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Listen to your heart


Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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ecole chair

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L'érotisme dans un journal sérieux ?

Certainement, car la sexualité fait autant tourner le monde que l'économie.

Nouvelles, grands classiques de la littérature, mais aussi reportages et web-expos, vous êtes sur le seuil de notre rubrique lubrique.

ecoledelachair-15-01

Tu me voulais tienne, je me suis voulue soumise

Par Marie Panon

Cliquez, judicieusement...

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30 December 2015 par Christian Duteil
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La Meilleure Pub au monde


Regardez, c'est génial

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Diabète Mag N°17

Le N°17, Vient de paraître
Chez votre Marchand de Journaux

Codif : L13013

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Prévenir, Comprendre, et Mieux vivre avec le Diabète

 

Au sommaire vous trouverez :

- Diabète : la fin d’un mythe

- Cholestérol - Diabète et les margarines

- Le Chrome limite de stockage des sucres

- Les complications du Diabète

- seul face à un infarctus

– comprendre l’anévrisme

- l’utilisation de la «metformine»

- Le matériel de sport au domicile

- Desserts allégés

- Gros dossier: Mincir de plaisir, des menus type.

- Quiches light – sauces allégées – saveurs de la mer 

- le lait végétal – les confipotes à faire

Nutrition :

-       le foie, source de fer – tout sur la moutarde

-       Fruits et légumes d’automne

-       Les vertus des baies de Goji

Un N° 17, Complet, pour une vie pleine de bonnes résolutions.

DIABETE MAGAZINE , chez votre marchand de journaux.

Inclus: Le Diabétique Gourmand, des recettes goûteuses et light.

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Attention les yeux : ceci n'est pas un billet doux

(à ne lire que par les oreilles averties, puisque, selon Paul Claudel, l'œil écoute)

 

Gil Jouanard jpegJe ne sais pas pour vous, chères lectrices et chers lecteurs, qui réagissez si peu aux éditoriaux, chroniques, billets et articles publiés dans nananews (et témoignant de points de vue généralement atypiques, voire à contre-courant du consensus mou), mais en ce qui me concerne, moi qui fais partie de ceux qui n'ont jamais hésité à s'exprimer, j'use sans réserve de la faculté qui nous est offerte, ici, de sortir des sentiers battus et de négliger l'usage de cette langue de bois, généralement bien-pensante, dont nous submerge la si fluctuante « idéologie dominante » (ainsi que la désignaient naguère mes amis d'obédience marxistes, dont l'indiscutable sincérité me stupéfiait quand elle ne me faisait pas carrément bidonner).

Alors, ce préalable provocateur ayant été posé à dessein (celui de vous voir enfin passer au stade de l'activation de votre propre tachtche), venons-en à mon hebdomadaire rafting à contre-courant des idées reçues, et notamment à ma mise en question d'expressions communément utilisées sans trop savoir ce qu'elles recouvrent.

Peu d'entre vous auront évité de qualifier, un jour ou l'autre, les déconcertantes réactions ou abruptes interventions des enfants, d' « enfantillage ». Me pardonnerez-vous si je vous taxe à la fois d'immaturité et de perte de mémoire ?

Qu'est-ce qu'un « enfantillage » ? Selon la vox populi, ce serait une marque, généralement orale, de candeur, qui ferait tenir par l'enfant de naïfs propos, témoignages de la minceur de son vécu terrestre et social. Qui amuserait le cas échéant, mais ne saurait être prise au sérieux, l'enfant étant censé tout ignorer, ou presque, de la vie.

Je doute pourtant que vous ayez été, entre, mettons, quatre et huit ans, si peu vivants, si peu attentifs, d'esprit si peu critique, et si peu abasourdis du constat que vous eussiez dû faire de l'ineptie et de l'immaturité des propos tenus par les adultes, que vous en fussiez venus sans réticence à céder à la pression qui tend à vous transformer méthodiquement en vieillards précoces, définitivement sourds aux pulsions et aux sollicitations de votre nature sérieusement joueuse de Primates déniaisés dès l'âge de quelques mois.

Pardonnez-moi de me prendre, non comme exemple, mais comme cas d'espèce ou sujet d'investigation, allez, mettons, animal de laboratoire expérimental.

Je me vois donc, haut comme deux pommes, puis comme trois et enfin trois et demi, découvrant à la faveur de séquences homéopathiques, à la fois, la vie, les choses, les gens, le monde. Je suis là, accroupi dans un carré d'herbe sis à environs trois mètres de la porte vitrée de l'appartement où un couple de lumpen prolétaires issus du magma hercynien lozéro-ardéchois m'a, une poignée ou deux de mois auparavant, condamné à la vie terrestre.

Avec les fourmis, les hannetons, les abeilles, les papillons, pas de problème. Ce n'est pas qu'on s'entend spécialement bien, mais eux m'ignorent (non par mépris ou dédain, mais ma taille, quoique dérisoire aux yeux de la parentèle, leur est inaccessible et sans doute imperceptible). Quant aux ainsi nommés « adultes », ils sont partagés entre la prévenance instinctive ou moralement acquise et l'ignorance totale, l'incuriosité manifeste, vis-à-vis de cet embryon d'ego virtuel qui me constitue encore modestement.

Il ne m'aura pas fallu beaucoup de temps pour comprendre qu'ils ne comprenaient rien à moi, et du coup peut-être à quantité d'autres réalités constitutives du monde en général et de la vie en particulier. Nullement méchants, honnêtement affectueux, ils ne me briment ni ne me rejettent franchement dans les ténèbres extérieures. Non, simplement, ils n'entravent que dalle à ce qui se passe sous couvert de mon statut enfantin.

Peu agressif de nature, je ne m'en offusquerai pas et serai de manière uniforme et constante un gentil garçonnet, mignon de surcroît (jusqu'à choper la gueule de Gérard Philippe sur le coup de mes seize ans, allez savoir pourquoi). Donc, comme dirait Sveik, kein Problem, ce qui se traduit en pidgin par no problem.

Mais les enfantillages qui viennent me saisir à bras le corps me confrontent à cette prise de conscience radicale, définitive et paisiblement répulsive : ces animaux-là sont infantiles. Et ce ne sont ni les instituteurs ni les professeurs du premier et du second cycle qui sauront susciter un infléchissement de ma ligne idéologique définitivement distanciée, quoique profondément débonnaire (car je n'ai jamais cru que ce petit peuple de « droits acquis » et de « bon sens populaire » avait pour but de me nuire : je vis d'un ou deux coups d'œil qu'il s'obstinait prioritairement à se nuire à lui-même, sinon à lui seul, notamment en fermant au cadenas sa curiosité et sa pulsion de liberté, qui eût dû le faire se révolter déjà contre sa propre pusillanimité).

Timide (beau paravent qui faisait qu'on me foutait la paix), quasiment muet sans être autiste, distrait et sans cesse « dans les nuages », je passais inaperçu. « Doué mais peut faire mieux », écrivaient les professeurs principaux, gentiment ineptes ; « mon fils, il est sans cesse ailleurs » disait ma père, qui avait été esclave-bergère à huit ans et demi ; pour mon père, Ardéchois cœur fidèle, descendant de Camisards, lui-même cégétiste et résistant, c'était plutôt : « Oh, Zorro, tu veux bien redescendre sur terre et finir ton assiette ? ». Tous de braves gens. Quand je compris qu'ils n'avaient vraiment pas avancé d'un pas depuis ces ancêtres magdaléniens qui inventaient tout sur les parois de leurs grottes obscures, je décidai impulsivement, sans jamais le formuler car c'était trop compliqué à exprimer et à faire entendre, de prendre la tangente ; marginal avant la lettre, dès les années cinquante. Je refusai calmement de me présenter aux épreuves du bac, l'année où, enfin sorti de la filière scientifique à laquelle m'avaient honteusement condamné les génies de la pédagogie nationale (moi, le doux rêveur, lecteur effréné, féru de « rédacs » mais fils de pauvre donc inapte congénital présumé au grec et au latin de la section A, ou B à la rigueur), je me trouvais enfin en section « Philo ». Je m'enfonçai dans une autogenèse personnalisée, qui me conduisait à lire les grands penseurs au lieu de suivre le cours minable de philo pour débiles disciplinés, jusqu'à me dérober, le matin des premières épreuves, aux humiliantes évaluations d'un jury constitué de syndiqués dotés de tendances corporatistes, tous aussi matures qu'une poire blette. Cette ultime bravade signifia mon passage de l' « enfantillage » à la sédition claire et nette, qui ne m'empêcha pas, enfin adulte avalisé par mon propre regard de derrière la tête, de répondre à une annonce invitant à se présenter au poste de rédacteur d'encyclopédie, de subir les tests de culture générale et de maîtrise de la langue, et d'y surclasser les agrégés et docteurs qui postulaient eux aussi. La suite ne fit qu'ajouter couches sédimentaires de culture sur couches sédimentaires d'expérience que nous dirons « existentielle », et notamment celle du refus (qui chaque fois me ramenait au seuil de mon enfance).

Pardonnez-moi de parler aussi effrontément de moi ; ce n'est pas sous l'effet d'une pulsion narcissique, car je me prends pour un anonyme simplement rétif, mais pour vous dire qu'on n'est pas automatiquement condamné à suivre l'une ou l'autre des filières savamment concoctées par l'immature étourderie d'adultes infantilisés (jusqu'au point de croire que leur bulletin de vote va de quelque façon que ce soit contribuer à une épanouissement de ce dont nos grands anciens de l'époque des Lumières ont rêvé, en l'appelant « démocratie » (beau projet que l'usage fit se concrétiser, tantôt sous une forme démagogique, tantôt sous une autre dictatoriale, voire tyrannique ou corruptrice).

Ainsi donc, frères humains qui après nous lisez, laissez à vos enfants la liberté de céder l'initiative à leur enfantillage. Ils auront de toute façon appris, bien avant que vous ne vous en soyez rendu compte, le fin mot de l'histoire, celui aussi de l'Histoire. Tout comme vous, ne vous en souvenez-vous pas ? Etiez-vous si distraits que vous ne vous soyez pas reconnus et que vous ayez déjà tout oublié ?

Un petit effort, citoyens, et rentrez en vous-mêmes ; ce n'est pas que vous y verrez plus clair ; mais vous vous y reconnaîtrez et en serez tout surpris.

Gil Jouanard

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Tango argentin… et maternité!

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Dieu que c’est beau une femme qui danse, et les rondeurs de maternités visibles à l’œil, n’enlèvent rien à la grâce des mouvements et des corps, peut-être même qu’elles rajoutent une sorte de sensualité à la beauté, et l’on va jusqu’à oublier devant les jeux de jambes et les hanches qui bougent, que ces femmes qui dansent le tango comme des amoureuses, sont enceintes de plusieurs mois parfois.

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Les femmes sont magnifiques et la grâce insoumise !

Par Louise Gaggini

01lesinfosdelaredaction

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Dan Brown mêle avec brio l’histoire, l’art, les codes et les symboles. En retrouvant ses thèmes favoris, Dan Brown a certainement construit l’un de ses romans les plus stupéfiants, au cœur des grands enjeux de notre époque.

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Le Dictionnaire du SiDA
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