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Eh oui, la guerre sévit, les colères grondent et les «raisins de la colère» murissent vitesse grand V, mais dans le monde émergent des libertés nouvelles et j’ai envie de vous dire que la beauté et la tendresse toujours peuvent nous bercer, avec la force et la joie, regardez cette vidéo et laissez-vous porter par la douceur d’un monde originel, le nôtre que nous prenons si peu le temps d’aimer…


 

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Le paséo del fuego de la Saint-Jean

Christian Duteuil

 

San Pedro Manrique, province de Soria (Espagne). Il est minuit, le soir de la Saint-Jean dans ce village rural de cinq cents habitants. Un brasier éclaire et fascine la foule qu’on devine attentive dans l’ombre. Tout semble irréel et beau à cause des ténèbres qui enveloppe et nimbe la montagne toute proche.

 

 

Le diable du feu. Je dévore tout du regard comme chaque fois que j’atterris dans un lieu que je vais perdre. Pour ne pas avoir de regrets et mieux restituer les choses car le diable, comme chacun sait, se cache dans les détails. 

La marche du feu

 

D’énormes projecteurs sont braqués sur l’arène de terre battue et focalisés sur le tapis ardent. Soudain, les cloches de la Pena se taisent. Et un coup de clairon déchire les palmes de la nuit. On ne voit plus que les braises ardentes entretenues avec un soin jaloux par un diable armé d’une longue trique. On le nomme l’alguacil. C’est en fait le garde-champêtre du village qui a la responsabilité et l’honneur de préparer le brasier et de l’attiser tout au long de la cérémonie. Œil noir et visage buriné, il tape et casse méthodiquement les « sept morceaux de chêne » qui refusent de mourir et de se transformer en braise pure.

Pas de fête complète sans présence charnelle du groupe, sans spontanéité individuelle et collective. Mais cette spontanéité s’appuie toujours sur une coutume et sur une institution. On se bouscule, on s’apostrophe pour avoir l’honneur de fouler le premier les braises vierges et y porter d’abord le gouverneur, symbole de l’autorité. La porte du paseo del fuego du Peuple du Courage de San Pedro est étroite et encombrée… devant quatre mille yeux qui ne veulent pas perdre une miette du spectacle gratuit sans cesse recommencée.

Deux jambes musclées et velues se donnent du courage et du rythme en martelant le sol, à quelques mètres du brasier qui colore la nuit et les visages. Jésus Martinez s’élance dans la fournaise ardente, le dos chargé du premier citoyen de San Pedro qui vaut son pesant d’or. Quatre à cinq secondes pour dompter et avaler le tapis incandescent devant deux mille curieux qui retiennent leur souffle. Le représentant du Peuple du Courage vient de commémorer un rite étrange qui remonte à la nuit des temps. On applaudit l’ouverture du bal flamboyant où l’on flirte plus avec les charbons ardents qu’avec la cavalière sur les épaules.

Impassibles et efficaces, l’alguacil et ses aides égalisent le chemin de feu et effacent les traces de l’exploit. Dans l’arène surchauffée plane la figure légendaire de Raton Ramon Y do Gassius, 55 ans. Un soir de Saint-Jean et d’ivresse, il a eu la folle inspiration de danser la Jota dans les braises tout en chantant un vieux chant populaire. Sans souffrir et sans cloques à la plante des pieds.

Le curé de San Pedro, David Yberio Perez nous confirme que l’anecdote est authentique, même si la légende risque de l’enjoliver. Il souligne avec bon sens que « le principe de cette fameuse marche de la Saint-Jean n’est pas tenir, encore moins de rester dans le foyer… mais seulement de passer sans encombre. » Certes, mais cela ne peut expliquer l’absence apparente de douleurs et surtout de brûlures.

 

En danger d’étonnement

Second coup de clairon qui domine le tumulte et notamment les cris de « fuera, fuera » qui visent les photographes qui forment écran mobile devant le foyer et masquent parfois le spectacle. Un Sampedrano de vingt ans charge sa fiancée sur ses robustes épaules de paysan. Le regard fixe, concentré, il lève haut les genoux et piétine la terre battue. Puis entre sans hésitation dans le feu. Trois longues enjambées accompagnées d’un rictus. Ouf ! c’est fini et ça s’est bien passé… La foule fête les deux jeunes héros qui s’embrassent avec fougue tout en continuant à taper des pieds comme un taureau avant de charger.

La silhouette trapue de Nascino Espuelas rôde autour du brasier qui s’étale. Il cache son bras gauche emprisonné dans une carapace de plâtre. Un accident idiot l’empêche de participer au paseo del fuego. Trop de risques d’être déséquilibré et de trébucher dans la flamme. Et pourtant ce n’est pas un novice : il a déjà subi seize fois avec succès l’épreuve du feu.

C’est maintenant au tour de Roberto Su Bivan, 18 ans, d’affronter le brasier, sa sœur sur le dos. Aucun trucage ne paraît possible. Nous sommes à moins de deux mètres de la scène. Ses pieds s’enfoncent dans la braise rouge. Le regard tendu laisse échapper une crispation. Nous reculons, éclaboussés et mordus par des gerbes incandescentes qui jaillissent sous les pas des pyrobates espagnols se succédant en cadence. Certains plus expérimentés et doués marchent mieux que d’autres dans la fournaise ardente. Ils passent fort bien l’épreuve du feu, ne semblent pas souffrir et en sortent indemnes.

 

Entre légende et réalité

On s’affaire et on gesticule autour du « tapis rouge » pour qu’il soit toujours lisse et brûlant. Au coup de clairon, un marcheur à toute épreuve charge sur ses épaules une « mondida », jeune fille de San Pedro désignée par le sort pour incarner l’une des trois héroïnes vierges et pures des fêtes de la Saint-Jean. Une commémoration au tribut inique de cent vierges que l’Espagne envahie devait livrer chaque année aux arabes conquérants des XI-XIIe siècles

D’un pas ferme, comme s’il avait fait cela toute sa vie, Basilo Alonso Fernandez, 44 ans, foule le tapis de braises long de trois mètres. C’est un vétéran qui compte déjà dix-huit passages du feu. Les charbons rouges fusent et s’écartent sous ses pas. Le pantalon retroussé jusqu’aux genoux laisse découvrir des jambes arquées et des pieds larges de paysan. En apparence, on ne peut déceler aucune cloque sous la plante grise de ses pieds.

Déjà dix passages et aucun accident. « Les embûches et les traîtrises du brasier se trouvent surtout au début et à la fin du parcours du feu. Il faut enlever tous les petits cailloux qui s’y glissent et peuvent éclater l’effet de la température. Ils peuvent se transformer alors en silex tranchants ou pointus qui blessent les pieds du Peuple du Courage. Tout l’art de l’alguacil consiste à bien préparer et à surveiller les points névralgiques du foyer ardent… tout en réanimant et attisant sans arrêt les braises », nous glisse Tio Roben, un petit vieux rabougri de 71 ans, qui connaît bien tous les sortilèges du feu de la Saint Jean pour l’avoir passé quarante cinq fois.

Cette fois, Tio se repose en aidant l’alguacil : il agite un vieux vêtement qui fait office de soufflet préhistorique. Car tout le rituel reste primitif et dépouillé… Ce qui en restitue toute la saveur et l’authenticité. Le paseo del fuego n’a pas encore été récupéré par la société du spectacle et du divertissement. Marche gratuite et absurde, diront certains sceptiques. Certes, le spectacle est gratuit et il n’y a aucun contrôle à l’entrée. Seul, un seau circule dans l’arène de lumière et se remplit de pièces pour étancher la soif du Peuple du Courage.

De l’autre côté du tapis incandescent, de jeunes pyrobates, foulard rouge à la ceinture, piaffent d’impatience et trépignent avant leur tour de feu. Toute cette débauche de gestes et de vociférations ne sert à rien de précis, mais répond au besoin essentiel de gesticuler et de se défouler. Mais on peut aussi y déceler une motivation profonde : les marcheurs veulent prouver à tous et se prouver d’abord leur courage. Et l’on murmure entre deux passages du feu que les Sampedranos qui ont des motifs valables (serment, promesse, enfant malade ou infirme, etc) franchissent plus aisément le feu de la Saint Jean. Légende ou réalité ? Peu importe… alors que Francisco Ruiz déclare après son passage en forme d’initiation : « J’ai les pieds chauds (on l’aurait à moins !), mais je n’ai guère souffert ».

 

Un poème mais pas de miracle !

Voici une strophe du poème de Pablo Espuelas, tailleur et père d’une des jeunes filles « Mondidas » choisies par le sort.

« La veille de cette fête

Lorsque la nuit tombe,

On allume un grand bûcher

De renommée mondiale.

Le public anxieux attend

De voir passer déchaussés

Les jeunes de cette ville

Qui ont une valeur sans pareille. »

Cet homme heureux et fier nous a reçu chez lui à San Pedo Manrique et nous a donné un exemplaire de son poème qui conjugue l’histoire à la légende. Pour la religion catholique, le paseo del fuego est un rite païen. « C’est un phénomène naturel qui n’a rien de miraculeux », nous certifie le curé sans soutane de San Pedro, David Yberio Perez. Et il précise avec une pointe d’humour : » Ne criez pas trop vite au miracle ( Si le paseo del fuego était un miracle, je le saurais. Je suis tout de même mieux placé qu’eux pour le savoir ». Notre curé est convaincant : le « surnaturel » masque souvent des phénomènes naturels non encore expliqués dans l’état actuel des connaissances scientifiques.

Le mythe mystique a été complaisamment propagé par des journalises de Madrid qui n’en voulaient pas démordre. Leur opinion était faite une fois pour toutes : le Peuple du Courage marche sur le feu en priant la Vierge qui les protège. Le clan des patriarches de San Pedro accrédite volontiers le caractère mystérieux de cette « purification par le feu ».

« Il faut être du village pour ne pas se brûler. Un étranger n’a aucune chance. Et d’ailleurs on ne lui en laisse aucune… L’année dernière, un technicien de la télévision a voulu jouer les héros et imiter les Sampedranos. Au bout de son chemin de feu, gravement brûlé au 3e degré, il a passé les fêtes de la Saint Jean à l’Hôpital de Soria, jurant comme un gamin pris au piège qu’on ne reprendrait plus à jouer avec le feu. »

Il faut avouer qu’il est bien difficile de tricher ou de ruser à San Pedro Manrique avec le feu. Un thermomètre placé à un mètre et demi au-dessus des braises indique plus de 400° (F) et 240° (C). La chaleur suffocante nous cuit le visage même si on s’éloigne de plusieurs mères du foyer ardent. Tant et si bien qu’un photographe de Barcelone ne peut tenir jusqu’à la fin et doit quitter l’enceinte le soir de la Saint-Jean, le visage congestionné. Tout feu tout flamme !

Un vieux marcheur du feu à la peau ridée et au poil noir confie : « Quand tu veux passer, il faut être sûr de toi, avoir la certitude de ne pas souffrir. Pour cela, il faut te concentrer, te comprimer à fond… » Le mimétisme joue ici un rôle non négligeable : les jeunes marcheurs imitent les anciens en perpétuant une tradition immémoriale. Ils possèdent tous un rudiment de technique et surtout une bonne dose de courage pour affronter l’épreuve du feu. Ce sont les « fous téméraires de la fête de la Saint Jean ». Ils ne sont pas nombreux: une vingtaine en tout. Les autres sampedranos sont plus prudents : « Moi, passer le feu, pieds nus ? Je ne suis pas dingue. Le risque est trop grand et ça ne m’intéresse pas », avoue un jeune dans l’assistance.

Le secret du Peuple du Courage consiste à marcher bien à plat et à écraser les braises pour raréfier l’oxygène indispensable à la combustion. Une bonne précaution : il faut garder les pieds très secs tout en les échauffant pendant la dernière demi-heure avant le passage du feu. Car la sueur provoque des brûlures en collant des charbons ardents sous la plante des pieds.

Dialogue au coin du feu et au dessus de la mêlée.

-       Votre état d’esprit à quelques minutes du paseo del fuego ?

-       Avant tout la volonté de passer et de se maîtriser sur le feu. On n’a pas le temps d’avoir peur ».

 

Le vin – qui a coulé à flots – rend certains marcheurs euphoriques et excités tout en anesthésiant leur sens du danger. Pourtant, le jeune Martin Ramon garde toute sa lucidité : « Si je me brûle lors du premier passage, j’en resterais là, sinon je passerais une seconde fois ». Il foulera à deux reprises le brasier de cendres portant tour à tout sa sœur et sa fiancée. Tandis qu’un autre au béret rouge passe trois fois le feu en moins de quarante minutes.

Parfois la fête vire au drame. Une année, un présomptueux alourdi de deux personnes, a trébuche et s’est agenouillé dans le foyer. Il garde la trace indélébile de brûlures au troisième degré. Vers minuit et demi, ce 21 juin, un garçon de 13 ans foule le tapis ardent en portant sa sœur de 6 ans. C’est un débutant anxieux et maladroit. Il grimace de douleur, trébuche et s’écroule en larmes à la sortie. Un mètre de plus et c’est l’accident.

Tout a une fin, même l’extraordinaire. Les projecteurs s’éteignent et nous plongent dans la pénombre et la cohue. Le « gardien du feu » étale les braises pour les éteindre et les réduire en cendres. Quelques jeunes gens enthousiastes foulent le brasier… en chaussures de ville. On y danse même un embryon de Jota. D’autres nous entraînent dans une ronde joyeuse. Nous avons du mal à nous détacher du brasier qui se meurt. Un essaim d’images chaudes à base de flammes, d’étincelles et de braises nous assaille…

Un peu plus bas, la fanfare au grand complet lance les premiers rythmes du bal populaire. Il est deux heures du matin, un peu plus, un peu moins. L’animation est partout et le village prêt à éclater. Des fusées bruyantes déchirent la nuit sans atteindre la montagne. Fatigué, je quitte la kermesse et grimpe vers l’ermitage contempler ce qu’il reste des « sept morceaux de chêne » du brasier de la Saint Jean. Seul, un couple entre deux âges se chauffe, debout, près du foyer presque éteint. Qu’est-ce que la chaleur ? Peut-être une simple agitation de molécules et d’atomes…

Magie de la flamme, mépris du danger, alchimie des couleurs. Le paseo del fuego a protégé San Pedro Manrique de ses ennemis… à travers des siècles de « bruit et de fureur ». Car, comment vaincre ou même oser combattre ce Peuple du Courage qui paraît invulnérable à l’épreuve du feu ?

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