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

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Nutrition :

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Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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There are no translations available.

 

kahenaLa Kahena, reine et prêtresse

Une enfant des Aurès
 (674 ? – 704)

Haute figure de Numidie au VIIe siècle, Juive pour les uns,  chrétienne pour d’autres ou encore magicienne, Kahena, de son vrai nom Dihya ou Damya est  une reine guerrière Berbère zénète des Aurès qui combattit les Omeyyades lors de l'expansion islamique en Iffriqiya. Pour les Berbères des Aurès, elle s'appelait Dyhia Tadmut qui veut dire la belle gazelle en tamazight. Le surnom Kahena a plusieurs significations : en arabe, Kahena désigne une devineresse ou une sorcière (sens péjoratif selon certaines interprétations). En grec, Kahena est tiré de Karina qui signifie être pur. En hébreu le mot est proche de Cohen qui a un sens de « prêtre ». (En français, le nom Corinne  signifie « être pur ».) Dans la région des Aurès, les Chaouis l'appellent Yemma El Kahina (maman Kahina) et plusieurs chansons lui sont dédiées.

La Kahena devient reine en 686. Elle est connue pour le talent avec lequel elle a su organiser le Maghreb, "de Gabès à Tanger", pour résister à l’invasion des Arabes arrivés de Tunisie, dans les Monts des Aurès. Une statue la représente près de Khenchela où elle trouva la mort en 704.
C’est, à ma façon l’histoire de cette femme de légende que je vais vous raconter…


Dans les jupes de la Kahena ¹
                        


Grain de Bled a fermé les yeux pour ne plus voir le trou béant du temps. C’est alors qu’un parfum subtil lui parvient, flottant sur les dunes violettes du crépuscule. La nuit, telle une voleuse, fait disparaître formes,  couleurs et espérance dans ses manches. Très simplement, l’apparition relève ses nombreux jupons safran, pourpre ou prune et s’assoit en tailleur sur le sable près de lui. Il ne la regarde pas, mais il sent sa douce présence comme un trésor : si je lève les yeux sur elle, elle va disparaître.
« Tu lis trop de légendes, Grain de Bled », dit-elle en éclatant de rire. Et la nuit tombe tout à fait. Des heures entières s’égrènent dans un silence à la fois pétrifié et doux comme l’attente d’un sauveur. Il tressaille car elle vient de lui prendre la main. La sienne est tendre et lisse, parfumée. Il ose incliner ses lèvres dans la paume tiède et le baiser qui s’y blottit dure encore aujourd’hui. Il murmure:
« Oh, Ma Kahena... » Dans l’ombre, elle hoche doucement la tête tandis que son buste se balance d’avant en arrière dans une attitude de mère douloureuse.
Pourtant il l’entend rire de nouveau. Alors il la regarde. Alors basculent les horizons.

kahena

 

Voici le conte…


L’aube nouvelle va provoquer une pluie de cendre sur le monde qui se voile la face.  La grande prêtresse, la devineresse,  celle dont tous se disputeront l’honneur de la dire leur,  la reine Dihya, vénérée de son vivant sous le nom de El-Kahena c’est-à-dire l’Eclairée de Dieu, adosse son ombre à la dune d’où émerge la silhouette d’un puits.
« Cette invasion me fait tourner les sangs alors que toi tu es là, témoin impassible. De quel bord es-tu, grain de sable? »
 « Que le dieu des dieux te comble de sa parfaite bénédiction, ma Reine, rétorque Grain de Bled offensé. Je suis parcelle de cette terre et à ce titre ne puis prendre parti. J’intègre toute son histoire sacrée et me reconnais comme son héritier direct. »
 « Moi aussi je suis sa fille. Je lui ai donné et mon cœur et mon âme et ma chair qui dort désormais dans ses entrailles, excepté ma tête, hélas!
Je l’ai toujours su. Ne m’appelle-t-on pas même encore aujourd’hui la divine Kahena? Celle qui lit dans les étoiles... »
 Les chacals qui jappent dans le désert au crépuscule, en cohorte persifflent à la ronde :
« C’est ce qu’avait prédit notre reine qui a accepté la perspective de mourir le jour où elle a pris dans ses murs pour en faire son fils bien aimé, le magnifique Khaled  cousin  d’Hassan son implacable ennemi, chef Musulman comme lui.»
Très intimidée, une femelle aux mamelles pendantes, chef de la meute des chacals, est  apparue ; mais elle se tient à bonne distance des deux  formes rendues floues par la chaleur  des pierres concassées. Dihya la salue :
« O, Tessadit, fille des sables au regard jaune découpé dans l’ardeur du soleil, tu as de haute lutte emporté le droit de mener ta meute. Tu survis à l’heure de ma mort. Et tu continues de chanter à la postérité les exploits de la Kahena! J’appelle sur toi et ton innombrable progéniture à travers tous les temps et les temps, les bénédictions  de la divine Tanit, Mère déesse parfaite, Celle  qui m’a accueillie auprès d’elle dans le séjour des entrailles radieuses de la terre africaine.»
Tassadit, la femelle chacal, fait deux  ou trois pas dans leur direction puis se rassoit et se lèche la patte comme si elle était seule au monde. Cette rencontre fortuite l’honore grandement ; aussi s’emploie-t-elle à dissimuler avec délicatesse son émotion. Grain de Bled n’est pas dupe de la manœuvre, il insiste :
« S’il te plaît, Petite Mère, toi qui œuvres à purifier l’étendue du monde en te nourrissant de ses charognes immondes, je suis venu pour écouter l’histoire de notre Reine bien aimée. »
« Alors, alors...»
Tassadit toussote :
 « Je suis désolée.  Est-ce que tu attends depuis longtemps? Bah, je ne le pense pas car tes joues sont imberbes et ton cheveu est de jais. »
 « J’étais là au premier jour et je serai encore là au dernier jour quand ton squelette se sera dissout depuis des millénaires dans l’oubli. Je suis Grain de Bled. »
L’inflexion de la dernière phrase accuse une fierté légèrement décalée qui fait dérailler la voix semblable à un bâton de pluie.
 « Je sais, je sais. Tu es bien arrogant toutefois. Mais je suis convoquée par le grand tribunal pour apporter mon témoignage. Parce que j’ai tout vu. Même de loin, ma vue est perçante. C’est un des attributs qui m’a permis de l’emporter sur mon adversaire pour diriger la meute. »
Pendant cet échange un peu vif, la Kahena s’est éloignée pour ne pas influencer le discours de Tassadit le chacal iferrahen, « celle qui réjouit », puisant dans le présent et dans le passé, avec un esprit d’enfance simple :
 « Voici le conte, qu’Allah le rende agréable et l’allonge comme une tresse. Après la victoire de Kossayla, le peuple de la Kahena a bien cru avoir repoussé pour longtemps l’envahisseur arabe car avec la reconquête de Kairouan, ville dont le nom signifie à juste titre le camp, édifié pour servir d’appui à l’Islam jusqu’à la fin des temps, les fils de Mahomet le Prophète béni  semblèrent ne plus avoir d’intérêt pour l’Iffriqiya pendant plus d’une décennie. Or, voici que survient le redoutable Hassan à la tête d’une armée innombrable, trempée dans le martyre et l’héroïsme. Les clameurs montent et les prières aussi. Tous les dieux sont pris à témoin. Il y a beaucoup de travail pour les Anges protecteurs comme pour les Anges exterminateurs.
Hassan, contrairement à Sidi Okba, fonce sur les forteresses et les défait. Il va même prendre Qart Hadasht, la belle Carthage, et chasser pour toujours  le royaume de Byzance de la terre africaine. »
Suspendant son discours, Tassadit coule un regard de braise vers la Kahena, qui, ondoyant sur elle-même à quelques pas de là, tient à deux mains ses jupons à présent gris et sales, suaires pour les temps. La femelle retrousse les babines et jappe plaintivement :
 « Devant la furie de l’envahisseur, après la mort de Kossayla, une femme s’est levée, sacrée reine sur le champ, adorée de ses sujets qui n’hésiteront pas à mourir pour elle avec la plus grande bravoure.  C’est la prophétesse, de la tribu des Djeraoua, dans les Aurès,  Dihya, qu’on appelle la Kahena, l’Éclairée de Dieu!»
La belle guerrière salue à la ronde un auditoire que le non attentif penserait  imaginaire. Mais les siècles la contemplent et elle le sait. La purificatrice de charognes poursuit sa  clameur :
 « Hassan est vaincu! Hassan est vaincu! La Kahena connaît comme personne les défilés farouches de l’Aurès. Ce ne sont que crêtes étroites enjambant en à- pic des vallées effilées, véritables coupe-gorges ! Elle y attire Hassan qui se croit invincible.  Et c’est la déroute des esclaves du divin sous la vaillance de l’Éclairée de Dieu. Mais notre Kahena sait de par son don divin qu’il n’y aura pas d’autre exploit.
 Dis-leur donc, o Reine, quelle était ta stratégie.»
Interpellée, Dihya, les cheveux épars,  s’avance vers la foule des siècles, salue par trois fois, se dresse sur la pointe de ses pieds nus et glacés comme si elle cherchait au loin à distinguer la menace. La voix gutturale de sa terre gronde en elle :
« Les Arabes veulent s’emparer de nos trésors: nos villes, l’or et l’argent, les pierres précieuses, mais aussi nos propres vies pour asseoir leur hégémonie.  Alors que nous désirons la prospérité de nos champs pour la dorure des blés et la pâture de nos troupeaux: offrons-leur la tactique des nomades et déçus, ils s’en iront chez eux ! Il faut ruiner le pays afin de les décourager. Ce que mes frères d’armes ont fait. Imaginez ce qu’était alors notre riante contrée : de Tripoli  à Tanger, les villes et les villages se touchaient, tout était immense bocage prospère qui comblait le peuple à satiété. Les Berbères ont été courageux. Ils se sont coupé bras et jambes en abattant les arbres, en détruisant les villes, en brûlant les récoltes, en amassant ruine sur ruine... Il en faut, frères, de l’amour pour sacrifier ainsi ce qui fait  son bonheur de chaque jour ! Alors, certains, beaucoup, ont perdu courage et m’ont abandonnée. Car ils avaient faim désormais.»
 « Parle-nous de celui que tu as pris comme ton fils à la grande bataille de l’Aurès contre Hassan !»
« Oui, moi la Kahena, Dihya l’enfant de l’Aurès, je suis allée contre la volonté de mes frères en prenant sous mon aile ce prisonnier abandonné par son cousin Hassan le chien. Lui aussi était un chef, le plus beau et le plus valeureux au combat que je n’aie jamais vu ! Khaled, c’était son nom et je l’aimais comme une mère peut aimer son enfant. J’ai voulu qu’il apprenne en vivant près de moi qu’il n’y a pas de différence de races, que ces guerres de conquêtes sont vaines. Que tous les hommes ici bas sont des frères. Ah Khaled, je t’aimais et tu m’as trahie. »
La Kahena plonge alors dans un silence comateux. Pour Grain de bled, sa Numidie bien aimée touche ici le fond du gouffre. Après une éternité oppressante, la reine berbère élève les bras vers le ciel  crépusculaire. Cette fois,  elle est toute drapée de bleu, ses lourdes boucles d’argent accrochent les derniers rayons de soleil et les premiers éclats de lune. Une bise rafraîchissante s’est levée. On peut retrouver le goût de l’espoir dans des soirées qui s’annoncent ainsi. La mort est sur toi, Dihya la victorieuse d’un jour! Tu vas périr de la main de tes frères car ils ont trop faim. Pauvres enfants au ventre impérieux! Pauvres enfants qui bradent leur liberté pour un quignon de qesra!...
Khaled, le visage grave et pur, surgit de l’ombre épaisse, cranté d’un rai de lune. Il n’a pas de remords car il a agi dans le chemin droit de sa conscience :
 « J’ai adressé un message à Hassan, le prévenant que les Berbères étaient divisés quant à l’opportunité et au bien fondé de cette pratique de la terre brûlée et que ma mère, la Kahena se faisait bien des ennemis par son extrémisme. Je l’ai invité à arriver sans délai sur la forteresse de la reine. Cette missive, je l’ai introduite dans un pain que je donnai comme provision de route à mon messager.»                
 « Quand j’ai vu l’homme s’éloigner, reprend dans un souffle la vaillante Berbère, j’ai vu ma mort. Je me suis griffée les joues. J’ai hurlé : malheureux Berbères, votre puissance s’en va  dans un morceau de pain ! Au matin, j’ai révélé à mes fils la prophétie et l’annonce de ma mort : les Arabes emporteraient ma tête royale sur un plateau. Tous ont crié et pleuré. Mais tel était le sort qui m’attendait. Pendant ce temps, Hassan fonçait avec son armée sur nous qui étions plongés dans le désespoir.»             
La bataille s’engage, vaste folie remplie de bruits, de chocs, de cris, de râles. Auprès du rocher que l’on appelle depuis Bir-el-Kahena - le puits de la Kahena  - Dihya tombe. Hassan d’un coup de sabre lui tranche net la tête qu’il enverra à Damas...
Pour longtemps, le Maghreb devient fief de l’Islam. 

kahena
©Mahia Alonso, in Ifffriya, les chants du Bled, inédit.

¹Extrait d’un manuscrit inédit « Iffriqiya, les chants du Bled », Mahia Alonso

 


NB. Beaucoup ont écrit dont le grand Ibn Khaldoum.  
Ouvrages historiques anciens : Emile Félix Gauthier, Les Siècles obscurs du Maghreb, Payot, Paris, 1927, p. 245.
Essais et romans : André Chouraqui, Histoire des Juifs d'Afrique du Nord PUF, Paris, 1952 ; Nabile Farès, Mémoire de l'absent, Éditions du Seuil, Paris, 1974 ; Tahar Djaout, L'Invention du désert, Éditions du Seuil, Paris, 1987, p. 31-33 ; Gisèle Halimi, La Kahina (roman), Plon, Paris, 2006 ; Yacine Kateb  Parce que c'est une femme : entretien suivi de trois pièces de théâtre : La Kahina ou Dihya ; Saout Ennissa 2004 ; Didier Nebot, La Kahéna, reine d'Ifrikia chez Anne Carrière, Paris, 1998 .)
Recherches historiques actuelles : A. Hannoum, « Historiographie et légende au Maghreb : la Kahina ou la production d’une mémoire », Annales, 1999, 54, 3, p. 667-686 ; Y. Modéran, « Kahena », Encyclopédie berbère, t. XXVII, Aix, 2005, p. 4102-4111 ; Y. Modéran, « De Masties à la Kahina », Aouras, 3, 2006 (Actes de la première journée d’études sur l’Aurès organisée par l’Université de Khenchéla et la société Aouras), p. 159-183.

 

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